Rien d`autre à l`exception du signe de Jonas

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 Rien d’autre à l’exception du signe de Jonas « Alors quelques-­‐uns des scribes et des Pharisiens répondirent, disant : Maître, nous voudrions voir un signe de ta part. Mais il répondit et leur dit : Une génération méchante et adultère recherche un signe ; mais aucun signe ne lui sera donné, si ce n’est le signe du prophète Jonas. Car comme Jonas a été trois jours et trois nuits dans le ventre de la baleine, ainsi le Fils d’homme sera trois jours et trois nuits dans le cœur de la terre ». Matthieu 12. 38-­‐40 « Et quand le peuple s’amassa, il commença à dire : C’est une génération perverse, elle demande un signe, et il ne lui sera pas donné de signe, sinon le signe de Jonas le prophète. Car comme Jonas fut un signe pour les Ninivites, ainsi sera aussi le Fils d’homme pour cette génération ». Luc 11.29-­‐30 Introduction Le seul signe donné aux Juifs à l’époque de Christ fut le signe du prophète Jonas. Ce signe avertissait du jugement imminent et de l’obligation de chaque personne d’accepter Christ – l’incarnation de la vérité présente à leur époque. Le signe antitype de Jonas est donné maintenant à l’Adventisme. Maintenant, il est du devoir de chaque âme de faire une œuvre de repentance, afin qu’elle puisse échapper aux jugements qui tomberont sur les pécheurs dans Sion à la loi du dimanche. La Génération Méchante et Adultère Quand il était sur terre, Christ appelait les Juifs une génération méchante et adultère qui recherchait des signes. Les Juifs ici représentent le peuple de Dieu à la fin du monde puisque toutes les transactions de l’histoire sacrée sont des types de l’événement qui aura lieu à la fin du monde (1 Corinthiens 10.11, Romains 15.4). Les Juifs sont comparés à des « adultères » ce qui signifie qu’ils ont développé le caractère spirituel de Babylone « La Mère des Prostituées », Rome – le représentant de Satan à la fin du monde (voir Great Controversy, p. 50 en anglais). Comment se fait-­‐il qu’à la fin du monde, le peuple de Dieu reflète le caractère de Rome ? À l’époque de Christ, cet état de fait a été accompli par la vague de la philosophie grecque à l’intérieur de la théologie hébraïque et dans l’éducation. (1) « Il a été dit que l’histoire de la Grèce se passe entre la prophétie de Malachie et de Jean-­‐le-­‐Baptiste. Nous sommes maintenant prêts à apprécier la raison pour laquelle Israël est resté si longtemps sans entendre le son de la voix d’un prophète. Dieu donna à Israël un système éducatif, séparé et distinct du système de toutes les autres nations, un système qui, s’il avait été suivi, n’aurait jamais permis au peuple d’aller en captivité. Mais Israël abandonna le système donné par Dieu pour prendre l’enseignement des nations païennes. Lorsque les Juifs retournèrent de Babylone, ils étaient fortement imprégnés des idées du système éducatif et religieux babylonien. Cela les prépara à accepter avec empressement les enseignements grecs. Les rabbis de Jérusalem mélangèrent si bien les principes de la philosophie grecque avec les statuts de Jéhovah, qu’il leur avait été commandé d’enseigner aux enfants qu’à partir de la mort de Malachie jusqu’à la naissance de Jean-­‐
le-­‐Baptiste, il n’y avait aucune famille en Juda à qui l’enseignement d’un prophète pouvait être confié. « Les jeux grecs étaient pratiqués même à Jérusalem et la jeunesse juive s’habillait avec une écharpe et un chapeau à large bord en imitation du dieu Hermès et elle luttait comme les athlètes d’Athènes. Il a été dit par le Dr Mears que les prêtres, lorsque le signal était donné pour les sports, abandonnaient leurs fonctions dans le temple pour regarder les jeux. Les noms grecs remplaçaient les noms juifs dans de nombreux cas, et même les prêtres se mariaient avec les Grecs. Il n’est pas surprenant que Gabriel donna des instructions précises concernant le nom qui devait être donné au bébé de Zacharie et d’Elisabeth, car bien qu’il y eut une époque où chaque enfant d’Israël était nommé selon l’inspiration du Saint-­‐Esprit, les Israélites maintenant avaient choisi la Grèce à la place de Dieu. « Tout l’enseignement juif était hellénisé, et lorsque Jean-­‐le-­‐Baptiste naquit, il fut ordonné à sa mère et son père de quitter la ville de Jérusalem et d’éduquer l’enfant dans le désert, loin de l’influence des écoles et de la société Juive. Christ lui-­‐même n’entra jamais dans les écoles de son temps, à cause du mélange de la vérité de Dieu avec la philosophie païenne. L’enseignement grec exaltait la nature, mais le Fils de Dieu ne pouvait entendre la voix du Père dans l’enseignement des écoles et il se promenait dans la forêt seul ou en compagnie de sa mère. Puis c’était cette nature, le grand sujet d’apprentissage du Créateur, qui fut ouvert à son esprit en plein développement. D’autres jeunes juifs s’asseyaient aux pieds des rabbins, apprenant ce que l’esprit des Grecs enseignait, et ils crucifiaient le Seigneur de la vie ». L’histoire de Daniel le Prophète, p. 190-­‐191, par Stephen N. Haskell (en anglais) – Livre accessible sur http://www.legrandcri.org/publication/l
ivre.html Ainsi la philosophie grecque préparait la voie pour le rejet de Christ. Cela a été accompli dans l’adventisme par le rejet du « Blueprint » de Dieu en ce qui concerne l’éducation chrétienne, et l’acceptation du système éducatif mondain au début du XXè siècle. (2). Le système éducatif prédominant dans le monde aujourd’hui vient de Rome qui à son tour l’obtint de la Grèce Antique. (3). Les Grecs sont mentionnés dans les Écritures pour leurs réalisations savantes, mais leur grande connaissance au lieu de les conduire tout près de Dieu, les conduisit dans des ténèbres spirituelles. « Où est le sage ? Où est le scribe ? 0ù est l’argumentateur de ce monde ? Dieu n’a-­‐t-­‐il pas rendu insensée la sagesse de ce monde ? Car puisqu’en la sagesse de Dieu, le monde, par la sagesse, n’a pas connu Dieu, il a plu à Dieu par la folie de la prédication de sauver ceux qui croient. Car les Juifs exigent un signe, et les Grecs cherchent la sagesse, Mais nous, nous prêchons Christ crucifié, aux Juifs une pierre d’achoppement, et aux Grecs folie ; Mais pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs, [nous prêchons] Christ le pouvoir de Dieu et la sagesse de Dieu ». 1 Corinthiens 1.20-­‐24 L’acceptation de l’éducation mondaine a été étendue aux méthodes d’interprétation utilisées pour comprendre la Bible. La conséquence de l’acceptation de ces fausses méthodes par rapport à la méthode de la preuve par le texte (qui est la seule méthode biblique) a été l’exaltation des théories humaines sur les enseignements clairs des Écritures. Cela a été suivi par un aveuglement spirituel et un affermissement de l’incrédulité pour la vérité présente de ce temps. Christ était la vérité présente faite chair à l’époque des Juifs. Cette incrédulité manifestée à son égard par Son propre peuple est en parallèle avec l’incrédulité des Adventistes du Septième Jour envers la vérité présente pour notre époque. La vérité présente aujourd’hui est le message des trois anges qui est Daniel 11.40-­‐45, et l’augmentation de la connaissance qui a été accordée depuis le temps de la fin en 1989 (4). Ces vérités trouvent leur fondement dans les messages des cartes de 1843 et 1850. L’enseignement de Christ n’était pas un enseignement nouveau, mais un dévoilement de ce qui avait été depuis le commencement. « L’enseignement de Christ, bien que représenté par le vin nouveau, n’était pas une nouvelle doctrine, mais la révélation de ce qui avait été enseignée depuis le commencement. Mais pour les Pharisiens la vérité de Dieu avait perdu sa signification et sa beauté d’origine. Pour eux, l’enseignement de Christ était nouveau à presque tout point de vue et il était méconnu et non reconnu ». DA 279.2 – JC, 265.2 En raison de leur fausse éducation, les Juifs n’étaient pas aptes à reconnaître et à recevoir Christ. « … Le Seigneur Jésus était le fondement de toute l’économie juive. Ses rites imposants étaient des rendez-­‐vous divins. Ils étaient conçus pour rendre l’adoration à Dieu impressionnante et pour enseigner au peuple qu’au temps marqué Celui vers qui toutes ces cérémonies pointaient viendrait. Mais les Juifs exaltaient les formes et les cérémonies et avaient perdu de vue leurs buts. Les traditions, les maximes et les lois humaines les empêchaient de voir les leçons spirituelles que Dieu voulait leur enseigner. Ces maximes et traditions devinrent un obstacle à leur compréhension et à la pratique de la véritable religion. Et lorsque la réalité arriva, dans la personne de Christ, ils ne Le reconnurent pas comme étant l’accomplissement de tous leurs types, la substance de toutes leurs ombres. Ils rejetèrent l’Antitype et s’accrochèrent à leurs types et cérémonies inutiles. La somme était prouvée, le Fils de Dieu était venu, mais ils continuèrent à demander la preuve. Le message vint vers eux du ciel : « Repentez-­‐vous car le royaume des cieux est proche », en réponse, ils demandèrent un miracle. Leur requête pour avoir un signe de la part de Christ et des apôtres n’avait pas pour but d’obtenir une compréhension claire de la vérité de l’Évangile. Toutes les preuves que Christ leur aurait fournies ne les auraient pas satisfaits. Et à ce jour la nation juive demande un signe et attend pour la venue du Messie, celle conçue selon leur imagination, afin de les placer de nouveau dans la possession de la terre Sainte. « L’évangile de Christ était une pierre d’achoppement pour les Juifs, parce qu’ils réclamèrent des signes au lieu d’un Sauveur, mais le Seigneur ne souhaitait pas que Son peuple se repose sur les signes et les formes extérieures. Il ne les attendrait pas jusqu’à ce que toutes les objections soient ôtées afin qu’ils croient. Dieu n’enlèvera jamais toutes les difficultés apparentes de notre chemin. Ceux qui souhaitent douter peuvent trouver une opportunité, ceux qui désirent croire trouveront de nombreuses preuves sur lesquelles basées leur foi ». ST November 3, 1898, par 9.10 De nos jours, ce scénario est en train d’être répété. Cela est communiqué dans le passage suivant avec la vérité ajoutée que ce sont les dirigeants du peuple de Dieu qui conduisent à rejeter la vérité présente à l’époque où le Saint-­‐Esprit est en train d’être déversé. « Ceux qui vivent juste avant le second avènement de Christ peuvent s’attendre à une large mesure de Son Saint-­‐Esprit. Si Dieu n’a jamais parlé par moi, certains de nos dirigeants vont dans la même direction en refusant le message de miséricorde comme les Juifs le firent à l’époque de Christ. S’ils se détournent de la lumière, ils ne parviendront pas à remplir les objectifs élevés et saints donnés par Dieu pour cette époque importante. Ils échoueront dans l’accomplissement de la responsabilité sacrée qu’Il leur a confié. Le caractère et les perspectives du peuple de Dieu sont analogues à ceux des Juifs, qui ne purent entrer à cause de leur incrédulité. L’auto-­‐suffisance, l’auto-­‐importance, et l’orgueil spirituel, les séparèrent de Dieu et Il cacha sa face d’eux… Les Juifs méprisèrent le bien qui leur était accordé à l’époque de Christ et après la longue patience de Dieu, les choses qui avaient été pour leur paix furent cachées à leurs yeux ; si elles avaient été reçues, elles leur auraient donné de plus grandes bénédictions mais elles devinrent leur pierre d’achoppement. Ainsi il en est de même pour nous… « La lumière de la vérité brille sur nous aussi clairement qu’elle brilla sur le peuple juif, mais les cœurs des hommes sont durs et comme il en était à l’époque de Christ, parce qu’ils ne savaient pas à quoi ils s’opposaient. Plusieurs de ceux qui déclarent se tenir dans la lumière sont dans les ténèbres, et ne le savent pas. Ils se sont enveloppés eux-­‐mêmes dans les ténèbres en raison de leur incrédulité de ce qu’ils appellent ténèbres lumière, et lumière ténèbres. Ils sont ignorants de ce qu’ils condamnent et de ce à quoi il s’opposent. Mais Dieu n’excusera pas leur ignorance, car Il leur a donné la lumière et ils la rejettent. Ils ont devant les yeux l’exemple du passé, mais ils ne seront pas avertis et l’incrédulité les enferme dans des ténèbres impénétrables. Ils refusent d’accepter les témoignages qu’ils devaient croire, et sont prêts à accepter les ragots et les témoignages des hommes, montrant leur crédulité et leur disponibilité à croire ce qu’ils veulent croire. « Il y a une condition alarmante des choses dans nos églises. La parole du Seigneur déclare : « Vos iniquités ont détourné ces choses, et vos péchés ont retenu [ces] bonnes choses loin de vous. Car il se trouve parmi mon peuple des hommes méchants ; ils sont aux aguets, comme celui qui met des filets ; ils posent un piège, ils attrapent des hommes… Les prophètes prophétisent avec fausseté, et les prêtres dirigent par leur pouvoir, et mon peuple aime l’avoir ainsi ; et que ferez-­‐vous donc à la fin ?». Jérémie 5.25-­‐26, 31. « Et ils ont pansé la plaie de la fille de mon peuple à la légère, disant : Paix, paix, quand il n’y a pas de paix ». Jérémie 6.14. « Et maintenant, parce que vous avez fait toutes ces actions, dit le SEIGNEUR, et que je vous ai parlé, me levant tôt et parlant, mais vous n’avez pas entendu ; et je vous ai appelés, mais vous n’avez pas répondu. C’est pourquoi je ferai à cette maison, qui est appelée de mon nom, en laquelle vous vous fiez, et à ce lieu que je vous ai donné, à vous et à vos pères, comme j’ai fait à Silo. Et je vous chasserai de devant ma vue, comme j’ai chassé tous vos frères, et même l’entière semence d’Éphraïm. Jérémie 7.13-­‐15. Dieu va assurément accomplir Sa parole concernant ceux qui n’écouteront pas, ne verront pas et refusent la lumière qu’Il leur envoie ». 11 MR, 286.3-­‐287.4 La dernière génération de l’Adventisme est la génération qui cherche des signes. Non pas la preuve que Christ dans Sa justice a été heureux de donner, mais celle qui se conforme à ses propres théories et idées erronées. Le Signe De Jonas C’est à la dernière génération de l’Adventisme que Christ adresse ces paroles : « … Mais aucun signe ne lui sera donné, si ce n’est le signe du prophète Jonas ». Matthieu 12.39. A l’époque de Christ ces paroles faisaient allusion à Sa mort et à Sa résurrection, de nos jours, que communiquent-­‐elles au peuple de Dieu ? Jonas était dans le ventre du grand poisson durant trois jours et trois nuits qui est un type du message des trois anges qui est vérité présente pour nous aujourd’hui. Les messages des trois anges sont les vérités qui se trouvent sur les cartes de 1843 et 1850. (5) Les messages sur ces cartes sont les fondements de l’Adventisme. Ils sont aussi comparés au Rocher des Ages (6). La compréhension du message des trois anges a été obscurcie par l’acceptation des fausses théories et méthodes d’interprétation biblique. Mais ces fondements, qui sont aussi « les anciens sentiers » sur lesquels le peuple de Dieu est appelé à retourner, sont maintenant en train d’être restaurés. (Jérémie 6.16). Et en résultat de leur restauration, les messages des trois anges sont compris et proclamés de nouveau. Luc 11.30 déclare que Jonas lui-­‐même était un signe pour les Ninivites. « Et quand le peuple s’amassa, il commença à dire : C’est une génération perverse, elle demande un signe, et il ne lui sera pas donné de signe, sinon le signe de Jonas le prophète. Car comme Jonas fut un signe pour les Ninivites, ainsi sera aussi le Fils d’homme pour cette génération ». Luc 11.29-­‐30 La signification du nom Jonas est « colombe ». A l’époque de Christ, le Saint-­‐Esprit descendit sous la forme d’une colombe à Son baptême. C’était un signe pour Jean-­‐Baptiste et pour la nation juive que Christ était le Messie. « Le lendemain, Jean voit Jésus venant à lui, et dit : Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. Il est celui duquel je disais : Après moi vient un homme qui m’est préféré, car il était avant moi. Et je ne le connaissais pas ; mais afin qu’il soit manifesté à Israël, c’est pourquoi je suis venu baptiser avec l’eau. Et Jean rendit témoignage, disant : J’ai vu l’Esprit descendant du ciel comme une colombe, et il resta sur lui. Et je ne le connaissais pas ; mais celui qui m’a envoyé baptiser avec l’eau, celui-­‐là m’avait dit : Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et demeurer sur lui, celui-­‐là est celui qui baptise avec l’Esprit Saint. Et j’ai vu, et ai rendu témoignage que c’est [lui] le Fils de Dieu ». Jean 1. 29-­‐34 L’onction de Christ a été prophétisée et elle devait avoir lieu dans la dernière semaine des 490 années du temps de probation donné aux Juifs (voir Daniel 9.24-­‐27). Par conséquent, Son onction et son ministère étaient également un avertissement pour les Juifs que leur temps de probation était sur le point de s’achever, et le jugement de Dieu tomberait sur la personne non repentie lors de la destruction de Jérusalem qui suivrait rapidement. « Puis il dit à la multitude qui venait pour être baptisée de lui : Ô génération de vipères, qui vous a averti de fuir la colère à venir ? Produisez donc des fruits dignes de repentance ; et ne commencez pas à dire en vous-­‐mêmes : Nous avons Abraham pour notre père ; car je vous dis que Dieu peut de ces pierres susciter des enfants à Abraham ». Luc 3.7-­‐8 « Or après que Jean eut été mis en prison, Jésus vint en Galilée, prêchant l’évangile du royaume de Dieu, Et disant : Le temps est accompli, et le royaume de Dieu est proche. Repentez-­‐vous et croyez l’évangile ». Marc 1.14-­‐15 Ces événements sont en parallèle avec l’histoire des Millérites – le 11 Août 1840 l’ange d’Apocalypse 10 est descendu pour mettre en puissance le message de l’Adventisme (voir Great Controversy, 335) (7). Cette mise en puissance eut lieu lors de l’accomplissement d’une prophétie indiquant la restriction de l’empire Ottoman Islamique. Comme Christ est entré dans le désert pour faire face à un processus de test en trois parties immédiatement après Son onction, le 11 août 1840 marquait le commencement du processus de test qui culmina dans le développement de deux catégories d’adorateurs le 22 octobre 1844. A la fin du monde ce signe est accompli dans la descente de l’ange d’Apocalypse 18 le 11 septembre 2001. (8). Le 11 septembre marqua l’entrée de l’islam radical (le terrorisme) sur la scène de l’histoire prophétique. Tout comme l’empire Ottoman fut retenu le 11 août 1840, le monde entier mit une restriction sur l’islam radical, la guerre contre le terrorisme. La descente de l’ange d’Apocalypse 18 indiqua le commencement de l’effusion de la pluie de l’arrière saison, et le commencement du processus de test qui culminera dans la séparation des deux catégories d’adventistes à la loi du dimanche, et les deux catégories dans le monde à la fin du temps de grâce (voir Daniel 12.1, Ésaïe 3.13, Apocalypse 22.11-­‐12). Christ fit entendre Ses paroles au sujet du signe de Jonas à une époque où « le peuple était assemblé ensemble » en réponse à Son ministère (voir Luc 11.29). Le signe de Jonas est donné à la dernière génération à une époque où Christ est en train de rassembler Son peuple au moyen des messages des trois anges qui ont été mis en puissance par la descente du quatrième ange le 11 septembre 2001. En combinant les symboles prophétiques décrits ci-­‐dessus, le signe de Jonas peut être compris pour représenter la montée d’un mouvement prêchant les messages des trois anges qui se trouvent sur les cartes de 1843 et 1850 (qui sont les fondements de l’Adventisme). Le proclamation de ce message a lieu à l’époque lorsque le Saint-­‐Esprit est déversé sur le peuple de Dieu suivant la restriction de l’Islam terroriste après le 11 septembre. Ce mouvement est suscité dans la dernière génération de l’Adventisme qui est indiqué par un abandon des vérités fondamentales, par la conformité au monde et par l’acceptation des principes éducatifs de théologie catholiques. Le signe de Jonas coïncide avec un processus de test. Comment le peuple de Dieu répond-­‐il à ce signe ? Et les vérités en lien avec lui ont une conséquence de vie ou de mort. Pour Conclure Le signe du prophète Jonas est le seul signe qui sera donné à la dernière génération de l’Adventisme, pour l’avertir que la loi du dimanche pointe à l’horizon, que son temps de grâce est sur le point de se terminer, et qu’elle doit maintenant porter des fruits dignes de repentance. Sans cela elle se trouvera exclue de l’œuvre finale et sans un abri lors du déversement des sept dernières plaies. 1. Philo Judaeus (d.c. -­‐47) d’Alexandrie, a vécu dans la génération juste avant Joseph. Sous Philo les incursions du panthéisme grec ont atteint leur point culminant en faisant dévier la foi d’une grande section juive des enseignements de Moïse au sujet de l’immortalité et de son corollaire inséparable, la destruction finale des méchants. Sur une période de deux cents ans avant le Christ, les positions tangentes étaient développées sous l'influence de la philosophie platonicienne. Ainsi, le concept que Hadès contenait deux chambres est apparu dans 4 Esdras 4:41, avec l'idée que les justes habitent une chambre (Sagesse de Salomon 3: 1), tandis que les méchants sont maudits, flagellés, tourmentés dans l'autre (1 Enoch 22: 9-­‐13). Le Midrash (sur Ruth 1: 1, Proem) attribue également une chambre aux justes, avec une autre pour les méchants. Le Talmud (Erubin 19) raconte aussi le tourment des méchants. -­‐ La foi conditionnelle de nos Pères (1966), p. 257, par Leroy Edwin Froom 2. Pour en savoir plus sur l’histoire du rejet du blueprint de Dieu en ce qui concerne l’éducation chrétienne voir « The broken blueprint par Vance Ferrel » http://www.temcat.com/003Advent-H-History/Broken-Blueprintall.pdf
3
The American Sentinel, July 22 1897,
pg.448-449, by Alonzo Trevier Jones; The
Place of the Bible in Education, pg.49-51,
by Alonzo Trevier Jones
4
See article entitled The Centrality of
Daniel 11:40-45, <
http://pathofthejust.org/the-centrality-ofdaniel-11-verses-40-45/ - Voir article
intitulé La Centralité de Daniel 11.40-45
5
Ibid.
6
See article entitled The Foundation of
Seventh
Day
Adventism
http://pathofthejust.org/the-foundation-ofseventh-day-adventism/
(Voir
article
intitulé la Fondation de l’Adventisme du
Septième Jour).
7.
The Story of the Seer of Patmos, pg.184187, by Stephen Haskell – L’histoire du
Voyant de Patmos, p. 184-187- livre
disponible sur
www.legrandcri.org/publications/livre
8. D’où viennent les mots que j’ai déclaré au sujet de New-­‐York qui sera balayé par un raz de marée. Ce que je n’ai jamais dit. Ce que j’ai dit, alors que je regardais les grands immeubles s’élevant, étage après étage : « Quelles scènes terribles auront lieu quand le Seigneur se lèvera pour secouer terriblement la terre ! Alors les paroles d’Apocalypse 18 :1-­‐3 seront accomplies ». Tout le chapitre dix-­‐huit de l’Apocalypse est un avertissement de ce qui arrivera sur la terre. Mais je n’ai aucune lumière en particulier concernant ce qui arrivera à New-­‐York, seulement je sais qu’un jour les grands immeubles vont s’écrouler par la puissance terrible de Dieu. Par la lumière qui m’a été donnée, je sais que cette destruction est dans le monde. Un seul mot du Seigneur, une touche de Sa grande puissance, et ces structures massives tomberont. Les scènes qui auront lieu seront d’une telle frayeur que nous ne pouvons imaginer ». Review & Herald, July 5, 1906 Article pris sur site www.pathofthejust.org -­‐ Traduit par CME – Septembre 2014 – Bible utilisée King James version française – [email protected] -­‐ www.legrandcri.org -­‐ https://www.youtube.com/user/LGC777LC 
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