a) Une évaluation des connaissances mises à jour sur l'impact des
halocarbones sur la couche d'ozone; il s'agira notamment
d'étudier les tendances observées et prévues des substances
réglementées, de l'ozone et du rayonnement ultraviolet; d'avoir
une meilleur connaissance du rôle du bromure de méthyle dans
l'érosion de la couche d'ozone; de connaître les conséquences
pour la couche d'ozone du non respect des dispositions du
Protocole de Montréal; d'évaluer en permanence les potentiels
d'appauvrissement de la couche d'ozone des produits
de remplacement des substances à éliminer; et de prévoir les
quantités atmosphériques d'halogènes et les concentrations
d'ozone;
b) Une évaluation des autres aspects de l'appauvrissement de la
couche d'ozone, tels que les incidences des émissions des
aéronefs et le rôle des variations de l'ozone dans la
modification du système climatique mondial, qui devrait accorder
une attention particulière à la nécessité d'assurer une
information satisfaisante aux pays de l'hémisphère australe. Il
est demandé au Groupe de collaborer, le cas échéant, avec
l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI);
4. Que le Groupe de l'évaluation des effets sur l'environnement de la
raréfaction de l'ozone devrait informer chaque année les Parties au
Protocole de Montréal de tous les faits nouveaux scientifiques
importants. Il devrait s'intéresser :
a) Aux variations observées et prévues du rayonnement ultraviolet,
en consultation avec le Groupe de l'évaluation scientifique;
b) Aux effets de la variation du rayonnement ultraviolet sur
l'environnement;
c) Aux effets directs sur l'environnement des substances chimiques
jouant un rôle dans l'érosion de la couche d'ozone;
5. Que le Groupe de l'évaluation technique et économique devrait :
a) Avoir procédé, au 31 mars de chaque année, à l'examen des