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Faculté des Sciences Humaines et Sociales Tiaret
TEXTES ET HISTOIRE
LA PROBLEMATIQUE DU MODULE :
Etudie les interactions entre les mouvements littéraires et les époques historiques.
Conçu essentiellement comme un module de civilisation, T.H.3 a pour but de question le fondement
épistémologique de la pensée occidentale contemporaine(1ère moitié du 20ème siècle) et de permettre aux
étudiants de comprendre l’écriture de la violence de l’absurde abordée dans le module de littérature
contemporaine.
Le 20ème siècle est vécu non seulement comme le siècle de triomphe de la modernité, mais aussi comme celui
de la cause des valeurs paradoxales que cela puisse paraître.
Modernité et valeurs en crise ne sont pas exclusives. Pour le comprendre, il faudrait cerner ces deux notions :
valeur en crise et modernité.
La modernité nous renvoie à la naissance des temps modernes. Il y a 25 siècles avec le passage du mythe à
l’histoire mise en place de la rationalité comme mode de connaissance privilégiée et fondement de toute la
pensée occidentale(la pensée aristotélicienne).
Si la raison a permis à l’homme de progresser de sa maîtrise de l’univers, son utilisation exclusive l’a
mutilée(déformée) et l’a conduite à une situation de crise.
La civilisation occidentale fondée sur le triomphe de la raison est née d’une rupture transcendantale qui a
affecté l’ordre ontologique chez l’homme avec la perte de la pensée mythique. L’homme en voulant se mettre
au centre du monde a perdu son unité, son harmonie cosmique, il est devenu un être aliéné seul vivant sa place
dans l’univers entre terme de conflit(la crise du personnage dans la littérature).
Seulement les intellectuels occidentaux au 20ème siècle ont pris conscience de cette crise et de la possibilité d’en
sortir sur le redressement des modalités à la raison ; il se forme ce que nous appelons(les mouvements de la
rupture) : dadaïsme, surréalisme, existentialisme et le nouveau roman.
DU SYMBOLISME AU SURREALISME.
LE SYMBOLISME :mouvement littéraire et artistique né à la fin du 19ème siècle, qui réagit contre le
réalisme, le naturalisme et le formalisme parnassien(l’art pour l’art) et qui s’attache aux mystères et à l’essence
spirituelle des choses et des êtres. Le mouvement s’affirme dans le manifeste de Jean Moréas(Figaro 1886)et
les groupes de poètes qui réagissent contre l’idéal esthétique(l’art pour l’art) et le positivisme de la littérature
naturaliste.
Les symbolistes se rassemblent autour de Mallarmé, Verlaine ; il serait donc adéquat d’évoquer le symbolisme
comme étant l’un des véritables soubassement du surréalisme.
Notons que la question de délimitation des itinéraires littéraires et artistiques en écoles, mouvements et périodes
précises n’est qu’un souci méthodologique de l’esprit pour en faire une étude exhaustive et synchronique.
Cependant, insister sur le découpage, c’est essayer de sauter au-dessus de son ombre.
Les symbolistes repoussent et condamnent une société qui fait de l’argent la valeur suprême. La poésie dans le
symbolisme cherche à vêtir l’idée d’une forme sensible. Et le caractère essentiel de l’art symbolique consiste à
ne jamais aller jusqu’à la conception de l’idée en soi.
Le vers libre a un rythme et une sonorité spécifiques, on dit parfois,
être le seul acquis du symbolisme. Il est charmant non sens, c’est une véritable révolution à l’égard de la
prosodie traditionnelle, à l’égard de la métrique ancienne, il se caractérise par la césure enjambant retrouvée
chez Apollinaire. Pour les symboles sont des idées, le symbolisme, l’expression des idées par les formes.
LA BELLE EPOQUE :la douceur de vivre, la facilité dans les rapports sociaux, les sentiments
d’appartenir à une nation en pleine expression politique, économique et coloniale, la fierté d’entrer dans l’âge
des machines, de la vitesse et de l’électricité, sont autant d’éléments qui ont faits des années 1900 une époque
exceptionnelle, qui s’inscrit dans l’histoire des français sous le nom de «la belle époque».
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Il y aura des mythes qui se tressent autour de Paris, de sorte qu’un homme qui n’a pas vécu à Paris
DU SYMBOLISME AU SURRREALISME.
L’objectif de ce groupe est d’essayer de mettre en relief la convergence entre le symbolisme et le surréalisme.
DEFINITION :un phénomène diffus, aucune œuvre magistrale, des parodies dans une époque où toutes les
valeurs s’effondrent. Certains qui veulent voir l’un des avatars du romantisme.
HISTOIRE DU SYMBOLISME : symbolisme et décadentisme.
Après 1871,(guerre de la défense nationale qui se solde par la défaite française et avec l’armistice avec
l’Allemagne en pleine ferveur naturaliste, une jeunesse déçue et farfelue hante les cafés, réagit contre le
conformisme, contre la répression, agissement qui atteste qu’une fois de plus, rien ne va plus. Ce sont les
prédécesseurs directs des décadistes d’Anatoly Bayut. Le décadentisme incarné en des enceintes se présente
comme le syndrome d’une névrose, mot redondant sous la plume de Huysmans. Il témoigne d’une inaptitude
dans le père, la classe, la société, l’état, la solide résistance qui exige l’édification du moi, d’où la fuite, le
normalisme intellectuel et affectif, le nihilisme réactionnaire de Baudelaire.
DECADENTISTE/ DECADISTE/ NATURALISTE (des mouvements anarchiques).
L’anarchisme décadent et décadentiste, le naturalisme ont les mêmes révoltes contre une société qui fait de
l’argent la valeur suprême, presque toutes sociétés d’épiciers, d’affairisme et de spéculation.
En revanche, les décadents s’accordent à condamner le parnasse(théorie de l’art pour l’art), mais il est souvent
difficile de décider de tel ou tel symboliste ou présumé tel n’est pas parnassien attardé, encore quelques
parnassiens sont publiés par les revues symbolistes.
NAISSANCE DU CONCEPT :le mot symboliste est officiellement………………………………………
le symbolisme, en tant que concept apparaît pour la première fois dans le manifeste de Jean Moréas en 1886
dans le Figaro. Le symbolisme est défini d’abord par ses refus : refus du matérialisme, du positivisme d’une
société que le progrès scientifique……………………… et dégradé, rejet des esthétiques célèbres du culte
de cette réalité, enfin refus du monde contemporain tel qu’il est, aussi bien matériellement que spirituellement
laid, mesquin, immoralisant, étroitement nationaliste.
Cependant ce regard critique ne conduit pas uniquement au pessimisme de décadences, leur regard est aussi une
aspiration à l’au-delà, au-dessus du monde réel et aussi vers le monde futur.
Le mouvement regroupe essentiellement des poètes qui s’insurgent contre l’esthétique de «l’art pour l’art» et le
positivisme de la littérature nationaliste.
Les symboliste se rassemblent autour de Verlaine et surtout Mallarmé.
L’époque 1885-1895 est considérée comme celle du symbolisme :Rimbaud, Mallarmé, Verlaine, Baudelaire,
furent considérés comme les pionniers du symbolisme à l’étranger.
En définitive, l’importation du mouvement dans différents pays correspond à la conjoncture apocalyptique que
connaît chaque pays(désordre dans le monde entier).Ex :l’Espagne vient de subir l’humiliation de 1889 : la
flotte anéantie par celle des Etats Unis et les Philippines est perdue et Cuba et Porto Rico. Les espagnols se
replient donc sur eux-mêmes, mettent la raison à part, analysant le sentiment tragique de toute vie.
REMARQUE :ainsi, pour la première fois et jusqu’ici, la seule fois dans l’histoire de la littérature
universelle une école littéraire propage sur la planète entière son influence bien que ce mouvement ait avorté en
son pays d’origine.
CRITIQUE :
C’est une invention «d’enfants qui se sucent le pouce». Combattre les réactionnaires qui n’y voyaient
qu’anarchie par les idéologies marxistes qui, jouant sur les notions de «décadence» considèrent le symbolisme
comme un sous produit d’une bourgeoisie en faillite(en fait, ils lui reprochaient de n’être ni réaliste, ni civique).
Le symbolisme allait un peu partout et paradoxalement préparait la voie au modernisme du surréalisme. Mais le
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surréalisme n’atteindra jamais certains pays que toucha le symbolisme. A partir de 1925, l’empire communiste
lui interdit ses frontières.
LE SURREALISME
Le surréalisme domine l’histoire de la sensibilité de ce siècle, du siècle précédent. Cependant, ce mouvement a
peut-être moins inventé une sensibilité nouvelle :quelques une de ses aspirations caractérisent déjà le
romantisme du 19ème siècle :affirmation de la nature essentiellement poétique de l’homme, appel aux puissances
de la vie inconsciente de l’imagination et du rêve. Mais il se caractérise principalement par le fait d’être un
incomparable révélateur de revendication(latente)littéraire soumise à l’urgence du désir, la psychanalyse
envisagée dans son pouvoir critique plus que thérapeutique, matérialisme contesté par le hasard
«objectif»(coïncidence entre deux choses),communisme affronté aux exigences de la subjectivité.
LE SURREALISME DANS SON HISTOIRE :
A) La conscience malheureuse :1919-1922, c’est à dire juste après la 1ère guerre mondiale ; le surréalisme
est né d’une guerre, la 1ère à remettre
en cause toutes les bases et les fondements sociaux et existentiels du monde entier. Le cataclysme(désordre)
où s’enfonça l’Europe en 1914 a révélé l’ampleur d’une crise intense(il y avait l’angoisse). L’art avait
désormais cessé d’être une fin en soi. La révolte donc et c’est l’amitié
de Breton avec Aragon(poète) et Philippe Soupault qui allaient féconder cette révolte avec la fondation en
mars 1919 de la revue «Littérature». Paul Eluard rejoint le groupe après.
B) L’ordre du jour du groupe :former un groupe qui, par delà de la révision des formes de l’art puisse
efficacement intervenir sur la question de sa destination : «Pourquoi écrivez-vous ?».
C) Attitude réaliste :point de vue d’André Breton :elle est inspirée du positivisme à l’ère hostile(s’insurge
contre le négatif) à tout essor intellectuel et moral ; elle est faite de médiocrité, de la haine et plate
suffisance.
LE SURREALISME INTUITIF 1922-1924 :
Avec la rupture du mouvement Dada, il y a apparition d’une revue «Littérature», dans cette revue les
surréalistes se regroupent autour de Breton ; l’objectif au début n’était pas de créer une école artistique, cette
réunion consiste à explorer les continents, l’inconscient, explorer la folie, la névrose.
Dans les années 20, à partir de 1914, il y a apparition de la psychanalyse Freud- consiste à l’investigation.
Freud-Breton 1924 : je ne comprends rien de ce mouvement.
Citation de Freud : « Et maintenant(1932), un aveu que vous devez accueillir avec tolérance ! bien que je
reçoive tant de témoignages de l’intérêt que vous avez porté à mes recherches, moi-même je ne suis pas en état
de me rendre clair ce qu’est et ce que veut le surréalisme. Peut-être ne suis-je en rien fait pour le comprendre,
moi qui si éloigné de l’art».
Schizophrénie :dérèglement du système nerveux, psychose caractérisée par la rupture du contact avec le monde extérieur, le monde extérieur paraît
comme irréel.
Autisme :repli sur soi-même, état surréel, les psychanalystes disent que l’origine d’autisme est du au traumatisme. Rapport conflictuel mère-enfant.
Le surréalisme se cristallise en 1924 «le Manifeste du Surréalisme», rédigé par André Breton(surréalisme :sortir
de l’ordinaire), annoncé par Apollinaire(l’esprit nouveau,1917), ses idées concernent la guerre prolonge le
mouvement Dada.
Les surréalistes, pour eux, la poésie permet l’épanouissement de la subjectivité ; la poésie ne lie le talent
individuel que pour mieux rendre à chacun la disposition intégrale de son être. A la permanence du groupe
réaliste, Rue Grenelle à Paris(un bureau de recherche ouvert à tous les anonymes porteur de secret de révolte et
de rêve, va tenter de réaliser le vœu de Lautréamont(poète) «Que la poésie soit faite par tous».
L’AGE DE RAISON 1925-1939 :
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Les surréalistes étaient marqués par les grands systèmes de représentation du monde(le marxisme, le
capitalisme…). Hitler, avec le nazisme inspiré de Nietzsche, pas de morale, il y a la loi de la
jungle(opposition :culture-nature), le plus fort extermine le faible, c’est la loi de la nature.
Discours éristique :discours qui essaie de crever l’autre quoiqu’il dise.
Marqués par la crise des grands systèmes de représentation du monde, les surréalistes furent……………… de
nouveaux fondements comme leurs contemporains. Les marxistes comme déjà les romantiques du siècle
précédent, ils recherchaient des lois sur lesquelles asseoir de nouvelles approches de l’homme. Pour eux, le
surréel n’est pas donné spontanément, il faut désirer l’imposer contre l’appareil répressif de la raison, de la
logique, de la morale, de la famille, de la société.
C’est par ses discours et ses exigences les plus directes que tend à s’exercer chez l’homme la faculté de la
connaissance(la psychanalyse est d’essence sexuelle, désir) et l’on trouvait dans les déclarations surréalistes
cette mise en lumière nietzschéenne des sources pulsionnelles de la connaissance «Breton» sur l’ère de la
modernité, du soupçon.
L’AGE METAPHYSIQUE 1939-1950 :
L’inquiétude, c’est à dire la mise en question de ce monde et le refus de chercher le salut hors de lui reste au
cœur de l’aventure surréaliste.
En 1937, lorsque apparut «l’amour fou» de Butor, ce souci de rendre objectif le hasard comme une réponse
métaphysique à l’irrationalité des conduites humaines.
L’échelle des tentatives de transformation de l’homme surréaliste de l’union soviétique n’a pas changé. Le
retour de la sauvagerie sous ses formes totalitaires, les préparations d’une guerre que l’on pressent inévitable
pousse les surréalistes vers des positions progressivement spéculatives. La 1ère guerre avait libéré leur pouvoir
critique ; la 2ème, va accuser en eux un désir sur un plan archaïque(époque passé) que celui des conflits sociaux.
Les prolégomènes(introduction en tête d’un ouvrage) à un 3ème manifeste surréaliste ou non composés en 1942
à New York où est installé Breton.
Il est caractérisé à l’appel d’une prise de conscience, le retour à la condition de l’homme sous la condition
sociale, à son extrême précarité.
De plus, la dénonciation ne se limite pas à l’exploitation de l’homme par l’homme, mais s’étend à
«l’exploitation de l’homme par le prétendu Dieu» d’absurde et provocante mémoire.(les surréalistes s’insurgent
contre tout ce qui est doxa). Il vont stigmatiser, l’exploitation ne se limite pas par l’homme mais par Dieu ; la
loi divine représentée par la religion.
MORT ET REALISATION DU SURREALISME 1945-1969 :
En 1942, aux USA, Breton fonde la revue(VVV) autour de laquelle se maintient l’esprit du surréalisme.
En 1946, le mouvement surréaliste est attaqué par Tzara dadaïste. Surtout Sartre qui l’accuse d’inanité(vain,
vide).
SITUATION II :
Toujours aussi attentif aux manifestations de l’oppression, d’où elle vienne – protestation 1956 contre
l’intervention soviétique à Budapest (Hongrie). Soutient par Breton de la déclaration du 121 sur le droit
d’insoumission de la guerre d’Algérie 1960, la mort de Breton le 26-09-1966 précipite la fin d’un mouvement
dont Jean Shuster signera dans le «Monde» du 04 octobre 1969 l’acte de décès.
NOTES :
ECRIT-AUTOM :écriture incontrôlée qui n’obéit pas à la logique, c’est comme le malade mental, il divague,
parle d’une manière incontrôlée.
PULSION :tout ce qui pousse l’homme de faire tel ou tel acte, moteur caché
HUMOUR ET POESIE :sont toujours considérés par le surréalisme comme des moyens par lesquels l’esprit
affirme son indépendance, se libère du déterminisme. DETERMINISME :faits causés par leurs antécédents.
L’EXISTENTIALISME
HISTOIRE DE L’EXISTENTIALISME :
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L’existentialisme est le produit d’une époque, celle de relativisme scientifique et des décombres de la guerre,
révélateur de la faillite de l’humanisme et du double langage des idéologies(le 1er chantre aux USA des droits
de l’homme = la guerre contre l’Irak). En 1945 N.H.(les armes nucléaires) = l’absurde dont les discours
totalisants avaient bien conduit à diverses formes de totalismes(dictatures) aussi bien politique que culturel.
ORIGINES DE L’EXISTENTIALISME FRANÇAIS :
A-Russe :
L’existentialisme a été importé en France par des émigrés russes (philosophes fuyant la révolution d’octobre
1917 et des philosophes allemands traumatisés par l’effondrement de leur pays en 1918.
Le mouvement prit racines en France à partir de 1924, lorsque Nicolas s’installe à Paris ; il se développe plus
encore à partir de 1933, lorsque Gabriel Marcel forma un public philosophique à l’étude de Martin Heidegger et
de Jasper Kierkegaard(allemand) après les études d’un autre russe immigré Sh Aston furent traduites et éditées
en France.
POURQUOI L’EXISTENTIALISME RUSSE ?
Parce que les russes émigrés avaient assisté à l’écoulement d’un régime et d’un monde et à la construction d’un
autre régime et d’un autre monde.
La transposition de leur expérience exprimant l’angoisse qui saisissait en France, aux environ de 1933-1934,
des hommes qui entendaient craquer le vieux monde qui assistait à la levée de la classe ouvrière qui était saisie
à la fois par l’angoisse de la crise et la peur de la révolution.
Rappel :l’existentialisme n’est pas l’absurde.
L’absurde = quelque chose qui n’a pas de sens(intelligent, idiot) contradiction.
L’absurde est courant de pensée qui traduit une prise de conscience, souvent dramatique de l’irrationalité du
monde et de la destinée humaine, il se manifeste particulièrement dans l’existentialisme – Sartre - Camus.
(absurdité = manque de logique, idée ou parole absurde).
EXISTENTIALISME (Quid 2001, p.289) :mouvement philosophique(Sören Kierkegaard, danois,1813-1855)
animant au 20ème siècle des romans, drames, essais :l’homme a conscience d’exister, mais son existence lui
semble «absurde» et il se sent destiné au néant(sentiment de l’angoisse). Les principaux auteurs
français :Gabriel Marcel(1889-1973), Sartre(1905-1980), Camus(1913-1960), leurs personnages s’engagent
dans l’action pour échapper à l’angoisse.
EXISTENTIALISME(Larousse P.367) :doctrine philosophique qui s’interroge sur la notion d’être à partir de
l’existence vécue par l’homme, ce mouvement qui s’inspire surtout des idées de Kierkegaard et de Heidegger, a
eu pour principal représentant en France J.P Sartre.
CONDITIONS SOCIO-HISTORIQUES :né dans les décombres de guerre, la guerre = mort
universelle 1914-1918, période d’effondrement des mondes anciens, changement radical avec l’industrie, il y
avait des rapports de force, cela contribue aux affrontements ; l’homme tue l’homme : absurdité.
Actions humaines. Au nom de quelle valeur l’homme tue l’homme ? L’homme se sent seul :solipsisme, détaché
du monde. Il y a la révolte :se révolter ou fuir. Le monde n’a pas de sens :il faut l’accepter :abstraction(Sartre) =
faux révoltés, d’autres militent pour que ce monde reste dans son état normal.
Tzara 1917 : la révolution a laissé des traces. Conséquences de cette révolution :la société française consomme
des idées.
Les Allemands : il y a la conscience malheureuse, l’angoisse, la peur. 1914-1918 : il y a les armes à destruction
massive utilisées dans la guerre :l’homme avait peur devant l’existence :les actions humaines. Pourquoi les
hommes s’entretuent ? Expansion territoriale.
VERITABLE OBJECTIF DES GUERRES :usurpation des biens d’autrui(les autres).
Ex :Irak, invention d’une stratégie, il y a les motifs : cause apparente (libérer le peuple de la dictature), la
véritable cause n’est pas apparente. Pourquoi cette guerre ? pour s’emparer des richesses…
J.P.Sartre stigmatise la peur(blâme), la conscience malheureuse dans ce monde, l’homme perçoit le monde,
mais il y a une fracture ente le monde et l’homme.
Ex : le loup et l’agneau :parlons sémiotiquement = sujet –prime actant, prime actant réagit mais n’est pas sujet.
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