f ’(x) = 12 x3 – 12 x2 – 12 x + 12
3 Pour tout réel x, 12 (x – 1)2 (x + 1) = 12 (x2 – 2 x + 1) (x + 1)
12 (x – 1)2 (x + 1) = 12 (x3 + x2 – 2 x2 – 2 x + x + 1)
12 (x – 1)2 (x + 1) = 12 (x3 – x2 – x + 1)
12 (x – 1)2 (x + 1) = 12 x3 – 12 x2 – 12 x + 12
12 (x – 1)2 (x + 1) = f ’(x)
Donc pour tout réel x, f ’(x) = 12 (x – 1)2 (x + 1)
Pour tout réel x, f ’(x) = 12 (x – 1)2 (x + 1)
f ’(x) = 0 12 (x – 1)2 (x + 1) = 0
(x – 1)2 = 0 ou x + 1 = 0
x = 1 ou x = – 1
de plus, pour tout réel x, 12 (x – 1)2 ≥ 0
donc f ’(x) est du signe de x + 1 sauf en 1 car f’(1)= 0
or x + 1 < 0 sur ]– ; – 1[, donc f ’(x) < 0 sur ]– ; – 1[
et x + 1 > 0 sur ]– 1 ; + [, donc f ’(x) > 0 sur ]– 1 ; + [ sauf en 1 car f’(1)= 0
Donc f est strictement décroissante sur ]– ; – 1],
et f est strictement croissante sur [– 1 ; + [.
4. Tableau de variation de f.
5. f est définie, continue et strictement décroissante sur ]– ; – 1]
on a f(-2) = 27 et f(– 1) = – 16
or 0 [– 16 ; 27]
d’après le corollaire des valeurs intermédiaires,
l’équation f(x) = 0 admet une unique solution, notée , dans ]– ; – 1].
f est définie, continue et strictement croissante sur [– 1 ; + [
on a f(– 1) = – 16 et lim;x + f(x) = +
or 0 [– 16 ; + [
d’après le corollaire des valeurs intermédiaires,
l’équation f(x) = 0 admet une unique solution, notée , dans [– 1 ; + [.
Donc l’équation f(x) = 0 admet deux solutions dans
5. À l’aide de la calculatrice,
On tabule avec un pas de 1
on a f(– 2) = 27
et f(– 1) = – 16 donc – 2 < < – 1
on
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f