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COMMUNIQUE DE PRESSE POUR PUBLICATION IMMEDIATE - 02 05 2005
Les entreprises TIC belges prêtes pour un nouveau départ ?!
Après trois ans, le secteur TIC belge renoue avec la croissance. En 2004, les activités ont progressé de
3%. Pour 2005, les prévisions sont, elles aussi, relativement positives. La Belgique possède un certain
nombre dacteurs de niche forts, notamment dans les logiciels intelligents, les solutions à base de cartes
intelligentes et les applications télématiques. Notre pays doit néanmoins continuer à investir pour attirer
chez nous de grand “navires amiraux” étrangers (centres de compétence internationaux), auxquels le
secteur puisse s’accrocher.
Des prestations très divergentes
Après trois ans, le secteur TIC en Belgique renoue avec la croissance. En 2004, les activités ont progressé
de 3%. Toutefois, la croissance n’est pas aussi forte partout. Ainsi les opérateurs télécoms enregistrent-ils
déjà quelques années de croissance ininterrompue. En 2004, l’activité a de nouveau crû de 7%. La large
bande et la mobilophonie en sont les forces motrices.
Le chiffre d’affaires total des entreprises spécialisées dans les ICT-solutions (matériel, logiciels, services &
consultance dans les réseaux et en informatique) n’a quasiment pas évolué depuis 4 ans. Ceci est
essentiellement dû à l’arrêt de la croissance des investissements des entreprises dans notre pays. En
2004, les investissements ont même été un peu moins élevés qu’en 2001.
Les entreprises spécialisées dans le développement et la fabrication de composants, d’équipements de
télécommunications et d’électronique de consommation ont enregistré une croissance de 5% en 2004. Ce
sous-secteur est particulièrement sensible aux variations de la conjoncture internationale. Les années
passées, il a essuyé de plein fouet la crise financière dans le secteur des télécoms.
Pour 2005, les prévisions sont plutôt positives. Diverses enquêtes révèlent que les investissements des
entreprises vont repartir à la hausse en 2005. Cela revêt une grande importance pour l’évolution du
secteur. Sur cette base, Agoria TIC table sur une croissance d’environ 5% en 2005.
Les lettres de noblesse du secteur TIC belge
Dans le secteur TIC, les investissements gravitent essentiellement autour d’un nombre limité d’entreprises.
Il s’agit d’entreprises très tournées vers les exportations qui doivent investir en permanence pour demeurer
compétitives sur les marchés internationaux. Dans les secteurs des télécommunications, de l’électronique
et de certaines applications logicielles, notre pays peut certainement présenter de nombreuses lettres de
noblesse. Les connaissances et technologies qui y sont développées sont à la base de nombreux succès
belges à l’exportation dans des domaines intéressants comme l’informatique financière, les cartes
intelligentes, les applications télématiques, la microélectronique et les systèmes audio-vidéo numériques.
Investir dans l’avenir
Si nous ne voulons pas manquer le train de la société de la connaissance, notre pays doit investir dans
une politique à deux voies : 1) le développement de nouvelles connaissances dans des secteurs de haute
technologie et 2) la diffusion de ces connaissances et solutions pour stimuler l’innovation et l’amélioration
de l’efficacité auprès des entreprises, des pouvoirs publics et autres organisations. Dans le premier
domaine, la Belgique est particulièrement peu performante. Nous sommes sous-représentés dans les
secteurs de haute technologie. Dans le domaine de la diffusion de nouvelles technologies, les
performances de notre pays sont moyennes, à l’exception de la diffusion de la large bande auprès de la
population. A ce niveau, notre pays est très performant mais ici aussi, le défi consiste à développer en
permanence de nouvelles applications.
Il importe que notre pays continue à attirer de grands centres de compétence internationaux. De tels
"navires amiraux" peuvent assister nos entreprises TIC locales, sur les plans technologique et commercial,
dans leur conquête des marchés internationaux. Il faut créer continuellement des connaissances (de
manière plus intensive, interactive et multidisciplinaire que jamais) et rechercher des niches spécialisées
au sein desquelles nous pouvons exploiter nos avantages comparatifs de la connaissance.
Une politique stimulante
Durant la dernière décennie, l’Irlande et la Finlande ont démontré qu’une politique industrielle stimulante
peut avoir des effets positifs considérables sur la croissance économique et l’emploi. Il importe toutefois
que cette politique soit intégrée au travers de tous les domaines et niveaux de compétence. En gros, il
existe 4 terrains sur lesquels les autorités peuvent faire la différence:
1) L’innovation et la R&D dans les TIC
Exemple de mesure : élargissement de la réduction du précompte professionnel pour les chercheurs
2) Exportations de produits TIC
Exemple de mesure: soutien des exportations de jeunes spin-offs
3) Investissements étrangers dans le secteur TIC
Exemple de mesure : meilleur accompagnement des dossiers d’investissement dans les secteurs de haute
technologie
4) Formation des collaborateurs TIC
Exemple de mesure : sensibilisation des jeunes à la science et la technologie et soutien de la formation
permanente des collaborateurs existants
En outre, la sensibilisation à la société de la connaissance devrait demeurer une priorité des autorités.
Encore trop de personnes ont peur des applications TIC, tandis que des utilisateurs réguliers n’ont pas
encore suffisamment conscience des possibilités existantes. Par le biais de roadshows à travers la
Wallonie et la Flandre, un certain nombre de partenaires s’efforcent déjà de remédier à ce problème dans
le cadre de partenariats public/privé, sous le slogan "Entreprendre ensemble, c’est innover ensemble".
Renseignements complémentaires:
Patrick Slaets, conseiller économique Agoria TIC
T. 02/7068007 G. 0497/277648 E. patrick[email protected]
Stijn Ombelets, responsable des relations publiques à Agoria
T. 02/7067825 G. 0477/502929 E. stijn.om[email protected]
Le secteur TIC belge occupe 97 000 personnes, qui réalisent ensemble une valeur ajoutée de 11,1 milliards
d’euros. Entre 1995 et 2004, la part du secteur TIC dans l’économie belge est passée de 3,35% à 4,27%.
Durant cette période, le secteur TIC a représenté pas moins de 19,5% de la croissance du PIB de notre pays.
Le secteur TIC réalise 20% des investissements R&D totaux de l’économie belge.
Les communiqués de presse sont disponibles sur le site Internet d'Agoria:
http://www.agoria.be.
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