GLOSSAIRE BIOLOGIE Syllabus 4

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GLOSSAIRE BIOLOGIE
Syllabus 4
A
Acrasiale : unicellulaire qui passe la majorité de sa vie sous forme d’une amibe mais en cas
de stress, elles peuvent s’unir pour former un pluricellulaire qui va grandir et ramper vers la
lumière. Ressemblant à un champignon, un sporocarpe est formé et va lâcher des spores. Le
pluricellulaire meurt ensuite.
Acrosome : organite propre aux spermatozoïdes qui renferme les enzymes qui permettront
au spermatozoïde de pénétrer dans l’ovule.
Aerobique : organisme vivant qui a besoin d'oxygène pour vivre
Anaerobique : organisme vivant qui n’a pas besoin d’oxygène
Allantoïde : diverticule endoblastique formé par le plancher de l’intestin postérieur en
arrière du cana vitellin. Il va s’enfoncer dans le célome extraembryonnaire en entrainant la
splanchnopleure. Son extrémité distale se dilate en une vésicule qui s’insinue entre l’amnios
et la séreuse. Va plaquer la séreuse contre la membrane de la coquille et refouler l’albumen
dans un bout de l’œuf où elle l’enveloppe. Elle est fortement vascularisée. Elle assure la
fonction respiratoire (en jonction avec la coquille poreuse), une fonction digestive (participe
à l’absorption de l’albumen, fonction excrétrice (déchets azotés éliminés par les reins
s’accumulent dans l’allantoïde sous forme de cristaux d’urates) et une fonction
squelettogène (dans les derniers jours elle absorbe des sels de la coquille pour minéraliser le
squelette de l’embryon et facilite en même temps l’écolsion). Chez les mammifères elle reste
assez primitive mais le splanchnopleure extraembryonnaire prolifère et constitue un vaste
réseau de vaisseaux sanguins.
Alternance de génération : reproduction via 2 formes :
 le gamétophyte : formation des gamètes (anthérozoïde/oosphère) par mitose –
produit des gamètes haploïdes et est lui-même haploïde
 le sporophyte : formation de spores par méiose – phase diploïde produit des spores
haploïdes.
Alvéoles pulmonaires : lieux où se font les échanges gazeux entre l'air et le sang. Ils se
situent aux extrémités des bronchioles. Couverts d’une mince pellicule d’eau.
Amibe : englobe de nombreux groupes de protistes amiboïdes appartenant à différents
taxons eucaryotes: Il ne s'agit donc pas d'un groupe monophylétique mais polyphylétique ;
l'ancêtre commun à toutes les amibes est peut-être également l'ancêtre commun de tous les
eucaryotes.
AMPc : adénosine monophosphate cyclique (l’AMP est l’un des monomères constituant
l’ADN). L’AMPc et l’AMP 3’ 5’ diffusées dans un milieu par des bactéries attirent les
amibes acrasiales.
Amnios : annexe embryonnaire qui constitue la paroi didermique interne des replis
amniotique (elle délimite donc la cavité amniotique). Il ne sera pas vascularisé
Anamniote : vertébrés dépourvus d’amnios (poissons, batraciens)  inféodé au milieu
aquatique pendant le développement embryonnaire
Amniote : vertébrés pourvus d’un amnios. (reptiles, oiseaux et mammifères). Chez ces
vertébrés, il y a quatre annexes embryonnaires : le lécithocèle, l’amnios, la séreuse et
l’allantoïde. Chez les reptiles et les oiseaux, il y a en plus de l’albumen (réserve extra
ovulaire) et une coquille)
Amphimixie : dernier stade de la fécondation. L’ovule achève ses divisions de maturation (si
elles n’étaient pas déjà complètes). Les deux noyaux haploïdes se modifient pour devenir le
pronucléus femelle et le pronucléus mâle. Le pronucléus mâle effectue une rotation de 180°
entrainant avec lui les centrioles paternels, créant un ensemble de microtubules rayonnant :
le spermaster. Les deux pronucléus migrent l’un vers l’autre et lorsque les enveloppes
nucléaires entrent contact puis disparaissent l’amphimixie est accomplie. Les nucléoles se
résorbent, le spermaster évolue en un fuseau mitotique tandis que les chromosomes
maternels et paternels se mêlent pur former la plaque équatoriale du zygote.
Anagenèse (évolution phylétique) : voie de spéciation qui désigne l’accumulation de
changements héréditaires dans une population qui aboutit à la transformation de cette
population en une nouvelle espèce.
Analogie : caractère que présente un ensemble d’espèces, mais que ne présentait pas leur
plus proche ancêtre commun. Ce caractère est le résultat d’une évolution par convergence
pour s’adapter au même milieu ou au même mode de vie.
Animaux : eucaryote pluricellulaires hétérotrophes (mode de nutrition étant l’ingestion),
possèdent du tissu nerveux musculaire, leurs cellules n’ont pas de paroi. 35 phyllum en tout.
 Parazoaires : dépourvus de symétrie et de tissus organisé (expl éponges)
 Eumatzoaire : ont une symétrie et des tissus organisée. Leur symétrie est radiaire ou
bilatérale.
 Chez les bilaéral on a les acoelomates qui n’ont pas de cœlome, les
pseudocoelomates (faux coelomate) et les coelomates
 Chez les coelomates on retrouve les protostomiens et les deutérostomiens
Anneaux d’espèces : une série de populations voisines dont certaines populations
relativement apparentées peuvent se reproduire entre elles, mais au sein de laquelle il
existe au moins deux populations « terminales » qui sont trop peu apparentées pour qu'il y
ait inter-reproduction. Expl goélands
Annexe embryonnaire : organes provisoires formés par des expansions extraembryonnaires
des trois feuillets. Assurent la protection, la nutrition, la respiration et l’excrétion.
Anhydrase carbonique : enzyme présente dans les globules rouges qui catalyse la formation
‘acide carbonique à partir d’eau et de dioxyde de carbone. Ainsi l’acide se décompose en ion
qui se combine avec l’hémoglobine pour faire une solution tampon afin que le CO2 ne
modifie pas le pH sanguin.
Appendice : organe vestigial. Diverticule située à la jonction de l’intestin grêle et du gros
intestin. Caractère homologue du cécum qui chez beaucoup de mammifères est une grande
cavité qui sert à digérer les végétaux.
Approche traditionnelle : méthode de classification qui repose sur 2 principes : 1. Les
groupes d’espèces formés ont un ancêtre commun 2. Les caractères doivent différer entre
les groupes, rendant chaque groupe unique.
Approche cladistique : essaie d’être plus objectif car 1. Elle tient compte des homologies 2.
Les groupes doivent contenir l’ancêtre commun et ses descendants c'est-à-dire, être
monophylétique.
Archentéron : chez les deutérostomiens, nom donné à l'intestin primitif, c'est-à-dire à la
première cavité qui traverse l'embryon en cours de développement tout en étant ouverte
sur l'extérieur. Formé au cours de la gastrulation, son plancher est constitué par l’endoblaste
et la voûte par le cordo-mésoblaste. Communique avec l’extérieur avec le blastopore.
Archéobactérie : procaryotes dont certains habitent dans des milieux extrêmes. Se sont
séparés très tôt des bactéries, elles semblent plus proches des eucaryotes que des bactéries
selon a comparaison des gènes codants des ARN ribosomiques.
Archéobactéries méthanogènes : tirent leur énergie de l’utilisation dihydrogène pour la
réduction du CO2. Elles sont anaérobiques empoisonnés par l’oxygène. Elles libèrent des
tonnes de méthanes dans l’atmosphère.
Archéobactéries extrêmophiles : se développent dans des condition qui paraissent extrêmes.
Il y a ainsi les halophiles (qui aiment le sel) qui vivent dns des edroits très salés :15 à 20% de
sel (3% de sel dans la mer). Il y a les thermophile qui se retrouvent dans des environnement
à des températures entre 60 et 80 °C, beaucoup un métabolisme basé sur le soufre et
résistent aux pressions extrêmes des fons marins. Les hyperthermophiles se développent à
des températures dépassant les 80°C. Il y a aussi les acidophiles qui tolèrent des pH de 0,7.
Archéobactéries non-extrêmophiles : vivent dans les même milieux que les bactéries.
Artère branchiale afférente : vaisseau sanguin venant du cœur transportant le sang peu
oxygéné et emplis de CO2 vers les branchies.
Artère branchiale efférente : vaisseau sanguin qui vient de passer par les branchies et dont le
sang est donc fortement oxygéné.
Arthropode : embranchement d'animaux invertébrés. Le corps des arthropodes est formé de
segments articulés, recouverts d'une cuticule rigide, qui constitue leur squelette externe,
dans la plupart des cas constitué de chitine. (expl : trilobites, crustacés, arachnides,
scorpions, insectes)
B
Bactérie : procaryotes. Il y a beaucoup de diversité que ce soit au niveau de la structure, de
la locomotion, de la forme, du mode de nutrition (chimioautottropes, photoautotrophes ou
chimiohétérotrohpe, photohétérotrophe.)
Barrières prézygotiques :
 Isolement écologique : population occupent des habitats différentspas de
rencontre
 Isolement éthologique : comportements différents  peu de chance qu’une
attraction sexuelle se manifeste entre les mâles et les femelles.
 Isolement temporel : accouplement ou floraison surviennent à des périodes
différentes
 Isolement mécanique : différence structurales sur le plan de l’anatomie des organes
génitaux ou de la configuration des fleurs
 Isolement gamétique : gamètes mâles et femelles rarement en contact (pas de
fusion, donc)
Barrière postzygotique :
 Viabilité réduite des hybrides : zygotes hybrides ne sont pas en mesure de se
développer ou d’atteindre la maturité sexuelle.
 Fécondité réduite des hybrides : généralement hybrides stériles.
 Déchéance des hybrides : même quand les hybrides sont viables et féconds, leur
descendance arrive rarement à l’être.
Biostratigraphie : méthode de datation basée sur la connaissance de l’époque d’un certain
type d’organisme qui peut aider à déterminer l’époque de fossiles retrouvés à ses côtés.
Blastomères : petites cellules résultant d’un grand nombre de mitoses après la fécondation.
Au cours d la segmentation le volume global de l’œuf ne varie pas : les blastomères sont
donc de plus en plus petits.
Blastomères animaux : blastomères du pôle animal séparé des blastomères végétatifs par un
clivage latitudinal. Le clivage étant légèrement subéquatorial, les blastomères animaux sont
plus petits et se divisent plus rapidement que les blastomères végétatifs.
Blastocèle (=cavité de segmentation) : cavité qui résulte de l’écartement de certains
blastomères à l’intérieur de l’œuf. Elle s’accroit progressivement et est entièrement
contenue dans l’hémisphère animal.
Blastula : résultat de la segmentation ; plusieurs milliers de blastomères.
Blastopore : orifice de la blastula résultant de l’invagination du matériel superficiel lors de la
gastrulation et constituera d'abord l’anus chez les deutérostomiens et d'abord la bouche
chez les protostomiens.
Blastocyste : embryon de mammifère dont les cellules périphériques de la morula se sont
déjà définies pour former le trophoblaste.
Bouchon vitellin : massif de grosses cellules riches en vitellus entourées par le sillon
blastoporal qui s’est rejoint en un cercle pendant la gastrulation. Il va progressivement
s’invaginer dans l’embryon pendant que le blastopore se rétrécit jusqu’à devenir une mince
fente circulaire.
Bourgeon caudal : stade de la vie de l’embryon où il a terminé l’organogenèse.
Bourrelets nerveux : bourrelets symétriques qui bordent la plaque neurale pendant la
neurulation.  L’épaississement des bourrelets forme les crêtes neurales qui vont évoluer
en ganglions nerveux, crâniens et rachidiens.
Branchie : organe respiratoire pour les organismes aquatiques tels que certains mollusques
et arthropodes, les poissons et certains amphibiens. Elles sont externes et donc exposées
aux altérations physiques, elles sont donc protégées par la coquilles chez les mollusques,
expansion de la cuticule chez les arthropodes et par un opercule chez les poissons osseux.
C
Capacité vitale : volume maximal d’air inspiré et expiré au cours d’une respiration forcée (
chez le jeune homme adulte : +/- 5 L)
Caractère apomorphe : dans l’approche cladistique de l’évolution, se dit d’un caractère
évolué, dérivé du caractère ancestral
Caractère plésiomorphe : se dit d’un caractère ancestral.
Carboxyhémoglobine : hémoglobine avec du CO fixée sur le Fe, plutôt que de l’O2,
problème, la carboxyhémoglobine est plus stable que l’oxyhémoglobine.
Carl von Linné (1707-1778) : fondateur de la taxinomie. Il élabora la nomenclature binomiale
et constitua une classification qui groupait des espèces en catégories de plus en plus vastes.
Caryocinèse : division du noyau (>< cytocinèse : division de la cellule)
Caryogamie : phase durant laquelle fusionnent les deux pronuclei (mâle et femelle) au sein
de l'ovocyte pour former la cellule œuf diploïde.
Cavité amniotique : jonction d’un repli amniotique antérieur de l’épiblaste et de la
pariétopleure avec un repli posétieure. Cette cavité entoure complètement l’embryon et se
remplit d’un liquide salin qui vient de l’albumen. La paroi didermique interne est l’amnios et
l’externe est la séreuse. Protège l’embryon contre la dessiccation et le préserve des
contraintes mécaniques. Chez les mammifères la cavité se creuse directement dans le
bouton embryonnaire.
Cellule multipotente : cellule qui pourra, selon son emplacement, engendrer un groupe de
tissus ou d’organes.
Cellule pluripotente : cellule souche qui vient d’un embryon où d’un organisme et adulte et
qui peut donner naissance à plusieurs types cellulaires mais pas à tous.
Cellules souches : cellule capable de générer des cellules différenciées, d’une part, et
capable de s’autorenouveler d’autre part. Cellule indifférenciée, ou peu, chez l’embryon ou
l’adulte, elle est à l’origine d’une ou de plusieurs lignées de cellules différenciées. Sa division
donne une cellule fille identique et une cellule fille qui se différencie. Espoirs pour des
maladies aujourd’hui incurables (Parkinson, myopathies,…), on peut prélever ces cellules
souches au stade des blastocystes chez l’embryon humain.
Cellule souche hématopoïtique : cellules capables de donner naissance à toutes les cellules
du sang.
Cellule spécialisée : cellule totalement fonctionnelle qui a atteint sa maturité
Cellule totipotente : cellule qui a la capacité de former toutes les parties de l’organisme
adultes. Cellules issues des premières divisions de l’œuf fécondé possèdent cette faculté.
Cellule unipotente : cellule qui ne peut se différencier qu’en un seul type cellulaire.
Chaînon manquant : intermédiaire structural, mais rien ne dit qu’il est l’ancêtre. C’est une
espèce vivante ou fossile qui présente une mosaïque de caractères de deux autres espèces
ou groupes d'espèces.
Charophyte : groupe d’algues vertes apparentés aux végétaux terrestre. On suppose qu’ils
avaient un ancêtre commun
Chimiotactisme : déplacement d’un organisme orienté par un gradient de concentration
d’une substance.
Chimioautotrophe : organisme autotrophe incapable de photosynthèse mais tirent leur
énergie de l’oxydation de substance chimiques inorganique et puisent le C dans le CO2.
Chimiohétérotrophe : organisme hétérotrophe incapable de photosynthèse et puise son
énergie et son C de par des cadavres.
Chitine : molécule structurale importante des champignons et des arthropodes.
Chlorophylle : pigment photosynthétique capable d’absorber la lumière. La chlorophylle a
absorbe à 700 nm et la chlorophylle b à 680 nm
Chloroplaste: organites propres aux cellules eucaryotes autotrophes siège de a
photosynthèse. Délimité par une membrane unitaire externe et une membrane interne,
toutes deux lisses. Sont capables d’autoréplication, il y a dans le stroma un ADN annulaire et
des ribosomes qui assurent la synthèse de certaines enzymes.
Choanocytes : cellules de l’éponge qui présentent une collerette de microvillosités
contractiles entourant un flagelle. Elles capturent les particules alimentaires contenues dans
l’eau et sont groupés en unité fonctionnelle de 50 à 100 cellules ; chambres choanocytaires.
Le battement coordonné de leurs flagelles assure la circulation de l’eau.
Chromosome plumeux : chromosome qui a perdu provisoirement son aspect condensé pour
en prendre un plus délié lors de la croissance ovocytaire.
Clade : rameau évolutif monophylétique défini par la présence de caractère nouveau dits
apomorphes, qui sont propres aux espèces qui le constituent. Toutes les espèces d’un clade
ont une origine commune.
Cladogenèse : voie de spéciation qui désigne l’évolution divergente : une nouvelle espèce
émerge d’une petite population issue d’une espèce mère  source de diversité biologique.
Cladogramme : arbre phylogénétique cladistique.
Cnidaires : pluricellulaires qui ont une symétrie radiaire et sont constitués de deux tissus
épithéliaux emboités l’un dans l’autre : l’ectoderme et l’endoderme. Malgré une
organisation au niveau tissulaire, ils sont dépourvus d’organes spécialisés.
Cnidocyte : cellules urticantes ou paralysantes qui couvrent les tentacules des cnidaires et
leurs servent à capturer leur proies. Ces cellules sont propres aux cnidaires.
Cnidocyste : petite capsule limite par une paroi épaisse qui se trouve dans les cnidocytes. Sa
paroi se prolonge à une extrémité par un long filament tubulaire invaginé. Le cnidocyste
contient aussi un liquide toxique ou agglutinant. Il suffit d’un choc mécanique pour
provoquer la dévagination du filament et l’injection du venin. Ce venin a une double action ;
hémolytique et neurotoxique.
Cœlome = célome : cavité générale (dite cœlomique), bordée par le mésoderme, qui en
forme la membrane. Permet le développement de systèmes organiques fficaces.
Compétence : aptitude d’un territoire embryonnaire à répondre ou non à une influence
inductrice particulière.
Convergence (acte de la gastrulation) : regroupe le territoire présomptif cordal très étalé sur
la blastula dans le plan sagittal. D’abord en surface puis ne profondeur, ainsi on a bien une
tigelle médio-dorsale.
Cordo-mésoblaste présomptif : anneau inséré entre l’endoblaste et l’ectoblaste. Le
cordoblaste y occupe la région située au-dessus de la lèvre blatsoporale dorsale.
Cordon ombilical : pédoncule d’origine allantoïdienne doublé du lécithocèle qui s’est allongé.
Assure la liaison entre l’embryon et la surface des enveloppes.
Courbe de dissociation de l’oxygène : graphique qui représente l’affinité de l’hémoglobine
tétramère pour l’O2 pour des pressions partielles variant de 0 à 14 kPa (avec 1 atm= 101,3
kPa). Montre la quantité d’O2 libéré en condition normales et la réserve qui peut être
libérée dans les issus à métabolisme élevé.
Croissant gris : après la rotation de symétrisation de la pellicule corticale, i y a apparition
d’un croissant partiellement dépigmenté : le croissant gris. Il correspond à la future région
dorsale de l’animal, il est symétrique par rapport au plan qui contient l’axe animal végétatif
et le point d’entrée du spermatozoïde. Ce plan correspond au plan sagittal du futur animal
Créationnisme : Il y en a plusieurs sortes (a) littéralisme jeune terre : ceux qui lisent les textes
sacrés sans en modifier une seule ligne. La terre est née il y a 6000 d’années. (b)
progressisme vieille terre : il y a eu plusieurs créations, ils admettent le vieil âge de la terre.
(c) intelligent design : ils admettent le vrai âge de la terre, l’évolution aussi mais celle-ci a un
but précis car une entité supérieure les dirige selon des tendances évolutives ; ils rejettent
donc la sélection naturelle.
Cuticule : cire qui rend la plante imperméable (caractère dérivé secondaire)
Cuvier (176-1832) : partisan de la thèse cataclysmique, il a cependant apporté une grande
contribution au sein de la biologie et de la géologie. Il est le fondateur de l’anatomie
comparée des vertébrés et de la paléontologie stratigraphique. Dans ses travaux ont voit
nettement la progression de la complexité des formes de vies mais malgré tout il reste un
fixiste convaincu et méprise Lamarck.
Cyanobactérie : ou algues vertes. Capable de photosynthèse.
Cytochrome : coenzymes intermédiaires de la chaîne respiratoire. Il contient un atome de fer
ou de cuivre qui lui donne des propriétés oxidoréductrices utilisées pendant la respiration.
D
Darwin (1809-1882): au cours d’une expédition où il avait accumulé du matériel biologique
du littoral Sud-américain (particulièrement les pinsons de différentes îles), Darwin comprit
que l’origine de nouvelles espèces et l’adaptation constituent un processus lié. Les nouvelles
espèces émergent d’une forme ancestrale par l’adaptation graduelle à un milieu différent.
Dans chaque biotope, les espèces les mieux adaptée sont imposées parce qu’ayant le plus de
chance d’atteindre l’âge de la reproduction, elles ont le plus de chance de transmettre leurs
caractères. Le Darwinisme fonde l’unité et la diversité du vivant sur l’évolution et explique
l’évolution par sélection naturelle.
 Proposition 1 : toutes les espèces ont une fertilité potentielle telle que leur effectif
s’accroîtrait de manière exponentielle si tous les descendants engendrés se
reproduisaient.
 Proposition 2 : Hors des fluctuations saisonnières, les populations ont normalement
une taille stable
 Proposition 3 : ressources naturelles sont limitées
 production d’un nombre d’individus trop élevé pour les ressources entraine une
lutte pour l’existence et seule une fraction des descendants survivent à chaque
génération.
 Proposition 4 : les caractéristiques des individus d’une population varient
énormément, aucun individu n’est identique
 Proposition 5 : les variations sont en grande partie héréditaires
 dans la lutte pour l’existence, la survie n’est pas laissée au hasard, elle dépend de
la constitution héréditaire. Les individus qui survivent grâce à leurs caractères
hérédités vont produire plus de descendant que ceux qui n’ont pas ce caractère.
 Les individus n’ayant pas la même aptitude à la survie et à la reproduction, la
population va se modifier en direction des caractères favorables. Sélection naturelle
= inégalité des chances de reproduction, conduisant à une meilleure adaptation.
Demi-vie : temps nécessaire pour que la moitié des atomes d’une roche radioactive se
désintègrent en d’autres éléments. (5 700 ans pour C14 (fiable que pour les 50 000 dernières
années), 1,28.10^9 ans pour le potassium et 4,47.10^9 pour l’uranium 238) U238  Pb206,
pour mesurer le temps écoulé depuis sa formation, il faut faire un rapport entre l’U et le Pb
présent.
Dendochronologie : méthode de dation par les cernes des arbres
Dermadome : partie du somite qui correspond à la paroi externe. Les cellules du
dermadomes prolifèrent en un mésenchyme (tissu de soutien) qui s’étale sous l’épiblase. Le
mésenchyme se différencie en un tissus : le derme.
Dessiccation : procédé important d'élimination de l'eau d'un corps. Il s'agit d'une
déshydratation visant à éliminer autant d'eau que possible. Cela peut se révéler dangereux
sur les surfaces respiratoires des animaux terrestres
Détermination d’un œuf : propriété qui entraîne l’évolution du matériel envisagé dans une
voie qu’il était normalement destiné à suivre >< régulation de l’œuf.
Deutérostomien : la bouche est une formation secondaire et non une réminiscence
blastoporale. Sur la face ventrale de la tête, une légère dépression ectodermique : le
stomodeum (=entrée du tube digestif) arrive en contact avec l’endoblaste.
Diaphragme : muscle respiratoire qui s’étend sous les poumons et isole la cavité thoracique
de la cavité abdominale. Pendant l’inspiration le diaphragme se contracte et s’abaisse et les
muscles intercostaux se contractent soulèvent les côtes. Il y a donc augmentation du volume
de la cavité thoracique et réduction de la pression interne. L’air arrive alors dans les
poumons qui se dilatent à leur tour. Ils subissent ensuite une compression, le volume de la
cage thoracique diminue et augmentant donc la pression interne qui chasse l’air à l’extérieur
des poumons.
Dicotylédone : végétaux dont l’embryon a deux feuilles, dont les nervures sont en
embranchement, les pétales sont un multiple de 2 et les faisceaux vasculaires sont
annulaires.
Dictyostelium discoïdeum : amibe acrasiale qui pendant une partie de leur vie se divisent par
mitose lors de la bonne saison. Quad la population atteint un certain seuil, la phase
d’agrégation se déclenche et le mouvement des cellules est orienté par le gradient de
concentration en AMPc. Finalement quelques milliers de cellules sont groupée en un grex
qui fructifie en sporange. Au sein du chapeau des cellules se différencient en spores et
quand les conditions du milieu redeviennent adéquates les spores éclosent et donnent de
nouvelles amibes.
Différenciation du cordoblaste : au cours de l’organogenèse, le mésoblaste médiodorsale
s’isole en une tigelle cylindrique axiale ; la corde.
Différenciation mésoblaste latéral : il se divise en trois régions ; l’épimère, le mésomère et
l’hypomère.
Digestion extracellulaire : libération des sécrétions riches en enzymes hydrolytiques et
protéases des cellules glandulaires dans la cavité gastrique. Réduisent les proies en bouillie
Digestion intracellulaire : phase où les cellules épithéliales absorbent la bouillie alimentaire
par endocytose, la digestion peut se poursuivre au sein de vacuoles digestives grâce aux
enzymes lysosomiales. Les vacuoles digestives sont ensuite expulsées des cellules
épithéliales par exocytose dans la cavité gastrique et rejetés par la bouche.
Diplobastique : organisme avec pour seuls feuillets l’ecto et l’endoderme. Les fonctions
physiologiques se limitent à une différenciation de type tissulaire. Présentent une symétrie
radiaire.
Divergence : lames latérales du mésoblaste qui convergent vers le blastopore mais
seulement en surface. Une fois invaginée, cette partie du mésoblaste diverge en s’étendant
en nappe entre l’ectoblaste et l’endoblaste.
Domaine : plus grand taxon dans la classification. Il y en a trois, les bactéries, les
archéobactéries et les eucaryotes.
Dulcicole : organisme d’eau douce.
E
Echange à contre-courant : échange de substances entre deux liquides qui s’écoulent dans
des directions opposées. Expl : le sang et l’eau dans les branchies, comme ça le sang le moins
oxygéné rencontre l’eau la moins oxygénée et arrive à en retirer le max d’O2, ensuite le sang
oxygéné rencontre de l’eau fortement oxygénée et le sang puise donc encore le sang peut
récupérer plus de 80% de l’O2 présent dans l’eau. Ce mécanisme maintient constamment un
gradient de concentration des substances échangées entre les deux liquides.
Ecole cladistique :
- Elle se base sur l’évolution : ancêtre et descendants (groupe monophylétique) caractères
ancestraux/ dérivés.
- Elle ne tient pas compte du degré de divergence.
- Accepte que les groupes monophylétiques
Ecole évolutionniste :
- Elle va tenir compte de la vitesse de l’évolution (degré de divergence).
- Admet les groupes monophylétiques et certains paraphylétiques.  évalue subjectivement
le critère à privilégier en cas de conflit.
Ecole phénétique :
- Le phénotype est le critère principal, pas l’évolution.
- On tient compte d’un maximum de caractères pour éviter la convergence.
- Elle accepte les groupes mono-, para- et polyphylétiques.
Ectoblaste présomptif : cellules de l’embryon qui formeront l’ectoderme. Elles occupent
presque tout l’hémisphère animal. La portion située dans la future région ventrale (opposée
au croissant gris) donner l’épiblaste, la portion située dans la future région dorsale le
neuroblaste.
Ectoderme : feuillet externe d’un organisme.
Ectomycorhizes : forme de symbiose entre un fungi et un végétal  le champignon est hors
de l’arbre mais il y a quand même une interaction entre les deux.
>< Endomycorhize : forme de symbiose où le champignon introduit ses hyphes dans les
racines de l’arbre.
Effet Bohr : diminution de l’affinité de l’hémoglobine pour l’oxygène provoquée par une
chute de pH. En effet, le CO2 rejeté dans le sang lors de la respiration cellulaire l’acidifie en
formant un acide carbonique. Quand le tissus devient très actif, a quantité de CO2, plus
l’acide lactique, modifie le PH ce qui entraine une libération additionnelle d’O2 d’environ
10%.
Embryophyte : terme pour désigner le fait que l’embryon végétal reste à l’intérieur des issus
de la plante mère pour la protection et la nutrition.
Endoblaste : formera l’endoderme. Occupe le la calotte du pôle végétatif.
Endoderme : feuillet de cellules internes d’un organisme (expl cnidaires) ou de l’embryon.
Epibolie : le mésoblaste présomptif et l’ectoblaste s’étendent en surface en direction du
blastopore grâce à la multiplication cellulaire. A la fin de la gastrulation, les cellules
pigmentées du pôle animal recouvrent totalement l’œuf.
Epimère : mésoblaste latéro-dorsal qui s’épaissit en deux massifs cellulaires creux : les
somites.
Epithélium : tissus constitués de cellules étroitement juxtaposées, sans interposition de fibre
ou de substance fondamentale.
Eponges : animaux pluricellulaires les plus primitifs composés d’un amas mobiles de
plusieurs types de cellules organisées qui sont côte à côte sans lien entre elles. On ne
connaît pas la limite de l’individu car si on en coupe un en deux, chacun des deux morceaux
reforme un individu. Il n’y a ni tissus ni organes.
Erythrocyte = globule rouge : cellule sans noyau dont le cytoplasme est riche en
hémoglobine.
Espèce : ensemble des individus capables d’engendrer, par procréation sexuée, une
descendance fertile.
Eucaryote : organismes uni- ou pluricellulaires qui se caractérisent par la présence d'un
noyau et de mitochondries dans leurs cellules
Eusocialité : groupement d’individus appartenant à la même espèce et doués de
coopération. Mode de vie social le plus élaboré.
Evolution : ensemble des processus qui ont transformé la vie sur Terre depuis l’apparition de
ses formes primitives jusqu’à la diversité actuelle. Pour étudier les mécanismes de
l’évolution on ne peut pas faire appel à l’expérimentation ou à la déduction logique à
propos de la sélection.
Expérience de Spemann I : transplanter la lèvre blastoporale dorsale d’une jeune gastrula
dans le blastocèle d’un autre au même stade et laisser l’embryon porte greffe se développer
 on observe ; l’accolement du greffon à l’ectoblaste ventral, l’évolution du greffon en une
corde et quelques somites, la différenciation de l’épiblaste ventral en un tube neural, dans
les meilleurs des cas, la constitution d’un embryon secondaire presque complet bien que
petit soudé ventre à ventre avec l’embryon primaire. Les structures autres que la corde et
les somites du deuxième embryon ont été édifiées par le porte greffe  ces structures se
sont développées sous l’influence du matériel greffé, la lèvre dorsale est appelée
‘l’organisateur’ ou ‘l’inducteur primaire’
Expérience de Spemann II : échange d’un fragment d’ectoblaste ventral avec un fragment de
neuroblaste présomptif chez une jeune gastrula. Développement se poursuit normalement ;
mais ici c’est l’épiblaste présomptif qui constitue du tube neural et le neuroblaste présompif
de l’épiderme  si on soumet de l’épiblaste présomptif à une influence inductrice (ou si on
soustrait le neuroblaste à cette influence) la destinée normale des cellules peut être
changée. Le neuroblaste de la jeune gastrula n’est donc pas encore déterminé comme tel
mais la première expérience montre que la lèvre blastoporale dorsale l’est déjà à ce stade.
Ces deux expériences montrent l’induction primaire
Expérience d’exogastrulation de Höltfreter : plonger un œuf de triton débarrassé de sa
gangue dans une solution hypertonique, provoque des altérations des mouvements
morphogènes  le matériel endo et mésoblastique ne sait plus s’invaginer dans l’ectoblaste
et s’étire un sac externe : l’exogastrula. Les contacts normaux entre les différents territoires
présomptifs sont bien sur modifiés, il n’y a donc pas de différenciation de structures
nerveuse par le neuroblaste. Mais l’exogastrula limitée par de l’endoblaste constitue une
corde et des somites mais l’endoblaste en contact avec la corde n’évolue jamais en tube
neural.  on peut induire l’ectoblaste ventral aussi bien que le neuroblaste présomptif pour
former du tissu nerveux mais ça ne marche pas avec l’endoblaste. L’endoblaste n’a pas de
prédisposition = compétence.
Extrémité antérieure : extrémité avec laquelle les animaux mobiles explorent leur
environnement.
Extra-groupe : un animal qui va servir de groupe de référence. Qui n’a pas acquis de nouveau
caractère.
F
Face ventrale : côté qui porte la bouche chez les animaux à symétrie bilatérale
Face dorsale : côté opposé à la face ventrale.
Fécondation : fusion de d’une gamète mâle et d’une gamète femelle en un zygote à noyau
diploïde.
Fécondation externe : (celle qui a généralement lieu en milieu aquatique) lorsque la
libération des gamètes non fécondée se fait dans un milieu extérieur et que la fécondation
se fait dans ce milieu. Les pertes des gamètes sont énormes malgré la synchronisation entre
les individus des deux sexes.
Fécondation interne : fécondation lors d’un l’accouplement où les spermatozoïdes sont
déposés par le mâle directement dans les voies génitales de la femelle. Permet d’éviter le
gaspillage et la dessiccation des gamètes. Chez les ovipares, le zygote, une fois formée, est
pondu. Chez les mammifères placentaires, tout le développement se fait dans l’utérus
maternel.
Fossile : reste (coquille, os, dent, graine, feuilles...) ou le simple moulage d'un animal ou d'un
végétal conservé dans une roche sédimentaire
Fossile vivant : espèce actuelle présentant des ressemblances morphologiques avec des
espèces éteintes, identifiées sous la forme de fossiles. Attention, ces appellations suggèrent,
à tort, que ces espèces n'ont plus évolué depuis les temps fossilifères.
Fungi = mycète = règne des champignons : organismes eucaryotes généralement
pluricellulaires (sauf levures) et tous hétérotrophes. Se nourrissent par absorption :
sécrétion d’exoenzymes. 4 groupes principaux :
 Chytridiomycètes : champignons aquatiques mobiles (spore avec flagelle). Ils
déciment les amphibiens.
 Zygomycètes : fusion de 2 hyphes différents forment un zygote dans un
zygosporange. Ex : moisissures
 Ascomycètes : formation de spores sexués dans des sacs (= asques) lors de la fusion
de 2 hyphes différents. Ex : les truffes et les morilles
 Basidiomycètes : leurs spores sexuées sont situées au bout de massues : les basides.
Ce sont les champignons à chapeau qu’on connait bien qu’il y ait des formes
unicellulaires aussi. Ce sont des recycleurs des bois. Ex : les amanites.
 + les mycètes imparfaits
G
Gamétange : organe multicellulaire où il y a production des gamètes des plantes.
L’archégone est le gamétange femelle et l’anthéridie le gamétange mâle
Gamétogenèse : ensemble des processus cytologiques qui conduisent à la formation de
cellules reproductrices ou gamètes.
Gange gélatineuse : produite par les cellules glandulaires de l’oviducte, cette gangue entoure
l’œuf. Peu épaisse au départ, elle se gonfle rapidement en s’imbibant d’eau quand l’œuf est
pondu.
Gastrula : embryon au stade de la gastrulation.
Gastrulation : ensemble des mouvements morphogènes qui assurent la mise en place des
feuillets embryonnaires.  Migration de blastomères pour aboutir à la mise en place de
feuillets externe (ectoblaste) recouvrant des feuillets profonds (endoblaste) et de
l’intégration d’un troisième feuillet entre les deux (mésoblaste). L’activité mitotique ralentit
par rapport à la segmentation.
Gène homéotique : un gène ou complexe de gènes qui contrôle le développement
embryonnaire. Ces gènes sont disposés dans un ordre correspondant à la succession antéropostérieure des segments dont ils spécifient la structure et à la succession temporelle de
leur expression durant l’embryogenèse.
Gouttière neurale : creux de la plaque neurale lorsque les bourrelets nerveux se soulèvent et
convergent vers la ligner médiane.  se referme complètement en tube neural
Grana: disques empilés entre les thylakoïdes dans le stroma du chloroplaste. C’est à ce
niveau que se trouvent les pigments chlorophylliens.
Granules corticaux : vésicules d'un diamètre de 0,3 à 0,5 microns, située le long de la surface
intérieure de l'ovocyte et qui , après la fécondation, fusionne avec la membrane plasmique,
libérant le contenu. Pour former l’espace vitellin, empêchant ainsi l'entrée de nouveaux
spermatozoïdes, et donc à la polyspermie.
Grégarisme : groupement d’animaux mus seulement par l’interattraction, pas la
coopération.
Grex : stade de l’amibe acrasiale à la fin de la phase d’agrégation. Le grex a l’aspect d’une
limace de 0,3 mm. Il va migrer vers la surface où il fructifie en un sporange.
Groupe hème : groupe présent sur chaque chaîne polypeptidique des hémoglobines. Il
contient un atome de fer ferreux central qui fixe l’oxygène.
Groupe monophylétique : groupe d’espèces (taxon) contenant l’espèce ancestrale et toutes
les espèces filles, et elles seulement (clade)
Groupe paraphylétique : qualifie un groupe d’espèce qui contient une partie des espèces
descendantes d’une espèce ancestrale, sans les contenir toutes.
Groupe polyphylétique : groupe d’espèce qui ne sont pas toutes issues de la même espèces
ancestrale. Un taxon polyphylétique est défini par des caractères communs qui suggèrent
une proche parenté mais qui sont en réalité le résultat d’une évolution convergente.
H
Hémisphère animal : partie de l’œuf où les ribosomes se sont concentrés. Elle est pigmentée
de noir par des grains de mélanine situés ans le cytoplasme périphérique qui occupe un peu
plus de la moitié de l’œuf. Va former la face antérieure de l’embryon.
Hémisphère végétatif : partie non pigmentée, blanche et riche en vitellus. Va former la face
postérieure.
Hémocyanine : famille de pigments respiratoires présents dans l’hémolymphe de nombreux
arthropodes et mollusques. Elles contiennent du cuivre et leur poids moléculaire varie entre
50 000 à 70 000 daltons. Quand l’hémocyanine est oxygénée, il est bleu, sinon il est incolore.
Hémoglobines : constituent une famille de pigments respiratoire qui contient du fer et dont
le poids varie entre 17 000 daltons et plusieurs milliers en fonction du nombre de chaîne
polypeptidique. Chacune de ces chaines portent le nom de globine. La capacité de
l’hémoglobine à capter ou libérer de l’O2 est liée à la pression partielle en O2 dans le milieu
dans lequel elle se trouve.
Hémoglobine polymère : hémoglobine directement dissoute dans le plasma.
Hémoglobine tétramère : Chez les vertébrés, les hémoglobines des érythrocytes sont
composées de deux chaînes alpha et deux chaine bêta  4 chaînes polypeptidiques en tout.
Chacune contient un groupe hème. Il y a régulation allostérique qui fait que s’il y a fixation
d’un O2 sur un hème d’une globine, cela provoque une légère modification des autres
globines afin qu’elles aient une meilleure affinité pour l’O2.
Hétérochronie : modification de la durée et de la vitesse du développement de l’organisme
au cours de l’évolution. Ces modifications sont la conséquence de la mutation de certains
gènes du développement qui contrôlent le développement et la mise en place des organes.
(expl : pédomorphose)
Homéotherme : animaux à sang chaud, ils réussissent à réguler leur température pour la
maintenir constante. (Grâce aux os longs et dépourvus de stries de croissances qu’on a
retrouvés sur les fossiles des dinosaures, on sait qu’ils étaient homéothermes.)
Homologie : caractère commun à une ensemble d’espèces et qu’elles ont héritées de leur
ancêtre commun. Ce caractère n’a pas toujours la même utilisation d’une espèce à l’autre.
Horloge moléculaire : technique de datation des espèces basée sur le fait que le nombre de
mutations génétiques qui s'accumulent dans un génome à une vitesse proportionnelle au
temps géologique. Elle permet ainsi, en reliant le taux de mutation des gènes au rythme de
diversification de leur espèce, d'établir une échelle d'ordonnancement, voire chronologique,
d'évolution et de lien des espèces entre elles.
Hutton (1726-1797) et Lyell (1797-1875) : premiers à estimer qu’il était possible d’expliquer
les éléments du relief de la terre en observant des mécanismes contemporains à l’œuvre
dans le monde. Ils expliquèrent le principe du gradualisme : les changements profonds
résultent de processus lents mais continus.  mais alors la Terre à plus de 6000 ans
Hypomère : différentiation du mésoblaste qui, ventralement, s’écarte en deux lames pour
former l’hypomère. La larme externe, sur la paroi du corps est la pariétopleure, la lame
interne tapissant le tube digestif, la splanchnopleure.
Hyracotherium : ancêtre du cheval qui donna naissance à de nombreuses espèces dont l lus
part s’éteignirent.
I
Induction embryonnaire : influence exercée par une ébauche embryonnaire sur la
morphogenèse d’un territoire voisin. On pense que ‘embryogenèse progresse grâce à une
cascade d’induction et à une augmentation progressive du nombreux des inducteurs de plus
en plus spécialisés.
Induction primaire : induction qui à partir de la lèvre blastoporale dorsale induit la
neurulation et l’établissement d’un axe dorso-ventral
Induction secondaire (nième ordre) : influence de la morphogenèse des tissus situés dans le
voisinage immédiat des organes différenciés sous l’influence de l’inducteur primaire.
Infusoir : animal unicellulaire vivant en suspension dans l’eau douce ou saumâtre et se
nourrissant des infusions végétales. C’est un protozoaire de grande taille qui scinde son
noyau en deux. Le micronucléus sert pour la reproduction et le macronucléus pour le
métabolisme.
Invagination : retournement d'un organe creux sur lui-même.
Invagination lors de la gastrulation (=embolie) des nappes de cellules sont repoussées à
l’intérieur de l’œuf. Le mouvement débute au niveau de la fente dorsale du blastopore par
invagination du cordoblaste, se poursuit aux fentes latérales par l’invagination du
mésoblaste et s’achève à la fente ventrale par l’invagination de l’endoblaste (=refoulement
des cellules du pôle végétatif à l’intérieur de l’œuf au niveau de la lèvre ventrale du
plastopore). Ces mouvements font apparaitre larcentéron
L
Lamarck (1744-1829): naturaliste qui élabora un modèle pour expliquer les mécanismes de
l’évolution biologique. Il publia sa théorie en 1809. Selon lui l’évolution était mue par une
tendance innée vers une complexité toujours croissant et de plus en plus parfait 
meilleure adaptabilité au milieu.
Selon lui les organes qu’un individu utilisait beaucoup pour survivre se développent et se
renforcent, les autres s’atrophient. Sa seconde idée était celle de l’hérédité des caractères
acquis ; modifications subies par un organisme au cours de son existence soient
transmissible à ses descendants.
M
Macroévolution : évolution aboutissant à l’apparition de nouveaux taxons présentant des
innovations ou d’importantes modifications du plan corporel. Mécanismes :
 La préadaptation: une structure préexistante à un moment va changer de rôle. Expl :
moule lampsiis dont les larves sont dans un sac extérieur qui ressemble à un poisson
afin d’attirer les poissons et de les parasiter.
 Raffinement graduel : structures existantes qui à la fin peuvent accomplir de
nouvelles fonctions très complexes ; une complexation progressive dans laquelle
même les intermédiaires sont important. Ex : complexation de l’oeil chez les
mollusques
 Gènes homéotiques : gènes qui dirigent le développement embryonnaire. Ex : chez
les vertébrés, s’il survient une duplication de séquence, il y a impact sur la
morphologie = saut évolutif. Expl mouche avec 2 thorax a le double d’ailes.
 Croissance allométrique : croissance plus rapide ou plus lente de certaines parties du
corps. Ex : dans la croissance du bébé ; le cerveau croit plus vite tandis que les
jambes croient lentement // effet de la chronologie du développement sur les
rayures des zèbres : Chaque espèce a ses propres zébrures. -> zèbre de steppe et de
Grevy. Le gène des rayures s’active à des moments différents dans le développement
embryonnaire.
 Néoténie – pédomorphose : persistance chez un organisme adulte de structures
juvéniles. Expl salamandres fouisseuses
Méiose : processus de la gamétogenèse  division cellulaire pour la formation de gamète =
cellules avec n chromosomes.
Méiose réductionnelle : les chromosomes homologues se répartissent en deux cellules
distinctes.
Méiose équationnelle : comme lors d'une mitose, ce sont les chromatides de chaque
chromosome qui se séparent. Il en résulte quatre cellules haploïdes (n).
Méristèmes apicaux : zones de division cellulaire situés aux extrémités des racines et des
pousses ; la plante peut s’allonger durant toute sa vie que ce soit aérien ou terrestre.
Mésenchyme : tissu embryonnaire formé de cellules non différenciées séparées par une
matrice extracellulaires lâche. Constitue notamment le squelette crânial, l’appareil
circulatoire et la trame conjonctive qui assure le soutien de tous les organes.
Mésoderme : feuillet intermédiaire entre l’ecto et l’endoderme, il apparait dans la période
embryonnaire chez les triploblastiques. Les muscles se différencient à partir du mésoderme.
Mésogelée : lame acellulaire riche en mucopolysaccharies et en collagène qui sépare
l’ectoderme et l’endoderme des cnidaires.
Mésohyle : espace compris entre le pinacodrerme et le réseau de canaux aquifères de
l’éponge. Espace de type mésenchymateux abrite les cellules totiponentes (archéocytes) et
les éléments squelettiques de l’éponge
Mésomère : différenciation du mésoblaste latéral qui s’étrangle en une région entre
l’épimère et l’hypomère. Le mésomère édifie l’appareil urinaire et l’appareil génital.
Métazoaire : organismes eucaryotes multicellulaires mobiles et hétérotrophes.
Méthémoglobine : hémoglobine dont le fer est à l’état ferrique (3+ au lieu de ferreux, 2+).
Elle est alors de couleur brune et est inapte à transporter de l’O2. Ce sont les agents très
oxydants (expl CN-) qui peuvent oxyder Fe 2+ en Fe3+.
Métmyoglobine : quand la myoglobine a du fer à l’état ferrique.
Milieu respiratoire : milieu dans lequel un organisme donné prélève l’oxygène. (soit l’air, soit
l’eau)
Mitose : division d’une cellule mère en deux cellules filles de 2n chromosomes (duplication
non sexuée)
Monocotylédone : végétaux dont l’embryon a une seule feuille, dont les nervures sont
parallèles, les pétales sont un multiple de 3 et ont les faisceaux vasculaires éparpillés
Morphogénèse : ensemble des lois qui déterminent la forme, la structure des tissus, des
organes et des organismes. Le mouvement morphogène est le mouvement qui détermine
tout ça  voir gastrulation.
Morula : stade de l’embryon à la fin de la segmentation, de seize à soixante-quatre
blastomères. La différenciation cellulaires s’amorces ensuite pour former la blastula
Motilité : capacité de se déplacer spontanément, ou par réaction à des stimuli, et
activement, en consommant de l'énergie lors du processus
Mycélium : réseau de cellules des fungi qui forment des hyphes (filament qui constituent le
mycélium) et absorbent les nutriments présents dans le sol
Myoglobine : hémoglobine contenue dans les muscles qui n’ont qu’une chaîne
polypeptidique et un hème.
Myotome : partie du somite qui correspond à la paroi interne. Situé en face en regard de la
corde et du tube neural il se différencie en fibres musculaires striées. Origine de la
musculature du tronc et de la queue.
Myxomycète : champignon gélatineux. « myxo » =gélatineux car un des stade du
myxomycète est la formation du plasmode. Le plasmode étant une masse de cytoplasme
dans laquelle le noyau s'est divisé un grand nombre de fois sans qu'il y ait eu de
cloisonnement par des membranes plasmiques.
N
Néphrotome : Ébauche mésodermique donnant successivement naissance aux trois ( ?) reins
de l'embryon.
Neurula : embryon au moment de la neurulation.
Neurulation : début de l’organogenèse pendant laquelle l’embryon a perdu sa forme
sphérique, s’est allongé dans le sens antéro-postérieur et aplati dorso-ventralement.
L’ectoblaste s’épaissit dans la région médio-dorsale pour former la plaque neurale, d’où le
nom de ‘neurulation’.
Neutralisme : il n’est pas opposé au Darwinisme mais il dit que d’autres phénomènes sont
responsables de l’évolution. Cette modification n’est pas nécessairement
favorable/défavorable, elle est simplement apparue.
Nucléole : sous compartiment cellulaire du noyau, là où se transcrit l’ARN ribosomique.
O
Œuf : gamète femelle pondu dans le milieu extérieur, qu’elle soit ou non fécondée.
Œuf oligolécithes : œufs pauvres en vitellus. Ils ont entre 0,1 et 0,3 mm. On lest rencontre
chez beaucoup d’invertébrés marins (oursins, étoiles de mers). Développement des œufs
court et conduit à une forme larvaire.
Œuf mésolécithes : moyennement pourvu en vitellus. Entre 0,5 et 2 mm. Expl, œuf d
batracien. Noyau situé au-dessus de l’équateur, tout le cytoplasme est occupé par des
plaquettes vitellines. Développement embryonnaire plus long que chez les oligolécithes mais
conduit aussi à un stade larvaire aquatique.
Œuf télolécithes : vitellus occupe presque tout le volume de l’œuf qui peut faire plusieurs
centimètres. Caractéristique des oiseaux, reptiles et certains poissons. Cytoplasme refoulé
en une mince calotte polaire qui abrite le noyau. Leur grande masse permet à
l’organogenèse de se poursuivre assez tard.
Œuf alécithes : caractéristiques des mammifères placentaires, ils sont de toute petite taille
(0,12 à 0,14 mm de diamètre chez les humains). Pratiquement dépourvu d’inclusion
vitellines, mais c’est compensé par le fait que l’embryon est pris en charge par l’organisme
maternel.
Œuf anamniote : œuf qui se développe dans un milieu aquatique.
Oosphère : gamète femelle chez les plantes
Organogenèse : édification des organes à partir des trois feuilles primordiaux.
Organes vestigiaux/rudimentaires : organes atrophiés, inutiles à leurs propriétaires actuels,
mais homologues de structures remplissant des fonctions importantes chez d’autres espèces
(chez l’humain, l’appendice et le coccyx)
Ovogenèse : ensemble des processus qui conduisent à l’élaboration des gamètes femelles.
Comporte trois étapes : la multiplication des cellules souches, la croissance et la maturation
des gamètes.
Ovogonie : cellules souches diploïdes qui entrent dans les gonades pendant le
développement embryonnaire de la femelle. Pendant la première étape elles se multiplient.
Ensuite certaines cesse de se multiplier et augmentent de volume, cette phase correspond à
l’accumulation de matériaux de réserve qui constitueront le vitellus. L’ovogonie synthétise
alors aussi beaucoup d’ARN (surtout ribosomial)
Ovocyte I : au terme de la phase d’accroissement l’ovogonie est devenue l’ovocyte primaire.
L’ovocyte I est donc toujours une cellule diploïde qui va entrer en méiose.
Ovocyte II : Lors de l’ovulation, un ovocyte primaire va terminer se première division de
méiose pour engendrer deux cellules haploïdes, dont l’ovocyte secondaire. L’ovocyte II va
conserver la quasi-totalité du cytoplasme et du vitellus.
Ovotide : la seconde méiose (celle de l’ovocyte II) va à nouveau créer deux cellules ; l’ovotide
est celle qui conserve le cytoplasme et le vitellus.
Ovule : gamète femelle fécondable, quel que soit le stade de maturation atteint. (Chez les
vertébrés la fécondation à lieu lors de la deuxième métaphase de méiose mais chez certains
c’est plus tôt)
Ovyducte : conduit qui achemine les ovocytes issus de l'ovaire vers l'utérus. (trompe de
Fallope chez les mammifères.)
Oxyhémoglobine : l’hémoglobine oxygénée. L’oxyhémoglobine est rouge vif alors que
l’hémoglobine est rouge foncé.
P
Paléontologie : discipline scientifique qui étudie les restes fossiles des êtres vivants du passé
et les implications évolutives de ces études.
Palynologie : méthode de datation qui se base sur l’étude du pollen et des sédiments pour
recréer l’atmosphère de l’époque et la situer sur l’échelle tu temps.
Pariétopleue : feuillet externe du mésoblaste recouvrant la face interne de l'épiblaste
Paléomagnétisme : étude du champ magnétique à l’époque des fossiles découverts
Pellicule corticale : partie du cytoplasme périphérique de l’œuf de grenouille qui est
pigmenté.
PEP : molécule qui fixe le CO2 pompé par la plante pour former une molécule d’oxaloacétate
avant de le rendre au cycle de Calvin.
Péricarde : sac à double paroi qui contient le cœur et les racines des gros vaisseaux sanguins
Pigments chlorophylliens : chlorophylles a et b, caroténoïdes et xanthophylles. Ces pigments
se trouvent au niveau des granas dans le chloroplaste et donnent la couleur à la plante. Ils
sont organisés en photosystèmes.
Pinacoderme : cellules aplaties juxtaposées et non connectées par des jonctions cellulaires
qui isolent l’éponge du milieu extérieur. Percé d’orifices qui inhalent (ostioles) ou expulsent
de l’eau (oscules)
Pharynx : carrefour aéro-digestif entre les voies aériennes (de la cavité nasale au larynx) et
les voies digestives. C’est son évagination qui a donné les poumons chez les vertébrés
terrestres.
Phase claire : phase qui assure la conversion de l’E lumineuse en E chimique et produit de l’O2 . 
phase de la photosynthèse pendant laquelle la chlorophylle du photosystème I est excitée par
l’impact des photons et se comporte comme un réducteur. Equation globale : Chl(P 700) + photons
 Chl + 1e-. Cet électron retrouvera son potentiel initial par des étapes qui produiront de l’ATP. Ou
alors il peut être véhiculé par des transporteurs d’e- situés dans la membrane thylakoïdale vers un
accepteur, le NADP+ qu’il va réduire :
NADP+ + 2e- + H+  NADPH.
Au niveau du photosystème II, une molécule d’eau va être lysée sous l’effet de la lumière :
H2O  2H+ +1/2 O2 + 2e- . A ceci s’ajoute la chlorophylle b excitée elle aussi par les photons
pour créer des nouveaux e- qui formeront de l’ATP.
En même temps qu’on transporte des e-, il y a une pompe à protons du stroma vers la
membrane des thylakoïdes  différence de potentiel créée. Le retour de p+ vers le stroma
suivant le gradient électrochimique fournit l’E nécessaire pour ADP + Pi  ATP.
Phase sombre : se déroule dans le stroma. Le CO2 atmosphérique y est réduit et incorporé à
des molécules organiques vie des enzymes qui le convertissent glucose, cette fixation utilise
le pouvoir réducteur du NADPH et l’énergie générée sous forme d’ATP pendant la phase
claire. L’ensemble de ces réaction est le cycle de Calvin= cycle des pentoses phosphates.
Première étape ; un sucre en C5 réagit avec du CO2 pour former du sucres en C3. Une fois
synthétise le glucose est polymérisé en amidon pour éviter les problèmes osmotiques.
Phosphodiestérase : enzyme qui hydrolyse l’AMPc en AMP. Cette alternance évite que
l’accumulation d’AMPc ne masque les gradients de concentration de la substance.
Photolyse de l’eau : Au niveau du photosystème II, une molécule d’eau va être lysée sous
l’effet de la lumière :
H2O  2H+ +1/2 O2 + 2ePhotophosphorylation : ensemble des réactions qui se passent dans la phase claire de la
photosynthèse. Forme globale de la réaction :
2 H2O + 2 NADP+ + 2 ADP + 2P + 4 e-  O2 + 2 NADPH + 2 H+ + 2ATP
Photosynthèse : processus qui a pour but d’utiliser l’énergie lumineuse pour créer son stock
l’énergie et non pas l’énergie chimique. Il y a la phase claire et la phase sombre.
Photosynthèse de type C4 : concerne 10 % des espèces végétales généralement des espèces
des prairies tropicales. Lors de la première phase, une pompe chimique à CO2 aspire
efficacement le gaz de l’air vers les feuilles pour le renvoyer ensuite dans le cycle de Calvin.
Comme les stomates sont complètement ou partiellement fermés pendant la majeure partie
de la journée pour éviter les pertes d’eau, sans ces pompes à CO2 et ce stockage, l’activité
photosynthétique serait limitée.
Photosynthèse de type CAM : Dans des pays encore plus chaud, comme la photosynthèse ne
peut que se produire la journée mais que les stomates restes fermées pendant cette période
pour ne pas perdre son eau, la plante est obligée d’ouvrir ses stomates seulement la nuit et
de stocker le CO2 pour la journée.
Photosystème I (P 700): contient la chlorophylle a et absorbe la lumière à 700 nm
Photosystème II (P 680) : contient la chlorophylle b et absorbe la lumière à 680 nm.
Photoautotrophe : organisme autotrophe capable de photosynthèse et qui prend le C du
CO2 atmosphérique
Photohétérotrophe : organisme hétérotrophe capable de photosynthèse mais qui puise son
C en absorbant des organismes vivants.
Phyllotrachée : partie de l'appareil respiratoire de certains arthropodes constituée d'une
invagination de l’ectoderme en forme de lames plissées communiquant avec l'extérieur par
des fentes appelées stigmates. Evolution nécessaire pour les arthropodes terrestres afin
d’éviter la dessiccation.
Phylogénie : discipline étudiant le développement d’une lignée animale ou végétale au cours
de son évolution.  Arbre phylogénétique : diagramme des relations évolutives probables
entre les espèces et les groupes taxinomiques supérieurs. Représente les relations de
parenté entre organismes vivants (montre qui est proche de qui plus que qui descend de
qui)
Phylum : c’est l’embranchement, deuxième niveau de classification des êtres vivants.
Pigments respiratoire : pigment qui transporte l’oxygène dans le sang (car oxygène a une
faible solubilité dans l’eau). Le pigment en question chez l’homme est l’hémoglobine d’un
rouge vif.
Placenta : organe d’échange entre le fœtus et la mère constitué des villosités du
trophoblaste et de la région correspondante de la muqueuse utérine. Les villosités
placentaires représentent une grande surface d’échange entre le système circulatoire du
fœtus et de ses annexes et celui de l’organisme maternel sans jamais aucun échange directe.
Cela assure la respiration, la nutrition et l’excrétion des déchets azotés.
Placode (=plage épithéliale) : constitue les ébauches des capsules sensorielles olfactives,
optiques et auditives.
Plans frontaux : plans perpendiculaires au plan sagittal. Divise l’animal en une portion
ventrale et une portion dorsale.
Plans parasagittaux : parallèles au plan sagittal.
Plan sagittal : plan qui divise un animal à symétrie bilatéral en deux parties : la gauche et la
droite. Les organes sont généralement disposés symétriquement par rapport à ce plan.
Plans transversaux : perpendiculaires aux plans sagittaux et frontaux, divisent l’animal en
une partie antérieure et une partie postérieure.
Plaque neurale : évolution de l’ectoblaste qui s’est épaissi dans la région médio-dorsale à la
fin de la gastrulation, première ébauche du système nerveux.
Plaquette vitelline : chacun des organites cytoplasmiques des ovocytes qui contiennent des
protéines de réserve.
Plasma : partie liquide du sang dans laquelle baignent les autres composants majeurs du
sang.
Plathelmintes = verts plats : triploblastiques les plus primitifs. Il y a symétrie bilatérale mais
la division du travail entre une série d’organes est encore rudimentaire.
Pluricellulaire : organisme vivant composé de plusieurs cellules différenciées ou non en
contact.
Pœcilotherme : animaux à sang froid  température corporelle varie en fonction du milieu
Pôle animal : endroit où les ribosomes se concentrent dans l’ovocyte.
Pôle végétatif : pôle où le vitellus s’accumule.
Polychète : vers annélides comportant le plus grand nombre d'espèces, soit plus de 10 000.
Leur larve est appelé la trochosphère.
Polype : cnidaires immobiles et assexués comme les hydres, le corail, l’anémone de mer.
Ponctualisme : théorie selon laquelle une espèce nouvelle apparait de manière assez
soudaine à la suite d’évolution accélérée d’une population issue de l’espèce ancestrale,
entre ces épisodes les populations évolueraient peu.
Poumons : diverticules localisées ; leurs présence requiert donc un système circulatoire. Ils
sont très vascularisés par un lit capillaire sous l’épithélium. Chez les vertébrés ce sont des
sacs qui sont deux évaginations latérales du pharynx dont la surface est accrue grâce au
développement d’alvéoles pulmonaires.
Poumons lamellaires : formés d’invaginations plissées de l’ectoderme, appelées
phyllotrachées. Se retrouve chez les arachnides
Pouvoir de régulation d’un œuf : capacité de réorganisation qui se traduit par la
différenciation d’un embryon normal après ablation ou adjonction d’une de ses parties. Ce
pouvoir diminue au cours du développement embryonnaire, la perte de ce pouvoir se
manifeste à des stades différents selon les espèces.
Premier globule polaire : deuxième cellule haploïde crée lors de la méiose I de l’ovocyte
primaire, mais cette cellule-ci n’a pas conservé le vitellus et le cytoplasme et est donc
réduite à son noyau. Lors de la méiose II, il y a création du deuxième globule polaire. La
méiose engendre donc une seule gamète, l’ovotide et les deux globules vont dégénérer.
Principe de parcimonie : critère qui permet de choisir l’arbre le plus ‘parcimonieux’ = l’arbre
qui requiert le plus petit nombre d’événements évolutifs entre les états de caractères
présentés par les organismes.
Prézygotique = avant la fécondation
Procaryote : être vivant unicellulaire dont la structure cellulaire ne comporte pas de noyau.
Prochordé = céphalocordé : organisme dont la corde n’est pas remplacée par une colonne
vertébrale
Pronucleus : l’état dans lequel se trouvent les deux noyaux haploïdes des gamètes mâles et
femelles juste avant leur fusion
Protiste : Règne le plus hétérogène des eucaryote, ils sont généralement unicellulaires mais
on retrouve aussi des coloniaux voir même des pluricellulaires. Ce règne semble être en
réalité paraphylétique. On base leur définition sur des caractères négatifs : eucaryotes qui ne
sont ni des champignon, ni des végétaux, ni des animaux. Différents groupes :
 Mycétozoaires : cycle de vie des mycétozoaires est caractérisé par une alternance de
formes unicellulaires, amiboïdes ou flagellées et de phases pluricellulaires, ou
plurinucléées. On y retrouve les archéamibes, les myxomycètes et les
acrasiomycètes.
 Ciliés : leurs cils leurs servent à se mouvoir, ils ont une bouche fonctionnelle et des
micronoyaux pour la reproduction sexuée ainsi que des macronoyaux pour le
métabolisme
 Euglénobiontes : algues photosynthétiques, il y en a aussi bien des auto que des
hétérotrophes.
 Dinoflagellée : 2 flagelles perpendiculaires qui le font tourner sur lui-même, entouré
d’une gangue de cellulose et de silice. Certains sont capables de bioluminescence.
 Diatomées : coque très dure (silice + matière organique) capable de résister à des
pressions énormes.
 Forminifères
 Apicomplexé : parasites cycle vital assez complexe
 Volvox : organisme colonial capable de photosynthèse.
Protozoaire : protiste hétérotrophe qui ingère sa nourriture par phagocytose.
R
Racémisation des acides aminés : méthode de datation qui se base sur le fait que les êtres
vivants ont toujours des acides aminés sous la forme ‘gauche’. Après leur mort, il y a
racémisation des AA. Si on fait un rapport AA ‘droits’/ AA ‘gauche’, on peut déterminer
précisément à quelle époque il est mort.
Radiochronologie : méthode de datation qui utilise la notion de demi-vie des éléments
radioactifs pour évaluer la période où le fossiles à été enseveli.
Réaction acrosomiale : première étape de la fusion d’un œuf et d’un spermatozoïde. C’est le
premier contact d’un spermatozoïde avec les enveloppes périovulaires qui induise cette
réaction. L’acrosome se rompt en libérant des enzymes qui lysent les enveloppes de l’ovule
et des protéines qui assurent la fusion des membranes plasmiques spermatique et ovulaires.
L’acrosome produit aussi un filament d’actine couvert d’enzymes lytiques qui atteint la
membrane plasmique de l’ovule et la perfore. Cette piqûre permet l’entrée de la tête
spermatique dans l’ovule.
Réaction corticale : réaction de l’œuf à la piqûre acrosomiale. Au niveau du contact entre les
deux gamètes se forme une hernie cytoplasmique – le cône de fécondation. Les propriétés
de la région corticale se modifient et la membrane plasmique ovulaire est dépolarisée tandis
que sa perméabilité au Na+ augment et qu’une libération intracytoplasmique de Ca++ induit
l’exocytose des granules corticaux. Les microvillosités de la membrane plasmique s’effacent
et le contenue des granules corticaux édifie une couche liquide qualifiée d’espace périvitellin
autour de l’œuf. Cela entraine le décollement et la séparation de la membrane vitelline et de
la membrane plasmique ovulaire  assure la monospermie.
Région corticale : relatif à la partie externe d’un organe, ici de l’ovule.
Respiration cutanée : lorsque les échanges gazeux se font entièrement ou partiellement avec
la peau comme surface respiratoire.
Réversion : retour d'un caractère à un état primitif se manifestant par une mutation génique
dans l'ADN permettant de retrouver les fonctions d'un gène après qu'il les a perdues suite à
une première mutation.
Rotation d’orientation : phénomène cytologique de la fécondation de la grenouille qui
consiste en le soulèvement de la membrane de fécondation et l’apparition du liquide
périvitellin. Cela permet à l’œuf de s’orienter en fonction de la pesanteur afin que le pôle
végétatif soit inférieur et le pôle animal supérieur.
Rotation de symétrisation : autre phénomène cytologique de la fécondation de la grenouille.
Une heure après la fécondation de l’œuf, la pellicule corticale bascule d’un angle de 30° par
rapport à l’ace ‘pôle animal/végétatif ». Cette rotation se fait dans la direction du point de
pénétration du spermatozoïde. Fait apparaitre le croissant gris.
S
Sacs aériens : chez des insectes plus gros et actifs, expansion de la trachée dont les parois
sont minces et dépourvues d’un revêtement cuticulaire, en cas de besoin (expl, le grillon qui
saute), l’insecte pourra ventiler son système trachéen par un mouvement rythmique du
corps qui comprime et dilate les sacs.
Sac vitellin = lécithocèle : enveloppe constituée du disque germinatif qui s’étale sur le
vitellus chez les poissons à œuf téloclécithes. Seule annexe embryonnaire chez la truite.
Chez les mammifères le sac est vide de vitellus et son endoblaste est doublé par la
splanchnopleure extraembryonnaire.
Saprophytique : champignons qui mangent de la matière organique morte
Sclérotome : partie du somite. Diverticule qui apparait à la base du myotome et dont les
cellules prolifèrent en un mésenchyme qui entoure le tube neural et la corse  ce
mésenchyme se différencie en un tissu squelettogène qui formera les vertèbres.
Segmentation = clivage : ensemble des divisions par mitose de l’œuf en blastomères. Chez la
grenouille la segmentation est radiaire  alternance successive de plans de clivages
méridiens et latitudinaux.
Segmentation totale : segmentation qui concerne tout le cytoplasme de l’œuf (mais peut
être inégale).
Segmentation discoïdale : segmentation partielle de l’œuf qui ne concerne qu’une petite
calotte cytoplasmique située au pôle animal. Le massif de blastomères constitue le disque
germinatif.
Sélection artificielle : sélection par laquelle les éleveurs et cultivateurs déterminent quels
membres de la population pourront se reproduire afin de maximiser certaines propriétés et
qualités dans la descendance.
Séreuse = chorion : annexe embryonnaire formée en même temps et solidaire à l’amnios.
C’est la paroi externe des replis amniotiques.
Sillon transversal/ sillon blastoporal : sillon arqué vers le bas sur la blastula et qui marque le
début de l’invagination du matériel superficiel. Son bord supérieur correspond à la lèvre
dorsale du blastopore. Il est en dessous de la zone de croissant gris, càd sur la face dorsale d
l’embryon.
Somites =métamère : massifs cellulaires creux venant de l’épimère épaissi que se découpe
en deux séries. Le somite a trois parties : un dermatome, un myotome et un sclérotome.
Sore : assemblage de sporange chez les fougères
Spermaster : ensemble de microtubules rayonnant venant des centrioles du pronucléus mâle
lors de la fécondation.
Spermatogenèse : ensemble des processus qui conduisent à l’élaboration des gamètes
mâles : spermatozoïdes. Il y a quatre phases : la multiplication des cellules souches la
croissance, la maturation des gamètes et a spermiogénèse.
Spermatogonie : cellules souches diploïdes qui vont se multiplier activement par mitose
pendant la phase de multiplication
Spermatocytes primaires : certains spermatogonies qui ont cessé de se multiplier et
augmentent de volume. Ces cellules entrent en méiose.
Spermatocyte secondaire : produit de la division réductionnelle de méiose du spermatocyte
primaire. On a enfin une cellule haploïde mais les chromatides sœurs sont encore attachées.
Spermatide : suite de la méiose, la division équationnelle des chromatides sœurs du
spermatocyte secondaire donne les spermatides. Cellules arrondies et immobiles.
Spermatozoïde : différenciation en une cellule spécialisée et mobile des spermatides grâce à
la spermiogénèse
Spermiogénèse : le noyau se condense et perd son enveloppe, l’appareil de Golgi rentre
dans l’acrosome, deux centrioles du diplosome se placent à l’arrière du noyau, un flagelle
locomoteur se différencie à partir du centriole distal, les mitochondries se rassemblent à
l’arrière du et forment un manchon autour de la région proche du flagelle.
Spéciation : processus évolutif par lequel de nouvelles espèces vivantes apparaissent. Les
rythmes de la spéciation peuvent être le gradualisme (espèces issues d’un ancêtre commun
divergent petit à petit) ou l’équilibre ponctué (nouvelle espèce évolue le plus au moment où
sa spéciation à lieu et évolue peu le este de son existence)
Spéciation allopatrique : mode de spéciation  une population forme une nouvelle espèce à
la suite d’un isolement géographique qui l’a séparé de la population mère
Spéciation sympatrique : mode de spéciation  petite population forme une nouvelle
espèce bien qu’il n’y ait pas d’isolement géographique
 Par voie d’autopolyploïde chez les plantes (non-disjonction des chromosomes
pendant la méiose.)
 Par voie d’allopoyploïdie
Spéciation parapatrique : spéciation qui intervient dans des zones « hybrides » : suivant
l’habitat souvent lieu de pollution, espèce qui s’adapte et donc devient une nouvelle
Splanchnopleure : feuillet interne de la portion ventrale du mésoderme chez les métazoaires
triploblastiques
Sporange : structure végétale qui produit et qui contient des spores. On le retrouve aussi
chez les amibes acrasiales.
Sporopolléine : polymère qui entoure les spores végétales qui est particulièrement
résistante.
Stade subsocial : animaux vivant groupés et prodiguant des soins à leur progéniture pour
une période de temps limité.
Stade colonial : groupement d’organismes étroitement associés soit par une union physique
soit en une division en unités spécialisées de zoïdes (animal élémentaire d’une colonie), soit
par les deux.
Stade communal : groupement de femelles qui coopèrent dans le soin aux jeunes, sans
spécialisation dans les tâches.
Stomate : caractère dérivé secondaire des plantes qui permet les échanges gazeux.
Stroma : compartiment du chloroplaste délimité par la membrane interne.
Stratigraphie : technique de datation  les sédiments se déposent en fonction du temps ce
qui permet de déterminer la date en fonction de la profondeur d’un fossile.
Structure diploblastique : avec symétrie radiaire et deux tissus épithéliaux emboités l’un
dans l’autre : l’ectoderme et l’endoderme.
Surface respiratoire : surface corporelle au niveau de laquelle se produisent les échanges
gazeux. Constituée d’un épithélium mince, humide et généralement bien vascularisé. Doit
rester en permanence humide car les échanges ne se font pas sous formes gazeuse, le gaz
doit donc se dissoudre sur la pellicule d’eau qui recouvre la surface respiratoire.
Systématique : classification hiérarchisée des êtres vivants.
Système circulatoire : (sève, circulation sanguine) système d'organes en circuit permettant le
déplacement de fluides dans un organisme. Le système circulatoire a pour rôle d'assurer le
transport et l'échange interne des ressources (notamment les nutriments et le dioxygène)
vers les cellules de l'organisme ainsi que de se charger des déchets.
T
Taxinomie : science des lois de la classification. Il s’agit de reconnaître, nommer et classer la
diversité.
Taxon : unité systématique, indépendamment de son rang.
Tétrapode : animal du sous-embranchement des vertébrés dont le squelette comporte deux
paires de membres et dont la respiration est normalement pulmonaire. Le membre
antérieur est toujours constitué d’un humérus, d’un cubitus, d’un radius et d’un membre
pentadactyle.  toujours la même structure même pour des utilisations variées.
Théorie synthétique de l’Evolution = Néodarwinisme : les populations constituent les unités
de l’évolution et la sélection naturelle est son mécanisme principal.
Thermoluminescence : méthode de dation qui se base sur le fait qu’une matière exposée au
soleil va garder cette énergie dans ses électrons. Si l’on fait chauffer cette matière, les
électrons vont libérer cette énergie en émettant de la lumière.
Thylakoïde : saccules aplatis qui formes un réseau formé d’un système de membrane
internes dans le chloroplaste. Il délimite le compartiment appelé espace intrathylakoïdien.
Ses membranes photosynthétiques forment une grande surface par rapport au volume
qu’elles délimitent.
Trachées : tubes aériens qui transportent l’oxygène aux cellules sans l’aide de la circulation
sanguine. Constitue le système respiratoire des insectes et de certains chélicérates
(scorpions). S’ouvrent à l’extérieur par des stigmates et se ramifient dans tout l’organisme
jusqu’à proximité de chaque cellule. L’extrémité du réseau trachéen est délimitée par
l’épithélium humide qui assure l’échange gazeux par diffusion.
Triplobastique : organismes qui développent un massif cellulaire qui s’insinue entre
l’ectoderme et l’endoderme au cours de la période embryonnaire. Cela forme un troisième
feuillet : le mésoderme. Les tissus différenciés, contrairement à chez les diploblastiques, sont
intégrés dans les organes. Présentent une symétrie bilatérale (sauf les échinodermes)
adaptée à une vie plus active que les diploblastiques.
Trophoblaste : organisation en une assise cellulaire des cellules périphériques du pôle
animal chez les mammifères. Le trophoblaste forme de nombreuses villosités pour permette
à l’embryon de s’installer sur l’épithélium utérin.
V
Végétaux : eucaryotes pluricellulaires, autotrophes photosynthétiques.
Plusieurs embranchements
 Non-vasculaires : végétaux qui n’ont pas de structures pour conduire l’eau. Expl :
bryophytes (algues vertes) ou mousses
 Vasculaires =trachéophyte : ont des conduits pour l’eau
1. Ptéridophyte : produisent des spores (et pas des graines) (expl fougère, prêle).
 Lychophyte
 Ptérophyte
2. Sprematophyte : utilisent la reproduction sexuée par les graines
 Gymnospermes : plantes à graines nues.
 Angiospermes : plantes à fleurs, graine enclose dans un fruit. Il y a toujours
double fécondation
Ventilation : processus de la respiration qui accroît la circulation du milieu respiratoire sur la
surface respiratoire, pour que les branchies puissent capter efficacement l’oxygène dissous
dans les eaux même chaudes et salées. Chez les grenouilles le mécanisme de ventilation
s’apparent à celui d’une pompe foulante, chez les mammifères ça s’approche d’une pompe
aspirante.
Vésicule germinative : noyau bloqué en prophase de méiose et qui a gonflé. Cela se passe
lors de la croissance ovocyaire.
Vitellus : constitue les réserves énergétiques utilisées par les embryons durant le
développement embryonnaire. Il est produit par l'organisme maternel et s'accumule dans
l'ovocyte au cours de l'ovogenèse.
Viviparisme : lorsque l’embryon est pris en charge par l’organisme maternel et qu’il se
développe entièrement dans les voies génitales de la femelle. >< oviparisme où la femelle
pond ses œufs.
Volume courant : volume d’air qu’une animal inspire et expire à chaque respiration (+/- 500
mL chez l’homme)
Volvocales : algues vertes, protistes, ayant des contacts entre elle et ayant un flagelle. Forme
de vie ‘intermédiaire’ entre procaryote et eucaryote.
W
Weismann : scientifique qui ébranla le Lamarckisme. Selon lui les êtres vivants sont
constitués du germent (lignée cellulaire qui conduit à la formation de cellules reproductrices)
et le soma (toutes les autres lignées de cellules). Le soma serait l’enveloppe qui entretient le
germen de génération en génération (« la poule n’est qu’un moyen pour l’œuf de pondre un
autre œuf »). Selon lui, donc, le soma ne participe pas à la transmission héréditaire des
caractères et rend donc caduque l’idée de la transmission es caractères acquis.
Z
Zygote : cellule diploïde non encore divisée issue de la fécondation de gamètes haploïdes
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