Site d'AIDE aux Copropriétaires Résidence Le Parc
Faillite du Parc. Expulsions massives. Rachat massif à vil prix.
Pourquoi LGF paye-t-il le PACT 8.058 euros ??? Voir comptabilité 2011 page 12/144 ligne 17.
Voici un scénario envisagé par certains, qui nous faisait bien sourire en 2011, mais que nous prenons
aujourd'hui très au sérieux. Le scénario de l'éviction progressive des classes moyennes, premières
puis médianes, hors de la Résidence Le PARC, c.a.d. l'éviction de 80% des copropriétaires en 5 à 8 ans.
Le premier stade de l'opération est le plus difficile à réaliser, mais s'il est franchi, le reste suivra sans
encombres.
1er stade : réussir à faire voter une résolution coûteuse, d'environ 10.000 à 17.000 euros par
logement, en faisant miroiter des aides qui ne seront pas versées en totalité, si elles sont
réellement versées . . . , avec proposition de fenêtres alléchantes à très bas prix, sûrement
de piètre qualité au dire des nombreux fenêtriers consultés et à la lumière de certaines visites
d'un appartement-témoin, lui-même réalisé sans vote préalable. Le vrai prix des fenêtres
serait camouflé dans le tronc commun, sans descriptif ni devis, qu'on appellerait le PPR1,
puis le bouquet ou le PPR-2, si bien que finalement les votants payeraient ces fenêtres plus
cher que chez la concurrence. On supposera que la résolution serait votée d'extrême
justesse, grâce aux voix de gros porteurs détenant près de 10.000 tantièmes, lesquels ont
participé activement au projet, par un score global de 35.000 voix en deuxième lecture à
l'article 24 après un premier vote à l'article 25.
(alors que la V.M.C. eût exigé un vote à l'article 26 : un simple détail !)
On supposera en outre que les opposants ne saisiraient pas le TGI de Nanterre pour faire
annuler la scélérate résolution, pourtant truffée de nombreux et graves motifs d'illégalité.
Ces opposants, manquant de combativité, auraient dû faire recompter les voix et contrôler le
Procès-Verbal, au vu des incroyables anomalies constatées par le passé, à savoir :
- AG 16/06/2011 : écart de 2.257 voix entre l'affichage AG et la rédaction PV
et aussi au moins 837 discordantes, révélées par témoignages écrits
- AG 12/04/2012 : vote électronique défaillant durant 5 heures. Nombreuses erreurs sur PV.
La résolution devient donc applicable à TOUS, pour produire tous ses désastreux effets.
Les travaux ayant duré 4 ans plutôt que 2, les aides – réduites par rapport aux promesses –
n'étant parvenues qu'à l'issue des-dits travaux, certains qui n'auraient pas pu emprunter
(âgés, malades, surendettés, tous ces "NUISIBLES" que les promoteurs du projet avaient
jadis vilipendés et méprisés dans un tract odieux) se retrouvent fortement débiteurs envers
le syndicat en moins de deux ans (15 %). Ceux qui peuvent emprunter ne font que retarder
la survenue de leur insolvabilité (+ 5 %). Les autres s'accrochent encore, en tirant un trait sur
tous leurs projets. On prévoit 500 à 600 procédures d'expulsion par adjudication sous 18
à 30 mois (Rendez-vous Tribunal de Grande Instance Nanterre, salle des criées, 1er étage).
Le syndic y sera obligé, car la trésorerie aura quitté les caisses du syndicat. Qui rachètera
au Tribunal ? Les gros investisseurs sans nul doute, en masse, et à prix cassés,
en réalisant ainsi une grosse plus-value potentielle. Vous en connaissez peut-être !….
Le produit des ventes judiciaires s'avérant inférieur à la somme des dettes poursuivies,
la différence deviendra créance irrécouvrable à répartir entre les copropriétaires restants,
parmi lesquels 5 % encore ne pourront pas supporter l'excès de charge ainsi engendré et
seront saisis, puis expulsés à leur tour.
Au sein du gentil scénario, petit intermède qui devrait faire réfléchir sur la possible réussite du 1er stade :
Pourquoi LGF paye-t-il le PACT 8.058 euros ??? Voir comptabilité 2011 page 12/144 ligne 17.
2ème stade : A cet instant, le poids des gros investisseurs serait passé de 10.000 à 30.000 tantièmes.
Les travaux auront généré contraintes, nuisances insupportables et impossibilité de garer son
véhicule durant ces 4 ans de chantier stressant, poussiéreux et assourdissant. Ils auraient
"heureusement" permis d'économiser en moyenne 15 euros de chauffage par trimestre et par
logement (c.a.d. qu'il faudrait 300 ans pour rentabiliser cet investissement forcé) !!
Aussitôt d'ailleurs COFELY augmenterait ses tarifs pour compenser la minime réduction de la
demande en énergie. D'où l'inutilité absolue et essentielle d'une telle économie …