KRYS : UN ACTEUR ENGAGÉ EN FAVEUR DE LA SANTÉ AUDITIVE
Journée Nationale de l’Audition le 9 mars 2017
Communiqué de presse - mars 2017
DÉMOCRATISER L’ACCÈS
AUX AUDIOPROTHÈSES ! PRIORITÉ À LA PRÉVENTION
ET AU DÉPISTAGE
DÉFICIT AUDITIF : DES CONSÉQUENCES
SANITAIRES, SOCIALES ET ÉCONOMIQUES
• Le déficit auditif : un véritable enjeu de santé publique
• Seulement un tiers des trois millions de Français concernés bénéficient d’une audioprothèse
• Krys s’engage à rendre les équipements auditifs accessibles au plus grand nombre
* source à préciser
En France, un tiers des trois millions de patients ayant besoin
d’une prothèse auditive n’y ont pas accès et seulement
15 % bénéficient d’un appareil adapté. On estime également
qu’environ 2 millions des plus de 65 ans ne seront pas équipés
en 2018*. Une situation qui ne risque pas de s’améliorer en
raison du prix élevé des prothèses auditives ainsi que du
nombre insuffisant d’audioprothésistes. En effet, il faut faire
évoluer significativement le numerus clausus afin de faciliter
l’accès à cette profession, pour couvrir les besoins de santé
réels.
C’est parce que la prévention et le dépistage doivent être
des priorités que Krys s’engage dans la Journée Nationale
de l’Audition. Créée en 2013, l’enseigne Krys Audition a été
pensée comme une prolongation de la promesse de Krys
en matière d’optique : rendre la santé auditive accessible
au plus grand nombre, en conciliant prix compétitifs et
prestations de qualité.
« Le dépistage est indispensable pour prévenir la perte
d’audition. Krys Audition s’inscrit dans une complémentarité
parfaite avec notre enseigne d’optique : les porteurs de verres
progressifs sont également susceptibles de développer des
troubles auditifs. Le fait d’associer ces deux spécialités, en
permettant aux audioprothésistes de travailler aux côtés
des opticiens, prend donc tout son sens. » Sylvaine Audrain,
directrice de l’enseigne Krys
Négligé depuis trop longtemps, le déficit auditif a de
nombreux impacts : isolement social, déclin cognitif (mémoire
et concentration), troubles neurodégénératifs, risques de
chutes… De plus, il a un coût, engendré par les frais médicaux
induits, mais aussi par la dégradation de la qualité de vie
et celui-ci ne fera qu’augmenter avec le vieillissement de la
population. La solution ? Le port d’audioprothèses adaptées,
qui pourrait réduire ces dépenses de 40 %, à condition que
ces appareillages soient accessibles et performants.
« Il devient urgent de démocratiser l’accès aux audioprothèses.
Cela passe par la réduction du coût à la charge du patient
et par l’entrée de nouveaux acteurs sur le marché. Il faut
également déverrouiller l’accès à la profession et faire évoluer
significativement le numerus clausus. Un choc de régulation qui
permettrait d’équiper tous ceux qui en ont besoin. » Jean-Pierre
Champion, directeur général de KRYS GROUP