
Total Elf à Paris mais 60 % actionnaires étrangers. Exxon, entrpse américaine mais
départmt d’Etat dicte sa conduite.
-Changements techniques : évolution de + en + rapide. Chgmt de qualification, coût
social fort, exclusion technique, déqualification en augmentation. Exclusion massive.
Winner takes all. : « star system ».
Schumpeter parle de « destruction créatrice » : pas de création sans destruction.
Pb : qui en supporte le coût ?
-La « nouvelle économie » : industrie du savoir, de l’information et plus encore du
travail intellectuel, leur dynamisme permettrait une croissance forte et un faible
chômage. Nombreuses controverses autour de cette idée.
Chapitre 1 : La connaissance de la conjoncture : outils- méthodes
C’est la situation économique et financière à un moment donné.
-Rappel des indicateurs de base :
PIB global ou par tête, la production industrielle, l’emploi, le chômage, la balance
commerciale, la monnaie et financement.
Les agrégats macroéconomiques qui en sont les résultats et qui traduisent la
conjoncture : le taux d’épargne, l’investissement, le % conso/revenu.
Besoin de modification régulière des indicateurs : Ex : indice des prix : alimentation
40 % du budget des ménages en 1960, 10 % auj.
Pb de l’évaluation de l’éco souterraine. Hors circuit, donc non mesurable.
Distinguer les variations absolues des var. en %.
Ex. quand les investissements passent de 700 milliards à 650 milliards, on peut en
déduire qu’il y a eu une baisse des investissements
Mais quand le taux d’investissement passe de 4% à 2%, on peut dire que le taux
baisse, non pas l’investissement.
-Il faut tenir compte des écarts : pb de périodisation : court moyen long terme.
Sur court terme, les éléments ne changent presque pas. Sur long terme, les
variables changent (population, ressources nationales, comportement de l’Etat…)
Pb de phases : expansion, surchauffe, crise éco, récession, purge, relance,
expansion…
Voir cycle KONDRATIEv.
Schumpeter parle de » vague d’innovations ».
Théorie du cycle réel : les agents économiques sont rationnels, ils anticipent donc la
hausse des taux d’intérêt. Alors chocs extérieurs qui entraînent des mouvements
économiques (théorie des anticipations rationnelles).
En arrière plan, demeure une question : l’économie est-elle stable ?
Pour les néolibéraux, réponse positive ; la responsabilité des crises incombe donc à
une politique économique mauvaise ou à des chocs extérieurs.
Pour les keynésiens, l’économie est fondamentalement instable ; D’où la nécessité
d’une intervention de l’Etat.
-PB/ Comportement des analystes : incertitudes, erreurs et panurgisme. 5000
variables, bcp instituts Insee, FMI, OCDE, paradoxalement rôle des gourous de Wall