Comité Scientifique et Technique Agropolis « Agro-environnement »
Réunion plénière du 24 novembre 2011 –Synthèse
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3. Session de réflexion et d’échanges sur la mise en place de l’AllEnvi et
son premier rapport d’étape
G. BOEUF présente le rapport d’étape de l’AllEnvi « 2010 pour demain ». La présentation est
disponible dans le document joint en annexe.
Pour plus d’informations, le rapport de l’AllEnvi est directement consultable en ligne.
Discussions et commentaires :
• il apparaît via la présentation et l’examen du rapport que la communauté scientifique
régionale est déjà très bien représentée dans les différents groupes de travail mis en place.
La valeur ajoutée d’une structure comme Agropolis International n’est donc pas évidente
dans ce domaine ;
• par contre, l’AllEnvi se propose d’ouvrir un nouveau chantier dans le domaine de la
prospective ; il conviendrait d’examiner comment le CST et/ou Agropolis International
pourrait y être associé
4. Session de réflexion et d’échanges sur les futurs travaux du CST
En premier lieu, il importe de souligner la satisfaction des participants quant à l’organisation et au
contenu de la journée, qui s’est avérée riche d’échanges. Il faut juste regretter que la participation
n’ait pas été plus importante.
Discussions et commentaires :
• cette réunion illustre bien le rôle et l’organisation du CST tel que redéfini lors de la réunion
du 1er juillet 2011, et montre que cette formule donne toute satisfaction. Le rôle du CST
peut ainsi être reformulé comme suit : « examiner les enjeux pouvant affecter la
communauté scientifique, à partir de la présentation d’études ou de travaux de prospective
réalisés par ailleurs ; sur cette base, formuler des recommandations au Bureau d’Agropolis
International, celles-ci pouvant être la préconisation d’actions à mettre en œuvre à court
terme, ou l’organisation d’une réflexion plus approfondie touchant un nombre plus large de
personnes impliquées, soit par l’organisation de sessions de sensibilisation, soit par la mise
en place de groupes de travail spécifique, soit de tout autre action ».
• B. HUBERT confirme par ailleurs l’importance du CST dans un contexte marqué par l’échec
du projet d’Idex, et donc des structures de réflexion interinstitutionnelle et interdisciplinaire
qui avaient été envisagées. Le CST peut et doit en partie suppléer à ce manque.
• le fonctionnement du CST passe par l’organisation de trois à quatre journées par an ; au
cours de chaque journée seront abordés deux ou trois thèmes, à partir d’une présentation
d’études portant sur des grands enjeux, présentation assurée soit par un membre du CST,
soit par une expert invité ;
• après trois années de fonctionnement, il importe désormais d’aborder la question du
renouvellement des membres du CST. Dans cette optique, F. BOULIER est chargé de
vérifier auprès des membres actuels s’ils souhaitent ou non continuer à faire partie du CST,
compte tenu des nouvelles orientations et d’un absentéisme important. Il leur sera
également demandé de proposer des noms de personnes, issues de la communauté
scientifique ou extérieures, qui seraient susceptibles de devenir membres. Une condition
importante est l’engagement d’assiduité, de manière à assurer une participation importante
à chaque réunion. Sur la base des réponses obtenues, le Président, le Vice-président et le
secrétariat du CST soumettront au Comité une proposition de nouvelle composition, en,
veillant essentiellement à l’équilibre des disciplines et thématiques représentées ;
• J. WERY souligne que la valeur ajoutée d’une instance telle que le CST réside dans la
transversalité des approches et réflexions proposées, et qu’il importe donc de porter
attention à cette notion lors du choix des thèmes à travailler ;