ENERG@TIC Programme de travail pour le défi : Révisé au 4 Décembre 2008 MONITORAGE ENVIRONNEMENTAL IIS Leonardo da Vinci – Pixel Florence - Italie Le premier pas vers l’implémentation du défi est la création d’un groupe de travail qui comprend sujets différents : les professeurs, les étudiants, le personnel technique et auxiliaire. Nous proposons une session d’autoperfectionnement du groupe des professeurs, lors de la quelle le programme de travail de l’école sera illustré et discuté conjointement avec l’utilisation correcte des outils de la valisette fournie pour effectuer les mesurages dans différents environnements scolaires. La guide pour l’utilisation des outils de la valisette scientifique est disponible sous la forme d’une fichier PowerPoint. Les professeurs vont promouvoir une action de sensibilisation des étudiants participants au projet à travers l’illustration des objectives, le programme de travail et les modalités d’exécution du projet. Les élèves seront encouragés à créer des affiches qui annoncent les buts et les activités d’Energ@tic; ces affiches seront attachées à des endroits visibles et accessibles dans l’école. On va créer des groupes de travail individués parmi le nombre des classes participantes au projet. Il est aussi indispensable de sensibiliser de techniciens, qui peuvent donner leur aide pendant les inspections environnementales en éclaircissant les buts et les procédés du projet. 1. Enquête Préliminaire L’énergie utilisée dans les environnements de travail ou d’étude est surtout électrique ou thermique en hiver. L’énergie électrique est utilisée pour l’illumination, pour les pompe set pour l’utilisations d’instruments comme par exemple ordinateurs, imprimantes, photocopieurs, vidéoprojecteurs. L’énergie thermique est produite par chaudières qui utilisent de ressources différentes, c’est à dire du méthane ou mazout. La chaleur est rayonnée dans les environnements par les radiateurs. Si nous référons aux conditions de bien-être qui permettent d'effectuer une activité d'apprentissage, de concentration et de travail plutôt sédentaire nous devons effectuer quelques considérations. L'homme a une température corporelle de 36,5°C et pour se sentir bien physiologiquement il doit échanger en permanence sa chaleur avec son environnement : le climat optimal peut osciller, même en rapport au pourcentage d'humidité relative et aux vêtements portés, du 18-22°C en hiver jusqu’à 24-28°C en été. Au dessous ou au-dessus de ces valeurs l’inconfort thermique peut être grand. Les radiateurs dans une école sont installés sous les fenêtres ou à proximité des portes extérieures. De cette façon l'air ambiant plus chaud est produit de façon concentrée et il est mis en contact avec les murs plus froids que le reste de l’environnement avec une perte énorme qui coûte beaucoup en termes énergétiques et économiques. La présence de tuyaux pas isolés représente un gaspillage d'énergie ultérieur. Si le bâtiment possède des combles plutôt hauts, la dispersion vers le plafond est énorme, puisque le gradient de température optimale est en cette direction. De cette façon la chaleur n’est pas seulement inutilisée mais aussi gaspillée. Le facteur déterminant qui nous donne la sensation de froid ou de chaud est le rayonnement de notre corps et ceci est influencé des suivants paramètres : - température de l'air - température moyenne radiante - humidité relative - activité (métabolisme) 1 - habillement - facteurs subjectifs. La Température radiante moyenne (TRM, ° C) est la température moyenne des surfaces qui délimitent l'environnement, ou mieux de tous ces éléments qui nous entourent et qu'on trouve à une température différente de ce-là de notre corps. Ensemble à la température de l'air, TRM est le facteur qui influence le plus la sensation de chaleur parce que la radiation qui tombe sur la peau active les mêmes organes capteurs. Si le corps est exposé à des surfaces froides, une quantité sensible de chaleur est émise sous forme de radiation vers ces surfaces et elle produit une sensation de froid. La Vitesse de l'air (m/s) produit des effets thermiques même sans variation de la température de l'air et peut favoriser la dissipation de la chaleur, à travers la surface de la peau. Tous les environnements sont sujets à des mouvements parfois même imperceptibles de l'air. La vitesse moindre est de 0.075 m/s mais on commence percevoir le mouvement de l'air à 0.3 m/s. Aux plus hautes températures une vitesse de 1 m/s est considérée agréable, et jusqu'à 1.5 m/s tolérable. Dans les saisons les plus froides, à l'intérieur d'un local chauffé la vitesse de l'air ne devrait pas dépasser les 0,25 m/s, donc c’est bien important d’éliminer les vents coulis. En ce qui concerne l'humidité relative aux températures de bien-être il n’est pas nécessaire de refroidissement par évaporation. Cependant à des plus hautes températures ce type de refroidissement devient le moyen plus efficace pour la dissipation de la chaleur. L'air sature (100 % de UR) empêche n'importe quel refroidissement par évaporation. Lorsque UR est mineur du 20 % les membranes muqueuses se sèchent et les possibilités d'infection augmentent. Les baisses de température augmentent la sensation de froid comme l'humidité qui rejoint la surface de la peau provoque une sensation désagréable de froid. La sensation de chaud s'accentue à des températures de l'air supérieures aux 32 °C avec UR au-delà du 70 % puisque la sueur produite ne peut pas évaporer. Il est nécessaire maintenant d'effectuer opérationnellement notre enquête. En ce qui concerne les valeurs nécessaires pour qu’on ait un environnement scolaire agréable sans gaspillages énergétiques, l’équipe va effectuer un monitorage des environnements, qui précédé d’une définition des paramètres adoptés pour la choix. Ce monitorage sera effectué par les élèves qui ont rempli les fiches de relevé. En ce qui concerne le remplissage des fiches de mesurage: Les données, qui seront d’abord introduites dans une fiche papier et ensuite dans une fiche de relevé électronique, permettront la création de diagrammes. Les fiches intéressent la Température, la Luminance, l’Energie électrique consommé par les instruments et les appareils présents dans toute l’école. 2. Bilan Un bilan sera effectué à travers la discussion des résultats. On conseille quelques questions à poser, que l’équipe pourra utiliser lors que les résultats seront disponibles : Fiche de Bilan Domanda Quelle a été la variation durant les heures du matin? Annotazioni del team di monitoraggio 2 Est-ce que la température est agréable au début de la journée ? Est-ce qu’il y a des gaspillages? Quels? Quelle a été la variation de la luminance pendant le matin? Est-ce qu’il est nécessaire d’avoir une illumination complète pendant toute la journée? Est-ce que vous éteignez la lumière, lorsque vous sortez de la classe ? Quelle est la consommation d’une lampe fluorescente dans l’environnement? Quel est le coût correspondant en énergie? Combien on pourrait épargner en utilisant partiellement la lumière pendant les 2 heures les plus illuminées de la journée ? Combien de temps est-ce que les instruments restent en mise en veille ? Quelle est la consommation totale d’énergie de ces instruments pendant toute la journée? 3. Plan d’action Il s’agit d’actions directes vers la construction d’un système scolaire intelligent. Le groupe énergétique rédige un rapport qui contient différentes propositions à présenter au Proviseur et au Conseil d’Ecole. Organiser une exposition des travaux des élèves. Vérifier s’il est possible d’utiliser lampes basse consommation dans les bureaux. Exiger l’isolation thermique des radiateurs colloqués sur l’externe ou la possibilité d’appliquer des clapets au moins pour le bureau de secrétariat de l’école. 3 Exiger un contrôle de l’isolation thermique des fenêtres. Contrôler qu’il n’y a pas d’appareils en mise en veille. Définir un procédé pour manœuvrer les interrupteurs sous le tableau par le personnel de surveillance, afin que la majorité des appareils ne soit pas laissée en mise en veille pendant les jours de fermeture de l’école. Requérir l’emploi des cellules photoélectriques pour les bureaux des professeurs et de secrétariat. Exiger un contrôle de l’alimentation électrique des chauffe-eau. Requérir s’il est possible d’exclure les pompes de circulation pour les radiateurs quand le chauffage n’est pas utilisé. Requérir s’il est possible une isolation thermique des tuyaux de l’unité de chauffage. Rédiger un rapport sur l’activation des panneaux photovoltaïques. Organiser des exhibitions sur le fonctionnement des panneaux photovoltaïque organisées des mêmes élèves. Effectuer une inspection afin de garantir l’absence de pertes d’eau courante Actions plus génériques : Adhésion à la journée de mobilisation internationale du 13 février. (Proposition d’éteindre toutes les lumières de l’école (si possible) et les distributeurs de boissons. http://www.radio.rai.it/radio2/caterueb2006/millumino/index.cfm 4. Reaction Qu’attendons-nous de nos actions ? Est-ce qu’il sera possible d’avoir des effets positifs sur les autres élèves de l’Ecole ? Sur leurs familles ? Sur le territoire ? Notre premier espoir est de comprendre que “La qualité de notre vie dépend de l’énergie et surtout de la manière dont elle est utilisée”. D’autres buts importants: La création d’un groupe “Environnement”. Son tâche sera d’intervenir dans autres écoles. La rédaction d’un catalogue de Bonne Pratiques à disséminer dans l’école. La participation aux projets territoriaux de type Agenda 21. Devenir un établissement scolaire de référence pour la mise en œuvre des critères d’Ecole Soutenable 4