Orthographe. Réécrivez le texte en suivant les consignes ci-dessous : Conjuguez les verbes en italique à l’imparfait. Accordez correctement les adjectifs ou participes passés entre parenthèses. Au temps jadis vivre au fond d’une (sombre) forêt, dans une isba (isolé), une (vieux) boiteuse et ses trois filles qui être d’une (grand) beauté. Les (jeune) filles s’épanouir auprès de la (vieux) femme, comme des fleurs aux teintes (vif) autour d’une souche de bois (mort). La plus (jeune) être la plus (joli). Mais au fond de cette forêt (touffu), seuls pouvoir jouir d’une (tel) beauté le soleil pendant la journée, la lune et les étoiles pendant la nuit. [...] La (vieux) femme ne laisser pas ses filles perdre du temps à ne rien faire. Elles devoir travailler à leurs rouets du matin au soir et elles filer un fil d’or. Elles n’avoir aucun moment de libre, ni en semaine, ni même le samedi soir, pour se préparer un trousseau. Si le soir ou les nuits de clair lune elles n’arriver pas à prendre leurs aiguilles, le trousseau n’avancer pas. La vieille remplacer immédiatement la filasse (terminé) par de la nouvelle, et elle exiger que le fil (obtenu) soit de la plus (grand) qualité, d’une finesse (égal), sans le (moindre) nœud. Elle garder le fil d’or dans une cachette, et les (jeune) filles n’auraient pas osé y toucher. « Les fileuses d’or », in Contes Russes. Au temps jadis vivaient au fond d’une (sombre) forêt, dans une isba (isolée), une (vieille) boiteuse et ses trois filles qui étaient d’une (grande) beauté. Les (jeunes) filles s’épanouissaient auprès de la (vieille) femme, comme des fleurs aux teintes (vives) autour d’une souche de bois (mort). La plus (jeune) était la plus (jolie). Mais au fond de cette forêt (touffue), seuls pouvaient jouir d’une (telle) beauté le soleil pendant la journée, la lune et les étoiles pendant la nuit. [...] La (vieille) femme ne laissait pas ses filles perdre du temps à ne rien faire. Elles devaient travailler à leurs rouets du matin au soir et elles filaient un fil d’or. Elles n’avaient aucun moment de libre, ni en semaine, ni même le samedi soir, pour se préparer un trousseau. Si le soir ou les nuits de clair lune elles n’arrivaient pas à prendre leurs aiguilles, le trousseau n’avançait pas. La vieille remplaçait immédiatement la filasse (terminée) par de la nouvelle, et elle exigeait que le fil (obtenu) soit de la plus (grande) qualité, d’une finesse (égale), sans le (moindre) nœud. Elle gardait le fil d’or dans une cachette, et les (jeunes) filles n’auraient pas osé y toucher.