Les structures piézo-électriques ont la propriété de transformer des ondes
en courant électrique et vice-versa. C’est ainsi que dans la cellule le
centriole centrifuge des polarités électriques responsables de la DDP
membranaire elle-même étant la transcription de la variation du champ
H3 connue par la formule dH3/dt. Nous savons que cette propriété est la
première a disparaître au moment de la mort physique. Les travaux de
Pinel ont montré que lorsqu’on fait T=0 c’est-à-dire lorsque le temps
s’abolit, tous les champs disparaissent sauf le champ H3. C’est sa partie
variable qui disparaît soit dH3/dt qui se manifeste par la piézoélectricité,
donc la DDP membranaire. Ceci permet aux métaux qui retenaient les
corps énergétiques de sortir de la cellule, dans les trois jours, d’après les
travaux de E. Guillé, les trois jours de la Tradition pendant lesquels on doit
laisser le « mort » récupérer les informations de ses différents corps.
Les formes sont donc informées. Elles sont aussi informantes puisque
leurs limitations sont manifestées par champ électrique et que qui dit
courant dit champ. Entre les polarités électriques se trouve donc
l’information véhiculée par les monopôles magnétiques que sont les
neutrinos. (G. Lochac). Nous savons bien que les formes nous renseignent
par l’intermédiaire de photons eux-mêmes accompagnés de neutrinos
autrement dit par l’énergie support de l’information.
C’est par ce phénomène que tout est relié selon le théorème de Bell.
Chaque fois que l’on détruit des formes, on libère de l’information donc
des neutrinos, le champ magnétique s’affaiblit. C’est exactement ce qui se
produit avec l’utilisation des énergies fossiles (pétrole) et atomique
(centrales). L’utilisation de l’énergie électrique et son transport
engendrent une libération d’informations dont nous ne savons rien ce qui
explique qu’il soit aussi difficile de mettre en évidence sa nocivité. Elle est
très variable (dH3/dt) dépend des zones traversées (champs agricoles
traités avec tous les poisons que l’on sait – maisons maudites, abattoirs,
laboratoires, hôpitaux) – partout où il y a de la souffrance. C’est ainsi que
nous pouvons entrer en résonance et être « contaminés ». Il en est de
même pour la mémoire des lieux, de toute forme dans notre
environnement, bref nous sommes dans un univers de participation.
Si toutes ces informations pouvaient nous responsabiliser, nous rendre
plus sages, plus compatissants, nous pourrions accompagner la terre dans
sa mutation et participer ainsi au changement de niveau de conscience
décrit par l’apocalypse ou révélation. Sinon nous ne pourrons que subir
tous ces phénomènes de destruction dont nous serons les premières
victimes.
La Tradition annonce les « grandes famines de la fin des temps » : elles se
profilent bien : Les animaux disparaissent victimes de la folie des
hommes.
Les plantes n’ont plus aucun pouvoir d’adaptation conséquence de cette
autre folie de vouloir commander la nature. Les bricolages génétiques
vont entraîner la disparition d’un grand nombre d’espèces incapables de