LA REVUE DES VRAIS HORTICULTEUR NUMÉRO 30 2016
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DES PLANTES
Et les stress subis
TOITS
VERTS
Bondés de légumes
CIB
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LETTE
A L,AIL
Et ses fleurs comestibles
Et plus encore:
Don et Nicky Conseil d’horticulture
Foire aux questions
Sondage en ligne
Pestes et maladies
Le saviez-vous?
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Foreword
Contents
J’adore les marathons, surtout en mode paresseux, c’est-à-dire, en les regardant à la télévision tout en
sirotant un verre et en savourant des grignotines salées. Pourtant, il y a quelques années, j’ai eu la piqûre des
marathons et j’ai décidé que je devais compléter un marathon de course à pied au moins une fois dans ma vie.
Après un an de préparation, j’étais fin prêt à relever le défi. C’est alors que moi et mes espadrilles sommes
partis, direction marathon de Barcelone! J’allais courir le long du stade Nou Camp, croiser la Sagrada Familia,
faire le tour de la vieille ville et longer la côte pour revenir à la Plaça d’Espanya. J’étais certain de devoir franchir
toutes les collines de la ville sur mon passage. Mon objectif de temps : quatre heures.
Beau plan!!! J’ai terminé en deux heures et demie... à l’infirmerie! Mon corps a surchauffé et les quelques sels
restants dans mon corps s’échappaient une goutte de sueur à la fois. Tout ce que je voulais, c’était boire, boire,
boire et boire encore plus. Mais les secouristes m’ont bien averti de ne pas trop boire d’eau et m’ont plutôt servi
une bonne soupe ultra salée. Je ne surprendrai personne en avouant que j’ai profité du plus récent marathon de
New York au meilleur de mes capacités, bien campé dans mon divan. Les mauvaises habitudes ont la vie dure!
Les plantes peuvent elles aussi souffrir si on leur donne trop d’eau. En fait, le surarrosage est plus dommageable
pour les plantes qu’un manque d’eau. Nos deux articles de recherche de CANNA Research (aux pages 4 et 22)
abordent les stress les plus fréquents chez les végétaux et les conditions physiologiques dont ils souffrent. Pour
mieux comprendre, le premier article décrit les parties les plus importantes d’une plante tout en précisant leur
rôle. Après avoir traversé les deux articles, ne manquez pas notre Conseil d’horticulture, gracieuseté de votre ami
SEZ. Quelle est sa leçon cette fois-ci? Plus de nourriture ne rend pas plus affamé. Et on peut en dire autant des
plantes. Finalement, jetez un œil à la rubrique Prêt-à-cultiver (page 9) qui vous présente la ciboulette à l’ail (ainsi
qu’une délicieuse recette) et à notre article sur les Pestes et les maladies (page 20) qui traite des sciarides.
Bonne lecture!
Jeroen
Pestes et maladies
Les sciarides
CANNA Research
Les stress les plus fréquents
chez les plantes
Conseil d’horticulture
La physiologie des plantes
pour des récoltes abondantes
Sondage en ligne
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Faits
Faits divers
À venir
Tout sur la ventilation
CANNA Research
La structure de base des végétaux
Pret a cultiver
La ciboulette à l’ail
Foire aux questions
Les réponses à vos questions!
Don et Nicky
Du jardin intérieur au
paradis tropical
Le saviez-vous?
Le plancton bioluminescent
Pleins feux sur…
Les toits verts
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CANNA
RESEARCH
À travers l’évolution, les plantes ont développé de
nombreuses caractéristiques qui leur permettent
d’affronter les stress environnementaux. Elles y sont
parvenues de deux manières : en adaptant leur structure
de base et en produisant des composés chimiques, qui
sont souvent spécifiques à l’espèce.
Dans cet article, nous tenterons de décrire certains des
types de stress qui se produisent le plus souvent chez
les plantes – peut-être les avez-vous déjà vus – et les
troubles physiologiques dont elles peuvent souffrir.
Enfin, nous aborderons certains trucs auxquels les
plantes ont recours pour faire face au stress.
Tout d’abord, définissons ce qui constitue un stress
environnemental. Normalement, cette catégorie
regroupe tous les facteurs environnementaux
abiotiques qui ont des répercussions sur la croissance
ou la productivité des plantes. Nombre de recherches
scientifiques ont été menées sur le stress de sécheresse,
les effets des inondations ou de la submersion, le stress
salin et les chocs de température (autant le froid que
le chaud). Or, pour les jardiniers, les problèmes bien
connus comme l’intensité lumineuse élevée et les
carences en nutriments non organiques (comme l’azote,
le phosphore et le potassium) entrent dans cette même
catégorie. Surtout parce que ce genre de stress influence
la baisse de rendement dans les cultures agricoles ou
industrielles partout dans le monde.
Les fondements de la structure
des végétaux
Pour bien comprendre les problèmes présentés plus
loin dans l’article, il faut saisir les fondements de la
structure des végétaux. Les plantes et les animaux se
distinguent surtout par la capacité des plantes à utiliser
la lumière du soleil comme source directe d’énergie
pour produire tous les composés chimiques nécessaires
à sa croissance, sa survie et sa reproduction. Pas
étonnant que la structure de base de la plante ait évolué
pour faciliter cette sorte d’usine d’énergie.
Sous le sol...
En général, les plantes sont dotées d’une partie
souterraine et d’une partie aérienne. Dans le sol se
cachent les racines, évidemment. Leurs fonctions
principales visent à bien ancrer la plante dans le sol
et à puiser l’eau et les nutriments. Les nutriments
hydrosolubles sont transportés vers les autres parties de
la plante, hors du sol, à l’aide de la tige qui les distribue
DE BASE DES VÉGÉTAUX
Image 2; Aperçu général de la tige d’une plante. L’eau et les minéraux sont puisés par les racines. Ceux-ci sont acheminés
principalement vers les feuilles, mais aussi vers d’autres organes végétaux comme les fleurs ou les fruits en développement.
CONTRAIREMENT AUX ANIMAUX, LES VÉGÉTAUX NE PEUVENT PAS FUIR LES STRESS ENVIRONNEMENTAUX
QUI LEUR CAUSENT DES DOMMAGES TISSULAIRES. ILS NE PEUVENT PAS NON PLUS ÉCHAPPER AUX DIVERS
RAVAGEURS ET MALADIES QUI LES AFFLIGENT COMME LES VIRUS, LES CHAMPIGNONS ET LES INSECTES.
MAIS EST-CE DIRE QU’ILS SONT SANS DÉFENSE? BIEN SÛR QUE NON... APRÈS TOUT, LA TERRE NE DÉTIENT
PAS LE TITRE DE PLATE VERTE POUR RIEN. PLUSIEURS ESPÈCES DE PLANTES COEXISTENT AVEC LEURS
ENNEMIS NATURELS, ET CE, MÊME DANS LES ENDROITS LES PLUS HOSTILES SUR TERRE.
Par CANNA Research
Image 1: Aperçu d’une plante (un plant de tomates) et de ses organes
typiques. En général, les plantes sont dotées d’une partie souterraine
et d’une partie aérienne. Sous le sol, on retrouve les racines. Leurs
fonctions principales visent à stabiliser la plante dans le sol et à absorber
l’eau et les nutriments. Les nutriments hydrosolubles sont transportés
vers les autres parties de la plante, hors du sol, à l’aide de la tige qui les
distribue là où ils sont requis : feuilles, pousses, fleurs et fruits.
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CANNA
RESEARCH
là où ils sont requis : feuilles, pousses, fleurs, fruits
(chez les plantes florifères et fruitières, évidemment,
(voir l’image no 1).
Le processus d’absorption des nutriments se déroule
en plusieurs étapes. D’abord, les nutriments doivent
pouvoir se déplacer dans le sol ou le substrat autour
de la rhizosphère afin de trouver leur chemin vers les
racines. Ensuite, les nutriments doivent traverser une
série de « barrières racinaires », notamment les parois
cellulaires, puis les membranes cellulaires. Une fois à
l’intérieur de la plante, les nutriments sont transportés
par les tissus vasculaires (qu’on appelle le xylème)
pour finalement se déplacer de cellule en cellule. (voir
l’image no 2).
Très sélective, la membrane cellulaire représente
souvent la barrière la plus difficile à franchir. La
structure de base de la membrane cellulaire se compose
d’une bicouche phospholipidique très peu perméable
à la plupart des nutriments. Le dioxyde de carbone,
l’oxygène, l’eau et certaines molécules neutres comme
l’urée sont les seuls produits capables de traverser
facilement la couche lipidique de la membrane par
diffusion.
Tous les autres nutriments minéraux essentiels sont
assimilés sous forme d’ions (à l’exception du bore).
C’est-à-dire que tous les nutriments (sauf le bore)
doivent recourir aux transporteurs membranaires.
Ce sont des protéines de transport intrinsèques à la
membrane cellulaire qui contrôlent l’environnement
intracellulaire (les espaces entre les cellules végétales).
Au-dessus du sol...
La portion aérienne de la plante se compose de tiges,
de feuilles, d’organes reproductifs (fleurs, fruits) et de
pousses, qui renferment des cellules végétales encore
non différenciées, en attente d’une spécialisation
précise (plus tard, elles deviendront des tissus de
feuille ou de tige).
Après le puisage des nutriments et de l’eau par les
racines, plusieurs chemins permettent le transport des
nutriments à l’intérieur de la plante.
La route habituelle s’étend sur une longue distance,
les nutriments sont transportés par les vaisseaux du
xylème vers les feuilles et les fleurs (ou tout autre
organe de la plante). Deux éléments moteurs jouent
un rôle essentiel dans ce transport longue distance :
le gradient de potentiel hydrique et la pression
de sève radiculaire. La pression de sève
radiculaire se produit lorsque
l’eau dans le sol est attirée
dans les racines par
osmose. En fait, ce
phénomène est
Image 4: Aperçu schématisé d’un stomate. Gauche : un stomate ouvert se compose de deux cellules de garde turgescentes. Ces
cellules contiennent plus d’eau, ce qui crée un espace vide (stomate) au centre. Droite : un stomate fermé se compose de deux
cellules de garde « flasques ». Les membranes cellulaires des deux cellules se collent l’une contre l’autre, ce qui crée une fermeture
étanche séparant l’intérieur de la plante et l’environnement extérieur.
Image 3: Coupe transversale d’une feuille.
causé par l’accumulation de nutriments absorbés dans
les tissus du xylème.
Comme nous le verrons plus loin, plusieurs types de
stress environnementaux se répercutent sur le système
de transport.
Chez la plupart des plantes (sauf les plantes parasites
qui n’utilisent pas la lumière du soleil comme source
d’énergie), les feuilles comptent parmi les organes
vitaux les plus importants avec les chloroplastes qui
renferment des cellules dont la plante a besoin pour
opérer la photosynthèse. Ceci inclut tout le nécessaire
pour convertir l’énergie solaire en énergie de liaison,
pour permettre la fixation et la formation de glucides.
Le chloroplaste se compose d’un vaste système de
membranes internes que l’on appelle thylakoïdes. La
vraie chlorophylle se trouve à l’intérieur de ce système
membranaire (voir l’image no 5).
La plupart des chloroplastes se cachent dans les
cellules du mésophylle des feuilles. Les chloroplastes
sont des cellules à paroi fine avec un métabolisme actif
qui servent à la photosynthèse, mais aussi au stockage
de glucides. Les cellules du mésophylle sont entourées
d’espaces intercellulaires, ces espaces d’air qui entrent
en contact avec l’atmosphère. Les plantes peuvent
contrôler l’échange d’air à l’aide de leurs stomates – des
cellules spécialisées qui s’ouvrent et se referment pour
couper les échanges entre les feuilles et l’atmosphère.
Comme la photosynthèse se fonde sur l’assimilation du
dioxyde de carbone, puis la libération de l’oxygène, un
lien étroit et essentiel se tisse entre l’air et la plante.
La coupe transversale d’une feuille normale illustre la
disposition de ce type de cellules (voir l’image no 3).
Les stomates valent la peine d’être observés de plus près.
Ces cellules ne jouent pas uniquement un rôle crucial
dans la photosynthèse, elles permettent également à la
plante d’augmenter ou de réduire le taux d’évaporation.
Les stomates sont des cellules spécialisées se trouvant
sur la face inférieure de la feuille. Typiquement, ils
se composent de deux cellules dont le contenu d’eau
varie. Ces cellules se nomment les cellules de garde. La
quantité d’eau dans la cellule détermine si le stomate
se trouve en position ouverte ou fermée. Les cellules
de garde d’un stomate fermé renferment relativement
peu d’eau et ont l’air rabougries et flasques. Les
membranes cellulaires de chacune des deux cellules de
garde se touchent sur toute la longueur. Pour ouvrir un
stomate, la plante doit faire monter le niveau d’eau dans
les cellules de garde. C’est l’osmose qui entraîne tout
ce débit d’eau : la plante augmente activement le niveau
de potassium dans les cellules de garde. La hausse de
potassium crée un appel d’eau en direction des cellules,
ce qui les fait gonfler. Le contact entre les deux cellules
de garde diminue de façon à ce que la membrane
cellulaire se touche uniquement dans le haut et le bas
des cellules, créant ainsi un espace : le stomate est
maintenant ouvert (voir l’image no 4).En contrôlant le
DE BASE DES VÉGÉTAUX
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C’est vrai, elle ressemble à la ciboulette traditionnelle, mais
elle goutte l’ail. Pourtant elle appartient à la famille des
oignons. Comme quoi, toutes les créations de la nature sont
là pour nous plaire. Son nom scientifique Allium tuberosum
pointe vers ses racines d’oignon, mais elle appartient à la
famille des alliacées. Contrairement aux oignons et autres
types d’ail, son bulbe fibreux n’est pas comestible. On la
cultive pour ses tiges et ses fleurs. On l’appelle aussi ciboulette
chinoise, ciboule chinoise et ail tubéreux. Cette espèce a été
enregistrée pour la première fois il y a 4000-5000 ans en Chine.
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contenu d’eau avec précision dans les cellules de garde,
la plante peut déterminer si la plupart des stomates
devraient se fermer (aucun contact entre les parties
internes de la plante et l’atmosphère extérieure) ou
s’ouvrir (maximum de contact entre la plante et l’air).
Comme nous le verrons, ce processus joue un rôle de
premier plan dans les réactions de la plante face au
stress, particulièrement en ce qui a trait au stress
hydrique ou à la sécheresse.
Pour qu’une espèce végétale réussisse à survivre d’une
génération à l’autre, le processus de floraison s’impose,
assurant ainsi la réussite reproductive. Alors que la
photosynthèse procure de l’énergie à la plante tout
au long de son cycle vital, la transition entre le stade
végétatif et le stade génératif marque un changement
énorme dans l’investissement énergétique de la plante.
Cette transition se caractérise par l’induction et le
développement du méristème de l’inflorescence qui
produit des fleurs (ou une fleur, le cas échéant) (voir
l’image 1). Ce changement comprend des éléments
endogènes et exogènes. Par exemple, pour permettre
l’initiation du changement, la plante doit posséder un
certain nombre de feuilles et avoir atteint une certaine
biomasse totale. La présence de certaines conditions
environnementales peut aussi devenir une exigence,
notamment une photopériode en particulier. Celle-ci
se manifeste généralement par la transition vers des
jours longs ou courts. Un déclencheur génétique interne
ou une horloge circadienne peuvent aussi provoquer la
floraison d’une plante. Les hormones végétales jouent
un rôle primordial dans le processus, particulièrement
les gibbérellines.
Jusqu’à maintenant, nous avons décrit certaines des
parties les plus importantes de la plante et leurs
fonctions précises dans la croissance et la survie de
la plante, dans des conditions idéales, évidemment.
Comme nous le verrons dans la seconde partie de
l’article, les plantes doivent souvent aussi faire face à des
circonstances moins qu’idéales et peuvent repousser
leurs limites de la plante afin d’assurer leur survie. •
CANNA
RESEARCH
NE SONT-ELLES PAS MAGNIFIQUES? DE SPLENDIDES FLEURS BLANCHES EN FORME D’ÉTOILE. DANS LE JARDIN, DANS
UN VASE, DANS LA NOURRITURE, DANS VOS CHEVEUX… OÙ QU’ELLES SOIENT, ELLES SONT SUBLIMES. ET LANCEZ-
LES À MADAME DRACULA POUR L’ENVOÛTER ET LA MENER VERS UNE MORT CERTAINE. MOUHAHAHAHA. JE VOUS
PRÉSENTE LA CIBOULETTE À LAIL ET SES DÉLICIEUSES FLEURS COMESTIBLES.
Par Marco Barneveld, www.braindrain.nu
CIBOULETTE
À L’AIL
Photo gracieuseté de Kanegen under CC by 2.0
Image 5: Schéma représentant l’organisation générale des
membranes dans le chloroplaste. Le chloroplaste des plantes
plus grandes est entouré de membranes externes et internes.
L’énergie lumineuse se fixe dans les thylakoïdes. La fixation du
carbone (production de glucides) se produit dans le stroma, c’est-
à-dire l’espace à l’extérieur des thylakoïdes dans le chloroplaste.
Image 6: Aperçu typique d’une fleur. Il existe une
énorme variété de types de fleurs. Or, toutes les
fleurs possèdent plus ou moins les mêmes organes
reproducteurs. Dans l’exemple présenté ici, on
remarque la structure mâle (étamine) et la structure
femelle (pistil), mais celles-ci peuvent aussi être
séparées en deux fleurs sur une même plante ou
même sur des plantes mâles et femelles distinctes.
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