Autobiographische Fiktion Fiktionale Autobiographie- Jurt
jaune = mes remarques
Proust
A la recherche du temps perdu
se représente comme un roman (fiction)
d’après la finition de Lejeune (auteur=narrateur=personne) il ne s’agit pas d’une
autobiographie
le protagoniste s’appelle « Marcel » comme Proust
le narrateur Marcel et l’auteur ne sont pas identique
ils ne sont pas totalement séparés non plus
rétrospective = forme d’une autobiographie
= fiction, mais marquée par beaucoup d’expériences autobiographique
les limites ne sont pas claires
typique pour la moderne ( Musil, Joyce)
3 Autoren nach Proust : Céline, Nizan, Ernaux
Céline
1926 „L’Eglise“ (pièce de théâtre)
les expériences biographiques de Céline comme médecin en Afrique et aux Etats
Unis
ressemblances entre le héros et Céline
mais : déjà à cause du genre du théâtre (Mimesis), les normes du langage les
personnes de la pièce sont bien séparées de l’auteur
1932 « Voyage au bout de la nuit » (roman)
histoire ressemble à celle de l’Église, mais en plus : la guerre
Céline a été blessé en 1914, décrit la cruauté de la guerre
dans le genre du théâtre : une description d’une expérience aussi personnelle n’était
pas encore possible
mais dans le roman : une narrateur = instance centrale mieux pour transmettre des
expériences subjectives
le narrateur a le même prénom que Céline
style orale, perspective personnelle subjectivité
perspective temporelle = rétrospective, le narrateur essaye de se souvenir = typique
pour l’autobiographie
souvent : d’abord une pièce de théâtre ou un roman à la troisième personne, et plus
tard : à la première personne (Proust, Céline, Ernaux)
le roman de C. est plus autobiographie que celui de Proust
beaucoup de signes d’authenticité : des noms propres sont changés mais encore
reconnaissables (p.ex. Mauriac Lauriac)
mais : traite la chronologie assez librement, quelques détails invraisemblables, il n’y a
pas de dates exactes (serait un indice pour l’autobiographie), le genre du texte est
appelé « roman »
« crise de la fiction » (mais : Mémoires d’outre-tombes de Chateaubriand,
Confessions de Rousseau)
d’après Lejeune : on ne peut plus distinguer entre le « pacte romanesque » et le
« pacte autobiographique »
Nizan
« Anoine Bloye » (1932) roman
ascension sociale à l’aide de la réussite/éducation; épouse une femme bourgeoise ;
de plus en plus d’aliénation morale et sociale de sa classe d’origine sans l’intégration
dans le milieu bourgeois; avant sa mort il se sent coupable d’avoir été infidèle à sa
classe sociale d’origine (comme Ernaux !!)
modèle (auto)biographique : père de Nizan ; mais seulement inspiré par l’histoire de
son père, il change
le roman commence par la mort du père (comme La place) le fils d’Antoine =
Pierre représente Nizan ; il est a la recherche de ses racines sociales
puis : narrateur omniscient
forme : écrit à la troisième personne pas de perspective subjective
Ernaux
« La place » 1983
fait penser au roman de Nizan : histoire d’un père, problème de la mort et de la
trahison
pas de sous-titre « roman »
sur le verso du livre : « La narratrice n’est personne d’autre que l’auteur »
conte qui raconte une parte de la propre expérience
la narratrice est identique avec l’auteur, pas avec la protagoniste (rélféxions
d’auteur, difficultés d’écrire.. ;
on ne sait jamais s’il ne s’agit pas seulement d’un auteur abstrait/imaginé un truc
pour rendre l’histoire plus authentique! (théoriquement))
raconté à la première personne
beaucoup de parallèles à la vie d’Ernaux (Capès à Lyon, année…..)
mais : sujet du livre nest pas sa propre vie mais la vie de son père
= dimension autobiographique !
elle parle aussi d’elle-même parce qu’elle parle de la relation entre son père et elle-
même
comme chez Nizan : le roman commence avec la mort du père = début du procès
de réflexion et plus tard de l’écriture
trahison :
épitaphe de Genet : « Ecrire c’est le dernier recours quand on a trahi »
la trahison de l’auteur « Je voulais… écrire au sujet de mon père, sa vie, et cette
distance venue à l’adolescence entre lui et moi. Une distance de classe… »
E. veut sauver la dignité du peuple simple en écrivant (???mais il le critique
beaucoup !!!)
l’auteur avait pensé d’écrire un roman mais il est trop artistique pour se reprocher du
père « ..j’ai commencé un roman dont il était le personnage principal. Sensation de
dégoût au milieu du récitPour rendre compte d’une vie soumise à la nécessité, je
n’ai pas le droit de prendre d’abord le parti de l’art, ni de chercher à faire quelque
chose de « passionnant » ou d’émouvant. Je rassemblerai les paroles, les gestes, les
goûts de mon père, les faits marquants de sa vie, tous les signes objectifs d’une
existence que j’ai aussi partagée. »
roman : genres avec des règles normatifs
elle essaye
d’éviter l’idéalisation ou le refus du père
de trouver le langage des parents, prose simple L’écriture plate me vient
naturellement, celle- même que j’utilisais en écrivant autrefois à mes
parents…»)
autobiographie au niveau
du contenu
pacte de l’authenticité ???
de la narration/perspective à la première personne
la façon d’écrire : marqué par des expériences personnelles (comme
l’écriture orale de Céline) ; l’aliénation des parents par le langage de
l’école…
écrire pour faire disparaître le fossé entre son père et elle-même
titre « La place »
Jurt : le père ne cherche pas l’ascension sociale (mais : ce n’est pas vrai, il
essaye d’abord, puis il rénonce et il reste à sa place ) Leitmotiv du père : « Il
ne faut pas péter plus haut qu’on l’a. »
peur du père d’être déplacé (chez le notaire…)
« Une femme » (1987)
la vie de sa mère
E. essaye de « rester au-dessous de la littérature », le procès de réflexion sur
l’écriture/la forme est quand même un indice pour la littérature « En fait je passe
beaucoup de temps à m’interroger sur l’ordre des choses à dire, le choix et
l’agencement des mots… »
« une femme » mère = représentant de beaucoup de femmes ; la classe sociale « Ce
que j’espère écrire de plus juste se situe sans doute à la jointure du familial et du
social, du mythe et de l’histoire »
l’auteur souligne : « Ceci n’est pas une biographie, ni un roman naturellement, peut-
être quelque chose entre la littérature, la sociologie et l’histoire » comme Nizan :
elle veut montrer par la vie d’un individu la dimension sociale ou la détermination
l’auteur veut trouver la vérité sur sa mère ( son père), Nizan ne cherche pas cette
vérité personnelle, mais veut donner un exemple
typique pour l’autobiographie littéraire : le but de trouver qc d’universel dans la vie
individuelle
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