Contact presse :
Morgane Quéran / ACCELYA
Tél. : 01 47 29 76 55
morgane.queran@accelya.com
Communiqué de presse
La facturation électronique au sein du Groupe Yves Rocher :
un projet d’envergure, et des bénéfices immédiats pour tout le réseau !
9 septembre 2013 - Le Groupe Yves Rocher vient de lancer un projet de
dématérialisation de ses factures clients. Celui-ci a, dans un premier
temps, été déployé auprès des Partenaires magasins France de la
Marque Yves Rocher, avec un retour sur investissement obtenu en
moins de dix mois. Fort de ce succès, le Groupe envisage de bientôt
déployer ce projet à l’international ainsi qu’à d’autres de ses Marques.
Partant d’une réflexion en interne partagée entre la finance et le commerce, le Groupe Yves
Rocher s’interroge, fin 2011, sur un possible projet de dématérialisation fiscale de ses factures
non seulement en France, mais aussi à l’international.
L'enjeu fort était d’adapter la facturation électronique aux filiales clientes en France, pour obtenir un résultat « zéro papier ». Le
projet est alors mené tout d’abord sur la chaîne de magasins Yves Rocher France, représentant plus de 600 magasins, Partenaires
en franchise et gérantes, pour un volume annuel de 140 000 factures et 60 000 avis de paiement.
La dématérialisation des factures impliquait ici non pas deux, mais trois acteurs-clés : la Marque Yves Rocher, ses Partenaires
magasins, ainsi que leurs cabinets comptables. Avant la dématérialisation, plus d’un demi-million de pages étaient imprimées,
représentant du temps d’impression, de tri, mais aussi des ressources, des consommables : les factures étaient expédiées dans les
colis de marchandises, avec un décalage d’une semaine. Certaines factures pouvaient même faire l’objet d’un envoi postal pour
informer la Partenaire magasin et lui faciliter ses prévisions de trésorerie. La Partenaire recevant ses factures devait ensuite les
transmettre à son cabinet comptable.
Il existait donc une chaîne papier importante entre la Marque émettrice des factures, la Partenaire les recevant puis son cabinet
comptable. Ceci occasionnait pertes de factures, demandes de duplicatas, mais aussi parfois une vigilance accrue lors des clôtures
des exercices comptables, pour vérifier que la totalité des factures était bien en possession du cabinet comptable.
Après consultation de 6 prestataires, le choix final se porta sur Accelya, et le projet fut mis en place en 2012.
La dématérialisation fiscale se fait à la fois en facturation client et fournisseur, les Partenaires magasins étant à la fois des clients et
des fournisseurs quand la Marque Yves Rocher émet des factures « pour le compte de… », en autofacturation.
Les factures clients et fournisseurs sont désormais disponibles sur le portail dès le lendemain de leur création et validation. Il n’y a
plus de délai d’attente, les Partenaires magasins ont même une visibilité de leurs factures avant même la réception des
marchandises, un point intéressant en termes de contrôle interne. Il n’y a plus d’envoi postal des factures, avec, à la clé, une
absence totale de perte de documents, qui neutralise la précédente gestion lourde et coûteuse des duplicatas et relevés de comptes
aussi bien pour la Marque Yves Rocher, la Partenaire magasin, que pour son cabinet comptable.
Alain Lefeuvre, travaillant au sein de la Direction Financière du Groupe, commente : « Quand la facture est disponible dès le
lendemain des expéditions de marchandises, quand l’information facture est précise et claire à travers le portail Clear’ Invoice
d’Accelya, et que l’impression papier n’est plus nécessaire, c’est autant de gains sur la communication, l’accès aux factures et
davantage de disponibilité pour la cliente. La consultation et l’usage du portail Clear’ Invoice permet au quotidien une optimisation de
la gestion prévisionnelle de trésorerie par les Partenaires magasins.», avant d’ajouter : « Nous avons aussi mis en place un fichier
mensuel récapitulatif, en fait l’équivalent des « pieds de factures », qui est disponible sur le portail de la Partenaire magasin et de
son cabinet comptable, donc celui-ci n’a, en théorie, plus besoin de procéder à l’enregistrement manuel des factures : pas
d’impression, zéro papier dans la chaîne documentaire du traitement de la facture, une proposition d’intégration automatique dans le
système d’informations du cabinet comptable… c’est, à mon avis, un vrai point fort de ce projet ».