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Je remercie…
Emmanuel Zuber, pour avoir accompagné mes premiers pas dans l'équipe, avec la
perfection qui le caractérise.
Véronique Guérin, pour m'avoir fait découvrir le biotope vétérinaire.
Catherine Noél, avec qui j'ai pu partager les affres de la thèse et à qui j'adresse mes
plus sincères félicitations pour son remarquable parcours.
Florent Baty, pour sa disponibilité et pour avoir su prendre ma suite dans le labora-
toire.
Magali Soulié, Brigitte Lamy, Stéphanie Gimbert, Elisabeta Vergu et Jeff Ghiglione,
pour avoir animé tout le laboratoire de leur joie de vivre et pour tous ces instants partagés.
Marie Tschora, pour son aide si précieuse, au sein du laboratoire et surtout à dis-
tance, ainsi que pour sa présence de tous les instants au téléphone ou par mél.
Monique G'baï et Christiane Bilancetti, pour avoir su égayer nos matinées autour
d'un thé.
Monique Cottet, Christine Driguzzi, Misou Pieri, Sophie Assandri, Catherine Gau-
din, Sylvie Desbourdelle et Aurore Petit, qui m'ont ouvert de nombreuses portes, d'un
secrétariat à l'autre.
Pour leur chaleureux soutien des dernières semaines, tout le Laboratoire d'Etudes et
de Recherches Pour l'Alimentation Collective de l'AFSSA, et plus particulièrement Hélène
Bergis et Sylvie Rudelle, qui ont subi ma dactylographie bruyante dans la dernière ligne
droite de cette rédaction ; Philippe Rosset, pour avoir traversé l'Europe, et Annie Beaufort,
au nom de notre collaboration sympathique et efficace.
Tous ceux que j'ai eu l'occasion de côtoyer au cours de ces trois années, dans des
sphères universitaires ou associatives, mais avant tout amicales. Avec une pensée particu-
lière à la mémoire de Thomas Guérandel.
Eric, pour tout et bien plus encore.
Denise Ménéghin, François Thaler, Monique Bonnefoy et les enseignants des écoles
Jules Ferry et Pierre et Marie Curie, des collèges Anne Franck et Louis Armand, des lycées
Jacques Amyot et François Ier et enfin de l'INA-PG, pour m'avoir, chacun à leur manière,
orientée vers la voie doctorale.
Pour leur indéfectible soutien, toute ma famille, et plus particulièrement Marie-
Louise et René Leyrit, pour m'avoir transmis le goût des mathématiques, aux travers des
joies du calcul, et Rose-Marie et Pierre Cornu, pour m'avoir ainsi accompagnée du jeu de
dominos à cette soutenance.
Mes parents et ma sœur, sans qui rien n'aurait été possible et à qui je dédie cette
thèse.
Ce projet de trois ans est aussi le fruit de ces rencontres d'un temps ou de ces liens de toujours et
n'aurait pu aboutir sans votre soutien. Que chacun d'entre vous soit ici de tout cœur remercié
d'avoir participé de plus ou moins loin à cette aventure lyonnaise.
Je souhaite enfin tout particulièrement adresser mes plus chaleureux encouragements à tous ceux
qui s'engagent cette année dans la voie doctorale : Brigitte Lamy, Nathalie Gnanou, Florent Baty,