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Remerciements :
Au premier chef évidemment à Jocelyn Benoist, pour le soutien permanent (et toujours
étonnant pour moi) qu’il m’a témoigné dès le début de mes travaux de doctorat, et pour l’aide
décisive qu’il m’a toujours apportée.
Je dois beaucoup également à la clarté des travaux de François Clementz sur la question
complexe des relations internes, et je lui suis redevable de la gentillesse qu’il m’a témoignée lors
des échanges que nous avons pu avoir, ainsi que des réticences qu’il a alors manifestées à l’encontre
de mes tendances initialement « structurales ».
Je remercie également très chaleureusement Charles-Edouard Niveleau pour son amitié, pour
sa générosité à partager son savoir, ainsi que pour le séminaire très riche qu’il a mis en place à l’Ens
lors de ces deux dernières années.
De même, l’amitié, le soutien et l’aide que Mathias Girel m’a très généreusement offerts au
cours de ces dernières années m’ont été extrêmement précieux.
Les résistances opposées par Jean-François Lavigne et Ronan de Calan à ma compréhension
initialement structurale des sensations, lors des conférences qu’ils ont pu donner à l’Ens, ont
également joué le rôle d’un aiguillon important dans la mise en place du point de vue que je défends
ici.
Enfin, c’est avec Raphaël Kunstler que j’aurai eu le plus d’échanges philosophiques, souvent à
bâtons rompus, et sur les sujets les plus divers, au cours de ces années de doctorat. Sa ténacité et sa
franchise dans la discussion, nourries d’une amitié indéfectible, auront été les meilleures alliées du
développement et de l’articulation de ma pensée.
Je remercie également tous les doctorants avec qui j’ai pu échanger et nouer des amitiés au
cours de ces années passées dans l’atmosphère réellement vivifiante (en fin de compte) de
l’Université Paris 1 : Romain Mollard, Federico Boccaccini, Pierre Fasula, Pauline Nadrigny,
Raphaël Ehrsam, Roberta Locatelli, Thibaut Trochu, notamment.
Laurent, Julien, Caroline, Vincent, Grégory, Benjamin, Nordine, Sidoine, que serais-je sans
vous ? Je vous aime, les amis.
Arnaud, Isabelle, Nicolas, Valérie (Valoche), je suis fier d’être de votre confrérie. Merci pour
votre enthousiasme moteur.
Maman, Papa, je mesure la chance que j’ai de vous avoir comme parents. Merci pour votre
soutien moral et... « logistique ». Pareil pour toi, frangin.
Enfin, Laure... sans toi je n’y serais pas arrivé.