UNIVERSITE DE GRENOBLE Collège Doctoral _____________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ ANNEE UNIVERSITAIRE 2010/2011 AVIS DE SOUTENANCE DE THESE [ Pour confirmation des horaire et lieu de Soutenance de la Thèse par le Doctorant et diffusion via Internet par le Bureau de Gestion des Thèses du Service Central de Scolarité à une liste pré-établie de destinataires ] Toutes les rubriques mentionnées doivent être obligatoirement renseignées et leur mise en forme respectée, par le Doctorant. Le 18/10/11 à 10H00 Soutenance de M.Arnaud MORLIER pour une thèse de DOCTORAT de l’Université de Grenoble, spécialité Matériaux, mécanique, génie civil, électrochimie intitulée : Propriétés barrière de structures hybrides – Application à l’encapsulation des cellules solaires. Lieu : Amphithéatre 1, Batiment IUT, Avenue du lac d’Annecy, 73376 Le Bourget du Lac Thèse préparée dans le laboratoire LEPMI/LMOPS, sous la direction conjointe de Mme N.D. ALBEROLA et M. S. CROS (CEA). R E S U M E D E T H E S E (en 10 lignes maximum) Les matériaux utilisés pour diverses applications en électronique organique ou photovoltaïque de nouvelle génération subissent des dégradations sous les effets conjugués de l’eau et de l’oxygène. Afin de limiter cette dégradation, ces dispositifs peuvent être encapsulés à l’aide de matériaux barrière à l’oxygène et à l’eau. Pour l’encapsulation des cellules photovoltaïques organiques, les perméabilités à l’eau (WVTR) et à l’oxygène (OTR) de l’encapsulant ne doivent pas excéder 10-3 g.m-2.j-1 et 10-3 cm3.m-2.j-1 respectivement. L’objectif de ce travail de thèse est l’étude et l’élaboration par voie humide d’une structure multicouche hybride organique/inorganique flexible, transparente et barrière aux gaz à l’aide procédés bas-coût et transposables à grande échelle ainsi que la compréhension des mécanismes permettant de limiter la diffusion des gaz au travers de cette structure. Cette étude a permis de montrer que les structures barrières élaborées par voie liquide constituent une alternative de choix pour l’encapsulation à grande échelle de cellules photovoltaïques organiques. MEMBRES DU JURY M. Jean-Luc GARDETTE Professeur, LPMM, Université Blaise Pascal Clermont-Ferrand, Président, Rapporteur. M. Yves LETERRIER Maître d’enseignement et de recherche, LTC, Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, Rapporteur. M. Jean-Luc LOUBET Directeur de Recherche CNRS, LTDS, Ecole Centrale de Lyon, Membre. M. Manuel HIDALGO Ingénieur, Arkema, Membre. M. Lionel FLANDIN Professeur, LEPMI/LMOPS, Université de Savoie, Membre. Mme. Nicole ALBEROLA Professeur, LEPMI/LMOPS, Université de Savoie, Membre. M. Stéphane CROS Ingénieur CEA Liten, DTS/LMPV, Le Bourget-du-Lac, Membre. Mme. Sandrine BEC Chargée de recherche CNRS, LTDS, Ecole Centrale de Lyon, Invitée. Fait à Grenoble, le 10 Octobre 2011