et l’employeur va commencer a douter de la qualification du salarié. C'est la théorie de
George Stigler dans Job Search.
Doc 6,7- La baisse du coût du travail est-elle dans l'intérêt des entreprises ?
Le salaire d’efficience est le salaire qui va motiver le salarié, cela permet d’augmenter la
productivité, motiver les travailleur, attirer les meilleurs éléments, les fidéliser (intérêts
certains car lorsque quelqu’un démissionne il y’a des coûts "turn over"). Cela explique
pourquoi les salaires sont rigides à la baisse même en période de chômage, les employeurs
vont chercher à augmenter les salaires.
De plus ils peuvent écarter les moins qualifié pour le poste; retenir les insiders et écarter les
outsiders.
Doc 8,9- La segmentation du marché du travail
Le marché primaire représente des emplois stables à haute rémunération, bien protégé par
les syndicats, avec une perspective d’évolution, de bonne condition de travail, ce sont les
personnes qualifiées. Ils ne sont pas vraiment substituable car ils sont recherchées pour
leur haute qualification, ça correspond a des entreprises où le coût salarial n’est pas
forcément une variable déterminante, une entreprise avec une compétitivité hors prix.
Le marché primaire ne peut pas être analysé à partir du modèle néoclassique du marché du
travail car le travailleur est en position de force
Le marché secondaire représente des emplois nécessitant peu de qualifications, dans des
entreprises qui sont plus sensible aux prix, aux stratégies de compétitivité prix, peu
défendu par les syndicats.
Les salariés sont plus substituables, c’est un marché qui fonctionne plus sur les hypothèses
néoclassique.
Le facteur travail n’est pas homogène car on a deux marchés qui ne fonctionnent pas de la
même manière, on a une multitude de marché avec des contraintes différentes et des
spécificités différentes.
Les salaires en France sont inégaux entre hommes et femmes et entre CSP. Le plus grand
écart de salaire entre H/F se trouve chez les cadres supérieurs et l’écart le plus faible se
trouve chez les employés. Il est segmenté par la qualification et le genre : les écarts de
salaires ne sont pas seulement des différences de productivité, c’est aussi des différence de
sexe, de pouvoir de négociation, de réseaux sociaux(accès a plus d’offres et d’emplois), ça
dépend du bassin d’emploi (quantité d’emploi disponible)
Les salaires en France sont segmentés par genre et qualification des PCS.
Doc10- Atomicité et marché du travail
Dans une concurrence pure et parfaite la transparence correspond à une multitude
d’acheteur et de demandeur, personne n’est "price maker".
Cependant, il n'y a pas présence d' atomicité sur le marché du travail à cause de l’existence