
II) Les conséquences sur le financement de l’économie
Les banques jouent un rôle majeur dans le recyclage de l’épargne
(expression à retenir) qui est destiné à financer l’économie par 2 moyens :
=> Intermédiation bancaire (traditionnelle)
Collecte des dépôts et octroi des crédits / MInterbancaire-crise de liquidité a
conduit à une crise économique….
=> Intermédiation financière (nlle fonction)
Emission de titres (actions/obligations) et achat par les investisseurs
Orientation des financements
Certains supports de l’épargne sont destinés à un financement précis et sont
encouragés souvent par un avantage fiscal :
=> Livret A : logement social, LDD : développement durable, PEL : résidence
principale ou travaux aucune ou faible imposition….
=> FCPI : innovation, PEA : actions et obligations européennes.
Le but est d’aider un secteur, une industrie, la consommation,
l’investissement…
Campagne publicitaire sur l’épargne en fonction des besoins de la banque,
Je m’explique, pour respecter certains ratios, notamment le ratio de Coefficient
de fonds propres et de ressources permanentes, celui-ci impose aux banques
de déposer de ressources longues pour nourrir des emplois (donc des crédits)
de longues durée. Le type d’épargne impacte donc le financement de
l’économie sur le long ou bien le court terme et donc l’investissement, les
revenus, la croissance, le chômage… effet du multiplicateur keynésiens…
Conclusion : L’épargne se présente donc sous différentes formes en fonction des épargnants
eux même de la législation, de la souplesse recherchée…Le niveaux d’épargne et ses supports
ont des conséquences à la fois sur le financement de l’économie et aussi sur la demande
globale et donc la croissance. Elle peut prendre une allure de refuge en période de crise ou
bien d’endettement d’un état (exemple la France pour payer les futurs impôts…).
L’épargne est également indispensable en période de croissance ou de maturité car elle vient
soutenir l’investissement des entreprises. Toutefois, il existe plusieurs contraste, en effet la
plupart des épargnants souhaites une épargne disponible à court terme alors que les
emprunteurs souhaitent du long terme. D’un point de vu néo, il faut d=soutenir l’épargne et
chez les keynésiens, il faut encourager la consommation au détriment de l’épargne.
On se demande alors si il existe réellement un mariage parfait entre consommation et épargne
pour une meilleure stabilité économique ? Existe-t-il un taux d’épargne limite pour un pays
(quand on pense aux E.U même si la dette est payée par les pays asiatiques dont la Chine) ?
Et enfin les supports d’épargne correspondent –il toujours au besoin de l’économie nationale
et mondiale ?