L’éthique du sport devant l’économie et la médiatisation
Introduction : Deux dynamismes de transformations
essentielles
C’est une résistance au changement. C’est une dynamique de transformation économique du
sport, économique des médias qui sont très lié. Les acteurs contemporains sont aussi les
acteurs médiatiques. Certain pôle commence à débaucher des entraineurs nationaux.
I) Poids économique du sport
Le sport se chiffre. Sa représente 3% du chiffre du commerce mondial. Se phénomène à une
dimension marchande. La circulation des capitaux est significative de l’éthique sportive. Les
dynamiques se renversent.
1) Dynamique économique du sport (1er mouvement)
a) Facteurs économiques dans la victoire
Plus le club a des moyens et plus il y a des effets positifs sur la victoire. Si on compare le
classement, les clubs français sont des nains économiques. L’argent favorise la victoire.
b) Effets de la dynamique économique libérale
C’est le néo-libéralisme économique. Le sport atteint des sommets. Les effets de cette
dynamique interviennent sur des secteurs et des flux médiatisés. Ceci transforme le rapport de
l’athlète et de l’état. La carrière est tellement courte, qu’il gère le plus rapidement avec l’état
et les sponsors les salaires. Les athlètes aujourd’hui ont un agent médiatique.
2) Dynamique sportive de l’économie (2ème mouvement)
a) Stratégie collective de conquête
L’argent envahit le sport. L’économie le gère. Il y a des effets de société. D’un point de vue
dialectique, la logique sportive pénètre le monde économique. Le sport est un modèle
idéologique. On veut être le meilleur, écrasé la marque concurrente, c’est une stratégie de
compétition. Ce modèle de la victoire à tout pris fait partie de cette dynamique.
b) La fin justifie les moyens
En sport on est allé très loin. Il y a des stages encadré par le GIGN.
3) Esprit du capitalisme et civilisation de l’extrême