La même forêt obscure, les mêmes arbres dépouillés
Les feuilles désséchées sur la terre.
Je me sens perdue, sans les conseils,
Mais j’étais ici dans le passé.
C’est le même vol de bétail des buissons.
Je frémis. La chair de poule forme.
Il arrive…
Je deviens nerveuse,
Mes battements de coeur commence d’être très rapide.
Encore une fois, panique prend le pouvoir,
Je commence à courir.
Aveuglément, je traverse la forêt dense.
Trébuche sur les buissons, les obstacles.
Ma sueur salée coule le long de mes joues,
Je continue à courir.
Cette situation répète toujours comme un cauchemar.
Chaque fois, j’échappe au monstre,
Mais je retourne toujours.
Ne fais jamais du progress, ne fais jamais de la vraie fuite.
Ce n’est rien d’en avoir peur,
Mais pourquoi cours-je?
J’arrête, je respire à fond, j’attends.
J’attends l’arrivée du monstre.
La silhouette m’approche lentement.
C’est seulment le hibou sage.
Vous courez sans rencontrer ce qui vous poursuit.
Si vous arrêtez, il arrêtera de vous chasser.
Il n’y a pas de monster. L’imagination exagère.
Je suis arrivée à la fin de la forêt, la fin de ma peur.
Ma peur est vaincue.
Les rayons de soleil m’accueille chaleureusement,
Le gazon doux sous mes pieds, les fleurs douces partout.
Un oiseau éloigné chante une sérénade,
Une petite brise passe.
Je me sens vivante, je me sens en liberté.
C’est le sentiment de la réussite.
Mon voyage peut advancer,
Il y a une autre forêt à l’avance.