Compte-rendu de la réunion du GUPPC du 22décembre 2004 L’EVALUATION DU RISQUE CARDIO-VASCULAIRE GLOBAL Dr M.Guillaume Cardiologue CHU de Charleroi Sujet Risque cardio-vasculaire « global » Risque cardio-vasculaire estimé « par facteur isolé » : par exemple bilan lipidique et le seuil « absurde » de 250 mg% de cholestérol total (un cholestérol à 250 mg% n’a pas la même valeur chez un patient que chez un autre) Facteurs de risque cardio-vasculaire Facteurs de risque non modifiables Sexe et âge : femmes au delà de 55 ans ou hommes au delà de 45 ans Antécédents personnels coronariens, cérébro-vasculaires ou d’artérite périphérique = gros risques Antécédents familiaux significatifs : o Ascendant ou collatéral féminin en-dessous de 65 ans o Ascendant ou collatéral masculin en-dessous de 55 ans Facteurs de risque modifiables Tabagisme Bilan lipidique Diabète Hypertension artérielle Obésité Sédentarité ....... Calcul du risque cardio-vasculaire global (RCVG) Introduction, dans des tables, de l’ensemble des paramètres évalués (facteurs de risque non modifiables et modifiables) Détermination du risque cardio-vasculaire global (se calcule en introduisant les différentes données dans une table) Risque cardio-vasculaire global élevé : 20% à 10 ans ou projeté à 60 ans (pour une personne de 40 ans chez laquelle on ne change pas les habitudes et le traitement, on peut voir quels sont les risques cardio-vasculaires que cette personne court à 60 ans) Risque cardio-vasculaire global léger : 10% Risque cardio-vasculaire global modéré : 10% et 20% Utilisation des tables de RCVG Actuellement : Framingham RCVG plus élevé que la réalité belge Risque de morbidité (maladie) et de mortalité Significatif si 20% à 10 ans actuellement ou projeté à 60 ans Futur : SCORE (adapté à la Belgique) Risque de mortalité uniquement Significatif si 5% à 10 ans actuellement ou projeté à 60 ans Framingham Données utilisées : Sexe (risque plus élevé chez l’homme) Diabète ou non (une femme non ménopausée perd sa « protection » hormonale lorsqu’elle est diabétique) Tabagisme ou non Tranche d’âge Tension artérielle systolique Taux de cholestérol total Augmentation du risque cardio-vasculaire si : Hyperlipémie familiale Diabète (risque X2 chez l’homme et encore plus chez la femme) Antécédents familiaux significatifs HDLc (« bon » cholestérol) bas (H 39 mg% et F 43 mg%). En général, les hommes ont un HDLc bas . Hypertriglycéridémie ( 180 mg%) Remarque : la majorité des femmes non fumeuses sont en-dessous du seuil de 20% SCORE Données utilisées : Pays à risque haut et à risque bas Sexe Tabagisme ou non Tranche d’âge Tension artérielle systolique Taux de cholestérol total (CT) ou CT/HDL Remarque : cette table ne prend pas en compte le diabète Pays à risque bas : Belgique, Luxembourg France Grèce Italie Espagne Portugal Suisse Augmentation du risque cardio-vasculaire si : Signes pré-cliniques d’athéromatose ( Duplex scan permet de voir le degré d’épaississement des parois des carotides reflet de l’état des parois des autres artères, CT scan, hypertrophie ventriculaire gauche, ...) Antécédents familiaux significatifs HDLc bas (H 39 mg% et F 43 mg%) Hypertriglycéridémie ( 180 mg%) Elévation hs-CRP, fibrinogène, homocystéine, ApoB ou Lp(a) Obésité ou sédentarité Utilisation des tables de RCVG En prévention primaire : lorsque la personne n’a pas encore eu de problème cardiovasculaire En prévention secondaire : le patient est obligatoirement à haut risque cardiovasculaire puisqu’il a déjà eu un tel problème (maladie coronaire symptomatique et documentée telle que angor, infarctus mais aussi accidents vasculaire cérébral, accidents ischémique transitoire et maladie vasculaire périphérique) = RISQUE CARDIO-VASCULAIRE GLOBAL 40% à 10 ANS (range : 30 à 70 %) Dans ce cas on n’utilise pas les tables de risques Recherche du facteur qui sera le plus utile à prendre en charge en premier lieu . Le tabagisme occupe une place de choix et le fait d’arrêter de fumer fait chuter le RCVG de manière significative . L’idéal est de traiter l’ensemble des facteurs de risque . Exemple 1 F 70 ans, en prévention primaire Tabac : 0 CT : 295 mg% ; HDLc : 75 mg% Diabète : 0 Antécédents personnels ou familiaux significatif : 0 TA : 130/80 mmHg RCVG : 7% Cette patiente est traitée de manière efficace par un hypolipémiant : o Elle reste une F de 70 ans o Pas d’autres facteurs de risque que le bilan lipidique o CT : passe de 295 à 220 mg% grâce au traitement mais l’HDLc diminue à 65mg% o RCVG : 7% o DONC, PAS D ‘AMELIORATION DE SON RCVG Exemple 2 H 70 ans, en prévention primaire Tabac : 0 CT : 210 mg% ; HDLc : 37 mg% Diabète : 0 Antécédents personnels ou familiaux significatif : 0 TA : 130/80 mmHg RCVG : 25% Ce patient est traité de manière efficace par un hypolipémiant : o il reste un H de 70 ans o Pas d’autres facteurs de risque que le bilan lipidique o CT : passe de 210 à 170 mg% grâce au traitement ; HDLc : 45mg% o RCVG : 16% o DONC, AMELIORATION DE SON RCVG DE 33% Exemple 3 H 50 ans Tabac : + CT : 180 mg% ; HDLc : 45 mg% Diabète : 0 Antécédents personnels : infarctus TA : 135/85 mmHg RCVG : il n’y a pas lieu de calculer le RCVG car le patient a déjà développé un infarctus Traitement d’un patient en prévention secondaire (haut risque cardio-vasculaire) Pas (plus de tabac) Alimentation méditerranéenne Activités physiques TA 140/90mmHg ( 130/80mmHg si diabète) . Plus la TA est basse, mieux c’est (pour autant que le patient se sente bien) BMI (indice de masse corporelle) 25kg/m2 ou tour de taille 102 cm pour H et 88 cm pour F Etude « INTERHEART » Etude portant sur 12461 « Cas »(patients ayant développé récemment un infarctus myocardique) versus 14637 patients « Contrôle » (patients environ du même poids, ayant environ les mêmes taux de cholestérol que les patients « Cas » et n’ayant pas développé d’infarctus) Analyse : Relation entre la présence ou non de facteurs de risque cardio-vasculaire dans la population « Cas » par rapport à la population « Contrôle » Seuil en -dessous duquel le facteur de risque n’est pas significatif ? Facteurs de risque : Tabac Bilan lipidique (ApoB/ApoA1 = mauvais/bon cholestérol) Hypertension artérielle Diabète Obésité abdominale (taille/hanches : paramètres un peu dépassés) Facteurs psycho-sociaux (stress professionnel, familial, soucis financiers, dépression) Consommation de fruits et de légumes Consommation d’alcool Activité physique régulière Où ? 262 sites dans 52 pays Europe : 25% Chine : 25% Sud de l’Asie : 20% Moyen-Orient : 13% Amérique du Sud : 12% Afrique : 5% Résultats RISQUE D’INCIDENCE (risque de développer un infarctus) Tabagisme ApoB/ApoA1 Hypertension Diabète Obésité abdominale Facteurs psycho-sociaux Fruits et légumes Alcool (pas + de 3 verres /semaine) Activité physique 2.87 (= risque 3X plus élevé) 3.25 1.91 2.37 1.62 2.67 0.70 0.91 0.86 Remarque : la moyenne du risque d’incidence est de 1 . En -dessous de 1 le risque diminue ; au-dessus de 1, le risque augmente . le fait d’arrêter de fumer diminue le risque de développer une maladie cardio-vasculaire au bout d’une année ; et au bout de 10 ans le risque est le même que pour quelqu’un qui n’a jamais fumé RCVG si : tabac + HTA + diabète = 13.01 RCVG si : tabac + HTA = diabète + bilan lipidique défavorable = 42.3 RCVG si : fruits et légumes + activité physique = 0.60 RCVG si : fruits et légumes+activité physique+absence de tabagisme= 0.21 Catégories Hommes = Femmes (sauf si diabète) Valeur des facteurs de risque plus prédictive à un âge plus jeune Valable sur tous les continents dans la même mesure, sans différence de race ou d’ethnie Conclusions Intérêt de calculer le risque cardio-vascvulaire de manière globale Intérêt des tables pour déterminer le premier facteur à traiter, le plus bénéfique (tabac) Confirmation de l’utilité de cette approche par l’étude « Interheart » Syndrome d’apnées du sommeil : facteur de risque cardio-vasculaire ? Le syndrome d’apnées du sommeil n’est pas retenu comme facteur de risque isolé mais plutôt comme associé à un autre facteur de risque Relation SAS et maladie coronaire : risque d’incidence de 1.7 Relation SAS et HTA : probablement +, surtout si âge 50 ans Relation SAS et accident vasculaire cérébral : risque d’incidence de 2.08 Mais ... l’interaction entre de multiples facteurs de risque (HTA, obésité viscérale, résistance à l’insuline, hyperlipémie, SAS, inflammation, ....) rend la détermination d’une valeur prédictive précise du SAS difficile « QUE VOTRE ALIMENTATION SOIT LA PREMIERE DE VOS MEDECINE » Hippocrate (- 400AC) L’IMPORTANCE D’UNE ALIMENTATION EQUILIBREE Mme F.Delespinette Diététicienne CHU de Charleroi Définitions d’une alimentation équilibrée Alimentation qui contribue à prevenir les maladies dites de civilisation comme l’excès pondéral, les maladies cardio-vasculaires, le diabète Alimentation qui permet à l’organisme de se développer harmonieusement Alimentation qui couvre les besoins énergétiques à tous les âges de la vie Alimentation qui satisfait de manière optimale les besoins de l’individu tant de manière quantitative que qualitative Remarques et conseils Les apports alimentaires doivent correspondre aux besoins de l’organisme La surveillance du poids devrait se faire une fois par semaine, le même jour, à la même heure, dans les mêmes conditions : cela permet de surveiller les écarts et de garder un poids stable Les fluctuations de poids sont dues à un déséquilibre entre l’apport alimentaire et l’activité physique . Si le poids augmente, l’idéal est de diminuer les apports alimentaires et augmenter l’activité physique Poids idéal ? On parlera plutôt de poids souhaitable, c’est à dire le poids où on se sent bien dans sa peau . Cela varie d’une personne à l’autre Evaluation du poids idéal : le BMI ou indice de Quetelet est un bon indicateur . Il se calcule de la manière suivante : Poids réel en kilos (Taille en mètre)2 Hommes 22 Valeurs extrêmes souhaitables 20.5-25 Femmes 20.8 18.7-23.8 Moyenne Embonpoint Obésité franche 25 30 24 28.6 La pyramide alimentaire Nous consommons en général : Trop d’aliments du règne animal (viandes, produits laitiers, matière grasse, charcuteries, ...) Peu d’aliments du règne végétal (fruits, légumes) Pas assez d’eau minérale La pyramide alimentaire permet d’établir un équilibre alimentaire au niveau quantité et au niveau qualité Plus on monte dans la pyramide, plus la consommation des produits diminue Plus on descend vers la base, plus la quantité consommable est importante L’eau : Notre corps est constitué de + de 80% d’eau importance de boire beaucoup (au moins 1,5 litre par jour en plus des boissons habituelles) L’eau est la seule boisson indispensable mais le thé et le café légers ainsi que les tisanes peuvent convenir Les féculents : = la base de la pyramide ; présents à tous les repas, en quantité suffisante Pain, céréales, pâtes, riz, pommes de terre Contiennent des glucides complexes (amidon), des protéines, des vitamines du groupe B, des minéraux (fer, magnésium) On préférera la forme complète : pain, pâtes, riz complets (régulation du transit intestinal) Les légumes : Légumes frais, surgelés, potages, herbes aromatiques à volonté Consommer les légumes à maturité Riches en eau, en vitamines, en minéraux et oligo-éléments, riches en fibres Pauvres en graisses et en sucre Apportent un gros volume et peu de calories Consommer par jour : 2X des légumes cuits (cela peut être aussi du potage) et 1X des crudités Les fruits : Riches en eau, en vitamines en minéraux et oligo-éléments, riches en fibres Pauvres en graisses Teneur variable en sucres (il y a plus de sucre dans les bananes que dans les groseilles) Consommer les fruits bien mûrs Consommer par jour 3 rations de fruits crus, cuits, en jus Remarque : ration = volume d’une pomme = volume de référence Les produits laitiers : Yaourt, fromage, lait, ... Riches en protéines, en calcium (plus le fromage est à pâte dure, plus l’apport de calcium est élevé Riches en vitamines du groupe B Contiennent des graisses Contiennent de la vitamine A (vitamine lipo-soluble contenue dans la graisse) A consommer sous la forme demi-écrémée ( diminue l’ apport calorique mais apporte quand même de la vitamine A) Présents à tous les repas Les viandes, volailles, poissons, oeufs : Même importance que les produits laitiers Riches en protéines, en fer, en vitamines B12 et oligo-éléments Varier les sources et les fréquences au cours de la semaine : o Poisson : 2X o Oeufs : 0-1X en alternance avec la viande hachée o Volaille : 2X o Viande blanche (porc) : 1X o Viande rouge (boeuf) : 1X Il n’est pas nécessaire d’en manger 2 fois par jour, la compensation se fait par les produits laitiers 100 à 120 grs de viande par jour sont suffisants Les matières grasses visibles : Dernier étage des « indispensables » Huile, beurre, margarine, mayonnaise, crème fraiche Riches en énergie lipidique à consommer avec parcimonie Apports en vitamines A, D, E (vitamines lipo-solubles) Apports en acides gras essentiels ( en cas de manque, le corps ne sait pas les fabriquer ; ils ne peuvent être apportés que par l’alimentation) Varier les sources (différentes sortes d’huiles par exemple) Friture : maximum tous les 15 jours ou tout au plus 1 fois par semaine La catégorie « divers » : Non indispensables mais font partie de la vie sociale Pâtisserie, biscuiterie, chocolaterie, sucre de table, grignotages Riches en calories A consommer de manière occasionnelle Les boissons alcoolisées : Non indispensables en alimentation saine Vin, bière, alccol fort Déconseillées aux enfants, aux adolescents, aux femmes enceintes et allaitantes Maximum 2 verres par semaine Si il faut choisir, buvons du vin rouge Conseils généraux Varier les aliments : aucun aliment n’est à priori mauvais Minimum 3 repas + collations par jour Equilibrer les quantités au long de la journée : ne pas faire des petits repas et un gros repas Dépensez-vous physiquement : même une activité physique minime telle un peu de marche, monter les escaliers Buvez régulièrement (de l’eau) : ne pas attendre la sensation de soif ; il faut boire même sans soif Avant de réduire les quantités, améliorons la qualité Pas de courses le ventre vide Faire une liste de courses Ne pas culpabiliser ON CONSTRUIT SA SANTE AVEC SA FOURCHETTE QUESTIONS-REPONSES Q : Qu’en est-il de l’eau du robinet ? R : Elle peut être considérée comme l’eau minérale en bouteille Q : Que penser des crustacés et des huitres ? R : A reprendre dans la catégorie des viandes, poissons, ... Contiennent beaucoup de cholestérol ; cependant, il est à noter que les aliments contenant du cholestérol ne font pas nécessairement augmenter le cholestérol sanguin. Il faut faire attention aux graisses animales car elles font monter le mauvais cholestérol. En terme de « graisses », le plus gras des poissons apporte moins de graisse qu’un steak. La graisse du boeuf ne se voit pas, par contre celle du porc oui, il est donc plus facile de la retirer ( par exemple : une côte de porc) Q : Quid du korn ? R : le korn apporte peu de graisse et beaucoup de protéines Q : Dans quelle proportion peut on saler les aliments ? R : Le sel est mauvais . En terme d’apport utile, il n’est pas nécessaire de saler . Le sel ordinaire n’est pas différent du sel marin au niveau apport . L’idéal est d’utiliser les herbes aromatiques ; cela permet de saler moins (au point de vue du goût) Q : Quelle huile utiliser ? R : L’huile d’olives crétoise première pression est la meilleure au point de vue goût (goût moins prononcé) . L’huile de colsa fait diminuer le risque cardio-vasculaire . Q : A quel rythme doit -on faire un bilan cardio-vasculaire ? R : Si il n’y a pas de risque, un bilan tous les 2 ans est suffisant . Q : Vaut-il mieux utiliser du beurre ou de la margarine ? R : C’est la même chose ; il faut juste varier les graisses . ECHOS DU G.U.P.P.C G.Hallet Création d’un comité de pilotage Secrétariat S’occupe de la mise à jour du listing des membres, de l’envoi du courrier, de la perception des cotisations, .... Composé de Jean-Marie LANNOY, Claude GODART, Anne-Marie LANEUVILLE, Gilbert HALLET Organisation et permanences S’occupe de la mise sur pied de sorties et de conférences ainsi que des permanences à Vésale Composé de Jean DUBOIS, Jean-Marie LANNOY, Bernard HUBEAU, Claude GODAERT, Joseph DELCOURT Groupe « presse » S’occupe de la réalisation du journal de l’association, de publicité, des cartes de membres, relation publique, .... Composé de René CARION et de Pierre-Marc ROBAERT Jean Marie Lannoy s’occupe de la gestion journalière du compte GUPPC Une permanence est organisée chaque deuxième mercredi du mois à Vésale dans un local du 5A (chambre 501), de 14 heures à 16 heures, pour : expliquer les buts et les rélisations de l’association répondre aux questions. écouter les problèmes partager les expériences de chacun Le site web est mis à jour par Gérard DE VIGNAT et Thierry GLINNE Le comité de pilotage est composé de 10 membres, mais toutes les candidatures sont les bienvenues . Formulaires Le premier explique l’ampleur qu’a prise l’association : à ce jour 75 membres effectifs alors qu’il n’y en avait que 12 il y a 1 an ½ . C’est pourquoi il est nécessaire de structurer le groupement et de proposer d’y adhérer via la modique cotisation annuelle de 10 Euros . Le deuxième demande aux futurs membres de remplir ses coordonnées ainsi que ses remarques et souhaits pour le futur Avantages de la carte de membre Revue semestrielle GUPPC ( la première paraîtra le 21 mars 2005) . Elle contiendra des informations utiles, des dessins, des mots croisés, des témoignages, .... Accès à la permanence et aux conseils Réductions diverses (en négociations) pour certains spectacles, fournitures, ... Envoi des rapports des conférences Remerciements à madame Kerkhofs, membre d’honneur et référence scientifique ; à mesdames Wanet et Turci pour leur aide efficace et souriante Rappel de l’adresse internet : http : // www.guppc.be.tf Courriel : [email protected] Tout courrier concernant le groupement peut être adressé ( ou déposé) au laboratoire du sommeil dont voici les coordonnées : Labo de sommeil : GUPPC C.H.U. André Vésale 5ème étage – Aile A Rue de Gozée 706 6110 Montigny le Tilleul Remarques Il n’y a plus de nuit de contrôle systématique . En cas de problème (amaigrissement, prise de poids importants, adaptation difficile à l’appareil, ...), le mieux est de reprendre un rendez-vous rapidement chez le pneumologue (lui seul peut décider d’un éventuel contrôle au labo sommeil) Nécessité de revoir le pneumologue une fois par an en consultation . L’idéal est de reprendre rendez-cous un mois avant la fin de la convention . Le pneumologue pourra ainsi faire signer cette convention par le patient .