D’après le roman
Dix petits nègres
DE AGATHA CHRISTIE
ADAPTATION FRANÇAISE DE ROBERT SANDOZ
Du vendredi  au mercredi  mai 
Salle François-Simon
EN DEUX MOTS
Dix personnes qui n’ont a priori rien à faire ensemble se retrouvent sur une
île suite à une mystérieuse invitation. Un par un, ils décèdent. Qui est le
coupable de ces meurtres ? Un chef-d’œuvre du genre policier, une plongée
dans les eaux troubles de la culpabilité et les méandres du suspens.
CONTACT PRESSE
Jane Carton
Chargée de communication et de la presse
+41 (0)22 308 47 14
+41 (0)76 568 66 50
D’après le roman Dix petits nègres
DE AGATHA CHRISTIE
ADAPTATION FRANÇAISE DE ROBERT SANDOZ
MISE EN SCÈNE Robert Sandoz
ASSISTANTS À LA MISE EN SCÈNE Nathalie Jeannet et Thomas Matalou
TRADUCTION Odile Cornuz
DRAMATURGIE Laure Fallet
SCÉNOGRAPHIE Nicole Grédy
MUSIQUE ET UNIVERS SONORE Olivier Gabus
LUMIÈRE Stéphane Gattoni
COSTUMES Anne-Laure Futin
AVEC
Anne Bellec
Giovanni Calò
Michel Cassagne
Jean-Jacques Chep
Anne-Shlomit Deonna
Nathalie Jeannet
Thomas Matalou
Joan Mompart
Thierry Romanens
Philippe Soltermann
Coproduction Théâtre de Carouge-Atelier de
Genève et Compagnie Loutil de la ressemblance
Ce spectacle est réalisé avec le soutien de
Genève Aéroport et JTI
EN TOURNÉE
Saison 2014-2015
Saison 2015-2016
INFORMATIONS PRATIQUES
Horaires des représentations
Les mardis, mercredis, jeudis et samedis à 19h, les vendredis à 20h et
les dimanches à 17h
Billetterie
Rue Ancienne 39 à Carouge
+41 (0)22 343 43 43 ou tcag.ch
DISTRI-
BUTION
DP EINRPA MAI 2014_2
DOUBLE ENQUÊTE DANS LA VILLE !
Enquête n°1
Un meurtre s’est produit à la Société de Lecture...
Le me. 14 mai 2014 de 14h à 17h à la Société de
Lecture, Grand-Rue 11, Genève
Devenez détective pour un jour et menez
l’enquête dans ce véritable temple de l’érudition !
Un jeu réservé aux adolescents (12-14 ans).
Visite des coulisses du spectacle de Robert Sandoz.
Le ve. 16 mai 2014 au Théâtre de Carouge, à 18h30
visite des coulisses, et à 20h représentation de
Et il nen resta plus aucun
Enquête n°2
Dix personnes sont retrouvées mortes au Musée d’art
et d’histoire...
Le di. 11 mai 2014 à 14h au Musée d’art et d’his-
toire, Rue Charles-Galland 2, Genève
Les participants mènent l’enquête à travers l’histoire
des civilisations, de l’Antiquité à aujourd’hui, an de
résoudre une énigme qui nest pas sans rappeler les
strophes d’une célèbre comptine...
BORD DE SCÈNE
À la n de la représentation, les comédiens
invitent les spectateurs à les retrouver pour échanger
sur le spectacle.
Le ma. 13 mai 2014
AVEC
LE PUBLIC
DP EINRPA MAI 2014_3
Dix personnes venant de tous les coins de l’Angle-
terre et n’ayant aucun point commun entre elles,
sont invitées à passer leurs vacances sur une île.
À leur arrivée il n’y a personne pour les accueillir.
À l’heure de l’apéritif, ils se voient tous accusés
d’un crime par l’intermédiaire d’un disque qui
tourne sur un gramophone. Quelle nest pas leur
surprise !
Et, quelques temps plus tard, Antony Marston
s’étoue en buvant un whisky et en meurt. La
frayeur s’empare des invités mais plus encore
lorsque l’on retrouve le corps du général Macar-
thur, le crâne fracturé. Tout le monde est pétrié
et il ne reste à présent plus que sept personnes
sur l’île. Il ne peut donc s’agir d’un accident ; mais
qui a bien pu tuer ces personnes ? Le mystère est
de plus en plus profond lorsque, le surlendemain,
est retrouvé le corps de Thomas Rogers, le crâne
fendu par une hache. On s’aperçoit que tous ces
crimes ont des liens avec une chanson inscrite
dans chacune des chambres ; on se rend compte
également que les dix statuettes, trônant sur la
table de la salle à manger, disparaissent au fur et
à mesure que les crimes surviennent... Il ne reste
alors plus que six invités. À qui le tour ? Au petit
déjeuner, Miss Brent meurt d’une piqûre ; puis
dans la soirée, le juge Wargrave meurt d’une balle
de revolver. Il ne reste plus que quatre personnes
vivantes sur l’île. Des recherches sont faites pour
savoir si quelqu’un se cache dans l’île, mais au-
cune cachette n’est possible ! Le meurtrier fait
donc partie des quatre survivants. Le jour suivant,
l’ocier Blore est retrouvé, la tête fracassée par
une pendule, sur la terrasse. Tous les crimes s’en-
chaînent. Le docteur Amstrong est retrouvé noyé.
Il ne reste à présent que Véra Claythorne et Philip
Lombard.
Véra, convaincue de la culpabilité de Philip, saisit
un revolver et le tue. Des remords dans l’âme, elle
nit par se pendre.
Mais qui a donc pu les tuer ?
LA PIÈCE
DP EINRPA MAI 2014_4
NOTE
D’INTENTION
DP EINRPA MAI 2014_5
À l’origine du projet, il y a un profond questionne-
ment sur la relation qu’entretient le théâtre avec
le genre policier. Alors que le cinéma, la télévi-
sion, les livres, les bandes dessinées comptent
une grande part d’œuvres policières, le théâtre, en
tous les cas francophone, nen possède pratique-
ment aucune à son répertoire. Alors que ce qui fut
longtemps considéré comme un sous-genre ob-
tient enn ses lettres de noblesse dans les univer-
sités et auprès des critiques, le théâtre continue
de le bouder.
Il y a des oppositions dramaturgiques fondamen-
tales entre la structure d’un whodunit et celle de la
tragédie classique. Au théâtre, le drame, la ten-
sion et l’humour viennent souvent du fait que le
spectateur sait quelque chose que le personnage
ignore. Dans l’intrigue policière, c’est l’inverse.
Dans le monde plein de secrets du polar, le specta-
teur est plutôt emporté, manipulé jusqu’à une ré-
vélation nale. Autre diérence, le théâtre ne sait
que faire de ses cadavres et relègue en coulisse la
plupart de ses morts. Dans l’œuvre policière, leur
présence et leur étude sont souvent le déclencheur
de toute l’intrigue.
Ces questions m’ont donné envie d’emboîter le
pas à d’autres metteurs en scène ayant exploré
l’énigme du rapport entre le théâtre et le genre
policier. Il me fallait trouver un texte dans lequel
le spectateur et l’équipe de création auraient toute
conance. Si l’on veut que la démarche de re-
cherche soit probante, elle doit s’appuyer sur des
bases irréfutables. Il faut un texte dont la priori-
té reste l’intrigue avec le divertissement parfois
erayant quelle procure. Les grandes œuvres
assurent ce suspens, mais sans négliger le fond. Il
fallait trouver aussi un texte à grande théâtralité.
1 / 19 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !