DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE À LA BIOLOGIE (Suite) Nous avons vu dans l’article précédent que le champ magnétique pour être mesurable doit être capté par le métal susceptible de « s’aimanter ». Qu’il est le support de l’information et le constituant du champ morphogénétique - H3 de Pinel. Nous savons aussi qu’il est, comme tout phénomène ondulatoire, délocalisé, que les métaux sont avides d’informations et donc que leur rôle est de garder ces champs morphiques au voisinage des structures (le fer dans le sang). C’est ainsi que l’immatérialité du champ (onde) passant par le pouvoir des cristaux ou équivalents – piézo-électricité – s’exprime dans un champ électrique responsable de la forme dans l’espace (membranes). La présence de toutes les formes dans l’univers. constitue l’océan d’ondes électromagnétiques, l’ espace-temps dans lequel nous vivons Le temps est « magnétique » support des mémoires – je suis cela – et l’espace « électrique »est l’expression matérielle du cela. Les formes dans l’univers s’adaptent à chaque instant aux changements des informations qu’elles reçoivent puisque tous les champs sont reliés de façon intime et immédiate (Théorème de Bell). Le substratum des champs est le champ unitaire ultime, magnétique, dont le monopôle est le neutrino (Georges Lochac ) Ce champ, en avant de tous les autres champs, est constitué de neutrinos tournant en sens inverse, en ruban de Mœbius. Nous retrouverons cette apparence dans la représentation vraie d’un champ magnétique (travaux de L. Boutard). Cela nous permet d’expliquer les changements climatiques que nous subissons. Le magnétisme engendre du froid, donc la diminution drastique du champ magnétique terrestre et son déplacement sont à l’origine de la fonte des glaces polaires et de l’accroissement du froid dans d’autres régions. Les lois de l’électromagnétisme expliquent le reste. Le champ électrique associé est perpendiculaire au champ magnétique : il fait chaud à l’équateur car l’électrique génère de la chaleur. Tout déplacement ou modification du champ magnétique entraîne un changement climatique CQFD. Dans ce contexte il semble évident de penser que le neutrino est la particule vectrice de la gravitation. Nous pouvons également expliquer les émissions dues aux formes : Les structures piézo-électriques ont la propriété de transformer des ondes en courant électrique et vice-versa. C’est ainsi que dans la cellule le centriole centrifuge des polarités électriques responsables de la DDP membranaire elle-même étant la transcription de la variation du champ H3 connue par la formule dH3/dt. Nous savons que cette propriété est la première a disparaître au moment de la mort physique. Les travaux de Pinel ont montré que lorsqu’on fait T=0 c’est-à-dire lorsque le temps s’abolit, tous les champs disparaissent sauf le champ H3. C’est sa partie variable qui disparaît soit dH3/dt qui se manifeste par la piézoélectricité, donc la DDP membranaire. Ceci permet aux métaux qui retenaient les corps énergétiques de sortir de la cellule, dans les trois jours, d’après les travaux de E. Guillé, les trois jours de la Tradition pendant lesquels on doit laisser le « mort » récupérer les informations de ses différents corps. Les formes sont donc informées. Elles sont aussi informantes puisque leurs limitations sont manifestées par champ électrique et que qui dit courant dit champ. Entre les polarités électriques se trouve donc l’information véhiculée par les monopôles magnétiques que sont les neutrinos. (G. Lochac). Nous savons bien que les formes nous renseignent par l’intermédiaire de photons eux-mêmes accompagnés de neutrinos autrement dit par l’énergie support de l’information. C’est par ce phénomène que tout est relié selon le théorème de Bell. Chaque fois que l’on détruit des formes, on libère de l’information donc des neutrinos, le champ magnétique s’affaiblit. C’est exactement ce qui se produit avec l’utilisation des énergies fossiles (pétrole) et atomique (centrales). L’utilisation de l’énergie électrique et son transport engendrent une libération d’informations dont nous ne savons rien ce qui explique qu’il soit aussi difficile de mettre en évidence sa nocivité. Elle est très variable (dH3/dt) dépend des zones traversées (champs agricoles traités avec tous les poisons que l’on sait – maisons maudites, abattoirs, laboratoires, hôpitaux) – partout où il y a de la souffrance. C’est ainsi que nous pouvons entrer en résonance et être « contaminés ». Il en est de même pour la mémoire des lieux, de toute forme dans notre environnement, bref nous sommes dans un univers de participation. Si toutes ces informations pouvaient nous responsabiliser, nous rendre plus sages, plus compatissants, nous pourrions accompagner la terre dans sa mutation et participer ainsi au changement de niveau de conscience décrit par l’apocalypse ou révélation. Sinon nous ne pourrons que subir tous ces phénomènes de destruction dont nous serons les premières victimes. La Tradition annonce les « grandes famines de la fin des temps » : elles se profilent bien : Les animaux disparaissent victimes de la folie des hommes. Les plantes n’ont plus aucun pouvoir d’adaptation conséquence de cette autre folie de vouloir commander la nature. Les bricolages génétiques vont entraîner la disparition d’un grand nombre d’espèces incapables de s’adapter car on a retiré les « introns » qui sont là pour ça ! Les OGM ne sont pas reconnus par les systèmes immunitaires à cause du changement de forme - donc d’information. Nous n’avons tiré aucune leçon du prion (protéine normale qui s’est mal repliée) - encore un changement de forme - ici information létale. Il est grand temps de nous remettre en question et de changer radicalement d’attitude si nous voulons arrêter les catastrophes annonciatrices de notre fin… À suivre Diffusé sur www.arsitra.org - © 2003 « Jacqueline Bousquet »