UN MONDE SANS DIEU Romains 1 :18-2 :16 Verset Clé 1 :18 « La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive. » Dans la leçon précédente, Paul résume son épître aux Romains, en disant : « Le juste vivra par la foi. » Récemment, j’ai lu un livre de rabbin islamique. Son propos était qu’il faut rendre à tout moment la grâce à Dieu. C’est-à-dire que si quelqu’un réussit, il faut remercier Dieu, car Dieu le voulait. Puis si quelqu’un échoue, il faut aussi remercier Dieu, car c’est ainsi que Dieu le voulait. Cette ligne de croyance est à peu près ou à la première vue similaire avec la vue du christianisme. La Bible ne dit-elle pas que tous concourt au bien à ceux qui croient en Dieu ? Mais le problème, c’est qu’en disant ainsi les musulmans excluent le domaine de la foi. Un jour Mahomet, devant ses disciples, s’écria vers une montagne lointaine, « viens vers nous. » Mais évidemment, la montagne ne bougeait pas. Donc, Mahomet changea la tactique et dit, « Eh bien, s’il en est le cas, je viens vers toi. » Mais Jésus dit, « Si tu dis à la montagne de s’ôter et se jeter dans la mer, et que tu n’en doute pas dans ton cœur, cela se fera comme tu le dis. » Le christianisme se caractérise par sa foi, et cela se démarque des autres religions. Donc, à part que nous apprenons que la justice révélée dans l’épître (désormais je voudrais que si on dit seulement l’épître, il s’agit de l’épître de Paul aux Romains) est la justification par la foi des péchés, nous devons vivre par la foi en Dieu dans tous les domaines de la vie. « Le juste vivra par la foi » soit votre étendard de la vie de tous les jours ! Amen ! Quand nous prêchons la parole, nous devons le faire par la foi. Une candidate de berger a dit, « quand j’ai prêché avec ma bergère, nous évitons le groupe, car ils n’écouterons pas. Nous avons un peu d’appréhension. » C’est compréhensible. Mais quand nous prêchons, en tout cas, nous devons prêcher par la foi. Nous devons aussi faire les études par la foi. Nous devons chercher premièrement son royaume et sa justice, en croyant que tout le reste nous sera abondamment donné, selon sa promesse, quoi qu’il nous semble que donner nos cœurs et nos temps dans l’observation des commandements absolus nous paraît engendrer un désavantage non négligeable pour nous qui n’avons toujours pas assez de temps. Mais nous devons faire les travaux par la foi, et Dieu révèle sa justice et verse sur son peuple obéissant sa bénédiction divine. Or, Paul débute la parole d’aujourd’hui, par ces mots : «La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété… » Comment, peut-on expliquer cet abrupt changement de ton de Paul ? Aujourd’hui, Paul résume par ce verset du début du texte, quel est l’état d’un monde sans Dieu par excellence. D’abord, pour beaucoup de non-croyants et de croyants, l’idée que Dieu puisse être colérique est insoutenable. Les gens se font l’idée de Bon Dieu, ou Dieu est amour, jusqu’à ce qu’ils y soient idolâtrés. Ici nous apprenons que la colère de Dieu n’est pas pour le futur, mais le présent. Pour Paul, la colère de Dieu se révèle non le jour du jugement, mais à présent. Les gens disent « où es Dieu ? » Mais le contexte de Paul nous indique qu’à ce moment où l’homme manifeste le refus de son Créateur – c’est le sens littéral de 1 l’impiété – , Dieu est dans l’état colérique. Son refus ne sera pas considéré comme innocent, car son ignorance n’est pas inintentionnelle. Elle est bien délibérée. Richard Doulière donne cette image de comparaison entre la dégénérescence morale des hommes que nous expliquerons plus bas et l’attitude divine à son égard. Si nous saisissons un œuf dans la main, il est sain et sauf. Mais pour détruire cet œuf, nous n’avons pas besoin de le frapper par terre. Nous n’avons qu’à le relâcher et l’œuf tombe de lui-même par terre en obéissant à la loi de l’attraction terrestre. Nous considérons que les décadences morales sont beaucoup plus graves que la méconnaissance de Dieu. Mais le propos de Paul est différent. La méconnaissance de Dieu ou son rejet intentionnel est la cause de tous les autres péchés, donc elle est bien plus grave. Un des thèmes principaux de l’épître aux Romains est glorifier Dieu. C’est le premier but de l’être humain marqué dans le catéchisme protestant. Si l’homme ne glorifie pas Dieu, les pensées de l’homme devinrent futiles et corrompus. S’ensuivent des vices dans la société. Le rejet délibéré de l’être humain de Dieu est la cause de tous les autres phénomènes de décadence morale. A cause de ce rejet et ignorance délibérée, Dieu se met en colère, et cette colère n’est pas la conséquence finale et reportée au moment du jugement, mais l’être humain ne cesse de goûter sur la base actuelle de la vie quotidienne la colère de Dieu. Cette colère se révèle dans le rejet de la vérité divine. Donc, au moment où l’homme exclue Dieu dans son système de pensée, la colère est en train de s’y abattre. Peut-être l’homme ne sent pas la colère de Dieu. J’ai adressé à un adolescent qui nie Dieu d’habitude une salutation à laquelle il m’a répondu : tranquille. L’homme aime sentir paisible. Mais, très ironiquement, l’homme, dans sa tranquillité, peut se faire accabler par la conscience de culpabilité. Mais ce cas aurait été un cas heureux. Mais le pire des cas est que la conscience de l’homme se paralyse. Paul décrit une fois des hommes dont la conscience est marquée du rouge, comme dans la forgerie. A cause de péché qui l’envahit, il ne ressent pas la gravité de péché comme le cas du lépreux dont les peaux deviennent de plus en plus insensibles malgré l’avancement de la maladie. C’est comme l’homme, goûtant de l’avantage de l’argent, ne ressent plus la possibilité de se poser du méfait de l’argent, à cause de la beauté des monnaies. Un autre aspect de la colère de Dieu est l’abandon. Paul utilise le terme « Dieu les a laissé… » à trois reprise comme une manifestation de la colère de Dieu. Dieu ne répond donc pas directement aux méchancetés des hommes, mais il agit indirectement aux agissements de l’homme. Or, cette réaction divine indirecte signifie une punition beaucoup plus grave que la punition directe. Imaginez qu’un mauvais père a l’intention assez maligne d’abandonner son fils à son désir coupable, au lieu de lui donne le coup de bâton pour le corriger, en sachant que son laisser tomber le conduirait dans un état plus grave. Dieu laissa tomber l’humanité coupable à ce qui semble bon à ce dernier. Selon le verset 18, cette colère est révélée du ciel. Le ciel est souvent écrit en Occident aussi bien en Orient, le siège de la justice absolue et inchangeable. C’est l’endroit où résident les dieux grec, et les dieux fondateurs des pays d’Orient. Là l’être 2 humain ne peut en discuter avec sa raison propre, si vrai lui semble-t-elle. La colère de Dieu est donc parfaitement justifiée, à la différence de celle des hommes qui malgré son apparence justifiée est toujours erronée. Donc, nous pouvons conclure par ces réflexions que l’idée commune que Dieu nous punit ou nous bénit en proportion directe de nos actions mauvaises ou bonnes ne peut pas être maintenue. Dieu se met en colère en toute impiété et en toute injustice, et que ce soit des excellents philanthropes humanistes du monde ne peuvent éviter la colère de Dieu, car ils ont exclus de ses pensées l’idée de Dieu, leur Créateurs. Alors, comment peut-on savoir que Dieu existe ? A l’époque de Paul, les penseurs grecs pensaient que l’homme peut arriver à avoir une connaissance de Dieu selon la raison. Par exemple, Platon dit que trouver le créateur de l’univers est « une tâche ardue », mais non pas impossible. Mais les Juifs pensaient en général, que connaître Dieu par la raison humaine est impossible. Paul explique dans cette partie que l’initiative doit être Dieu. Ainsi, dit-il, « ce qu’on peut connaître de Dieu… Dieu lui-même l’a fait connaître. » Donc, selon Paul, Les perfections invisible de Dieu étant évidentes, l’homme est obligé à l’adorer comme souverain, en sorte que l’ignorance de son état de créature l’amènerait à l’idolâtrie. Donc, admettant ce que les païens pensent sur quelque vague connaissance, Paul dit que cette connaissance est largement suffisante pour les rendre inexcusable. Cette connaissance n’amène à la connaissance de Dieu que s’ils rejettent l’idolâtrie et se tourner vers ce Dieu inconnu pour lui demander de se révéler à eux. Car une véritable connaissance de Dieu ne peut venir que si Dieu lui-même se révèle à nous par un acte de sa grâce saisi par la foi. D’où dans cette partie une nécessité du mouvement mental de l’homme appelé foi. Mais l’homme a refusé de donner la vigueur à ce mouvement et délibérément rejetait Dieu. Le verset 28 dit « comme ils n’ont pas jugé bon d’avoir la connaissance de Dieu… » Alors Dieu les a livrés… Ces mots se disent autrement, Dieu les a abandonnés. Je vois combien ces jours les gens qui vivent dans la post-modernité souffrent du sentiment d’abandon permanent. Une jolie fille a reçu la grâce et la lumière dans son cœur quand elle étudia la Bible, mais un jour elle se rendit à son père divorcé, puis quand elle revenait, elle est devenue une nouvelle personne, mentalement malade. Combien il est difficile de supporter le sentiment d’être abandonné même par un humain. Mais l’homme est abandonné par Dieu. Mais ce n’est point Dieu à qui on peut attribuer ce malheur. C’est l’homme qui a refusé de le reconnaître. Donc, Dieu les laissa aller. Dieu se refuse ainsi de s’occuper des hommes. Quelle catastrophe ! Dieu retira sa main qui restreignait les conséquences du mal. Selon le figuratif de Godet, c’est comme si le bateau a cessé d’être retenu à force du courant du fleuve. Chrystosome compare cette scène à un général qui abandonne ses soldats à l’ennemi comme Urie, mari de Bath-Chéba, mis par Joab à la frontière la plus ardente de l’ennemi. Mais selon l’étymologie de ce verbe « livrer » qui est « paredôken », cette expression, « Dieu a livré » a un sens plus rigoureux. Dieu a abandonné les hommes, 3 de sorte qu’ils se donnent aux convoitises de leur cœur et récoltent les fruits de leur action. Ici, cependant Dieu ne pousse pas l’homme, ni exerce une coercition sur l’homme ; celui-ci reste pleinement responsable de se livrer lui-même à ses vices. Les théologiens pro-homosexuels tentent d’expliquer que quant aux homosexuels, il ne s’agit pas ici de nature de l’homosexualité elle-même, mais un abus. Certains gens expliquent que ce n’est pas la relation entre les célibataires, mais entre ceux qui sont mariés dont il s’agit ici. Mais ce que Paul condamne ici est clair. Comme les passages de Lévitique, coucher avec le même sexe est une abomination et ils seront mis à mort et porterons seuls la responsabilité. Dieu les a livrés à la mentalité réprouvée. Selon une maxime grec, sans approuvé Dieu, l’homme en vient à avoir l’entendement réprouvé. Il est une étrange concordance du nombre 15 entre ces vices et ceux de 2 Timothée 3 :2. A l’époque de Paul, les chrétiens pensaient que le dernier temps allait bientôt arriver. Sans que ces vices aux Romains ne sont pas nécessaires d’être analysés, ceux de 2 Timothée le sont, et si ces vices sont le syntôme des gens à l’approche de la fin de temps, ce vaut la peine d’analyser ceux de 2 Timothée. Les vices à Timothée est entrouré par le motif des gens pour commettre l’impiété. D’abord au début, égoïst et l’aimant de l’argent puis à la fin, aimant le plaisir plus que Dieu. On aime égo, argent, plaisir. Alors toute sorte de vice se produisit et elle s’enfonce de plus en plus en mal. D’abord orgueilleux, ensuite enflé d’orgueilleux. Ainsi, étant hédonistes, ils se livrent à leur convoitise charnelle sans frein. Ainsi, étant matérialistes, ils se livrent à leur poursuite de gain matériel. Ainsi étant égoïstes, ils se livrent à leur propre profit et vie aisée et l’avantage familiale. Or, ce qui est vrai sur le plan individuel, l’est également sur celui des civilisations. Paul Valery disait que les civilisations sont mortelles. Il en était ainsi des Babyloniens, des Perses et des Romains. Le verset 32 nous expliquent comment un peuple en vient à subir d’un sort malheureux ensemble. Chaque membre sait que ceux qui commettent ce genre de péché sont mortels. Mais ils n’ont pas de crainte et arrogamment non seulement ils les commettent, mais aussi ils encouragent ceux qui les pratiquent. Ainsi, ils descendent aux enfers de façon communautaire. Or, est-ce que cet abandon est définitif ? Certes non. Cet abandon a eu lieu en Eden. L’homme s’est rebellé contre Dieu à ce moment, en rejetant la lumière qui lui avait été donnée. Mais, la parole de Dieu « tu mourras » dans le jardin d’Eden n’était pas les derniers mots de Dieu. Dieu voulait récupérer l’homme. Dieu a décidé d’abandonner son Fils pour sauver l’homme déchu. En fait, selon le terme des Romains, Dieu voulait justifier l’homme qui était devenu esclave de péché et de Satan en sacrifiant son Fils unique comme son sacrifice de rançon. II. Le problème des Juifs L’apôtre Paul tourne maintenant le regard vers le monde Juif. Ce sont les gens qui s’appuient sur la loi et se vantent de Dieu. Dans le monde, du côté des gens qui vivent une vie moralement dépravée, il y a des gens qui s’efforcent de vivre 4 honnêtement selon la conscience. Nous pouvons nous dire que ce genre de personne sont aussi pécheurs. Puis ce genre de personne eux-mêmes ne pensent pas qu’ils sont pécheurs. Mais l’argumentation de Paul est l’affirmatif. D’abord, les Juifs jugent les autres. Regardez le verset 2 :1. « Tu es donc inexcusable, qui qui tu sois, toi qui juges, car en jugeant les autres, tu te condamne les autres toi-même, puisque toi qui juges, tu agis comme eux. » Il y a le jugement public et le jugement privé. Au jugement public appartiennent le jugement que donne l’Etat pour maintenir sa sécurité et son ordre et celui que donnent les ecclésiastiques ou les prophètes pour garder la moralité du peuple. Ce genre de jugement demande le discernement et il est indispensable. Mais ici ce dont Paul dit est le jugement des autres que porte chacun selon son critère comme s’il est Dieu. Si on porte le jugement ainsi, lui aussi sera jugé par les autres. Alors pourquoi l’homme en vient-il à porter le jugement des autres ? En règle générale, les hommes vivent avec certains critères moraux propres à soi. Pour les Juifs, il y avait les commandements donnés par Dieu et ils devinrent les critères moraux pour eux. Les gens qui n’ont pas de loi voient leur tradition ou la coutume de la société la remplacer. Ces choses sont indispensables pour que l’homme puisse vivre dans la société. Quand les critères moraux se démolissent, l’ordre se brise et la confusion se provoque. Mais le problème est que les gens se mettent à juger les autres avec ces critères. Ils semblent vivre une vie moralement très honnête. De génération en génération, un des erreurs récurrentes, c’est que la génération actuelle se décide de corriger l’erreur de la génération passée, mais en vient à répéter la même erreur. Celui qui est élevé dans le sévère légalisme des parents se décident par exemple d’être dans sa génération très débonnaire. Mais le problème est que dans la génération, soit on commet le même erreur, soit on comme une erreur tout à fait opposée, en élevant les enfants dans le permissisme absolu. Ainsi, l’histoire de l’homme tourne rond sans avoir vraiment une solution. Ainsi, le problème de la génération demeure toujours comme un problème complexe. Si quelqu’un ou quelque génération porte le jugement envers l’autre, comme quand on montre quelque du doigt, deux doigts dirigent vers la personne, alors que trois se dirigent vers soi-même, toujours le jugement des autres tombe sur la tête. C’est le dilemme de l’homme. Mais il y a une solution. C’est que chacun trouve la faute de chacun et se repent devant Dieu. Cela est le problème sérieux des Juifs. Plus ils ont le privilège de dépositeur de la vérité, plus ils ont la responsabilité de la garder et l’enseigner, mais quant à eux, ils enseignent les autres, mais ils n’enseignement pas eux-mêmes, mais ne font que porter le jugement aux autres. Donc, Paul dit, « Jusqu’à quand, toi tu jugera les autres ? Jusqu’à quand ainsi tu évitera le jugement de Dieu, en ne sachant pas qu’il t’est miséricordieux et attend jusqu’à ce que tu te repente. » Ils abusent de la patience de Dieu et commenttent sans cesse l’hypocrisie. Leur jugement est particulièrement grand. Alors selon quel critère Dieu juge-t-il ? D’abord, Dieu juge chacun selon ses œuvres. Ici, les œuvres ne sont pas les bonnes œuvres philanthropiques. Ce sont les œuvres de la vie spirituelle. En disant qu’on est croyant, si on vit comme les mondains, ce serait un déplaisir de Dieu. Beaucoup de chrétiens se contentent de venir une fois 5 par semaine au temple et vivent exactement comme les gens du monde durant 6 autres jours. Cela n’est pas agréable à Dieu. Dieu juge selon les œuvres de chacun. Au dernier jour, il jugera chacun selon ce qu’il aura fait dans son corps, soit en bien soit en mal. Nous devons nous efforcer donc de porter les fruits du Saint-Esprit dans notre intérieur. Pour Paul, ce qui compte, ce n’est pas simplement écouter la parole, mais la mettre en pratique. Il dit que cela est le vrai Juif et cela est la vraie circoncision. Ces œuvres sont aussi étroitement liées au deuxième critère qui est le but de la vie. 7-9 disent, « la vie éternelle à ceux qui, par la persévérance à bien faire, cherchent la gloire, l’honneur et l’incorruptibilité ; mais la colère et la fureur à ceux qui, par l’esprit de dispute, désobéissent à la vérité et obéissent à l’injustice. Tribulation et angoisse pour tout âme humaine qui pratique le mal, pour le Juif premièrement puis, pour le Grec ; Gloire, honneur et paix pour quiconque pratique le bien, pour le Juif premièrement, puis pour le Grec ! » Beaucoup de jeunes posent la question ce qui arrivera aux gens qui n’ont pas eu d’occasion d’entendre soit à cause de la restriction spéciale ou temporelle, l’Evangile de Jésus. Paul dit qu’il y a un autre critère qui est la conscience. Pour ceux qui n’ont pas la Loi, ils l’ont néanmoins celle qui est inscrite dans le cœur. Il s’agit de la conscience de chacun. Donc, la conscience est un grand outil de Dieu pour préserver l’homme du mal, et ce depuis la nuit des temps. Même les chrétiens doivent user de cet outil, afin qu’il garder la foi saine devant Dieu. C’est dans ce sens que le jugement de Dieu selon la conscience est non seulement le critère des païens, mais me semble-t-il, le critère pour les chrétiens. Ainsi, devant le tribunal de Worms, Luther disait devant les religieux qui lui demandaient de renoncer à sa fois, qu’il n’est pas bon d’agir contre la conscience. Si on cite Kant, comme il y a les étoiles dans le ciel, dans le cœur de chacun, il y a une conscience. D’où la nécessité d’avoir recours à la conscience lors de la lecture de la Bible. Ainsi, Dieu conduit chacun à la repentance sincère devant lui et le rend capable de trouver une vérité splendide comme l’étoile du matin chaque jour. Il est très important de bien fixer le but de notre vie. La qualité de notre vie se détermine par ce but de vie. Pendant le parcours de vie d’Alfred Kuen, il a rencontré un garçon qui flirtait tous les temps les jeunes filles pour les faire tomber. Pour lui c’était son but. Kuen soupirait de ce que dans le monde il y a de tels gens. Si quelqu’un vise le but à l’argent, et du matin au soir, et tout au long de sa vie, il travaillera pour l’argent et l’argent, quoi qu’il n’apportera rien lors de sa mort, c’est misérable. Si le but de quelqu’un est le diplôme, il vit pour cela, j’ai lu un article d’un homme qui encaissait 40 diplômes aux Etats-Unis. Pour lui la connaissance était le but. La Bible dit qu’il nous faut fixer notre but de vie sur Dieu. Puis il faut suivre la direction de la bonne conscience, car c’est le don de Dieu. Celle-ci nous préserve des tendances charnelles telles révolte, désobéissance, jalousie, convoitise et passion impure, etc. Que ce soit les païens ou les Juifs, ils doivent chercher les vertus telles gloire, honneur et incorruptibilité, c’est la voix de Dieu pour l’humanité. Par-dessus tout, nous ne devons pas nier notre conscience innée qui nous dit qu’il y a un Dieu Absolu au milieu de cette merveilleuse création. Puis nous devons prêcher l’Evangile 6 de Jésus pour que les gens ouvrent leurs yeux sur leur réalité sous la colère de Dieu et sachent que le seul chemin d’être sauvé, c’est Jésus et c’est son Evangile. 7