Après une étude des champs lexicaux sur le thème des quatre éléments, les élèves de CM2A ont écrit des textes poétiques en prose ou en vers. Légèr e , douce e s t la br is e , Viole nte e t br us que e s t la bis e . La te mpête a éclaté, e lle e s t déchaînée . La bour r as que va e mpor te r le s ar bus te s dépouillés . Le ve nt mur mur e de s mots incompr éhe ns ible s . Il pr e nd le s pas s ants pour cible . Il e s t tr ès s ur pr is Car il n’a pas d’ami. Nôa La fleur rouge Sans fin, les lueurs orangées s’étirent jusqu’au ciel. Le brasier crépite et le bois se déchire en appels. Les flammes ne cessent de se disputer. Peu à peu, la fumée s’installe dans la nuit étoilée. Eléonore Le vent se déchaîne de plus en plus. Les gens sont bousculés. La bise penche les arbres qui perdent leurs feuilles. Elle se transforme en une grosse tempête. Les gens sont désespérés par ce temps et ne sortent plus de leurs appartements. Maxime L. La tempête déchaînée arrachant tout sur son passage. dans la brume. Je respire la nouveau, la bise fait rage. Elle Christina éclate. Tellement violente, Le vent se calme et sifflote pureté du vent. De fouette, cingle les visages. Le feu a enfumé le foyer, il a brûlé. Les flammes virevoltent de plus en plus. Les tisons rouges brillent. Le bois crépite dans la cheminée. Enfin, les lueurs de toutes les couleurs s’éteignent. Mathilde La mer Les vagues étaient poussées par le vent, Pleines de grâce pour nous plaire. Elles déferlaient, en nous surprenant, Puis repartaient dans la mer. Sur l’eau, se promenaient des bateaux Qui affrontaient les vagues en été, Des enfants vagabondaient dans l’eau Et plongeaient depuis les rochers. Prune Le feu La fumée orangée jaillissait Les flammes virevoltaient Les cendres grisées s’éparpillaient Les lueurs dorées dansaient. Faustine Les flammes brillent à la lueur de la lune. Elles dansent, virevoltent. Le bois crache des cendres, il brûle. Il crépite, glisse dans nos oreilles. Grégory Le parcours de l’eau L‘eau silencieuse ruisselle dans la vallée Parmi buissons et roches ensoleillés. Elle progresse à pas de loup Evitant sur son chemin les plus gros cailloux. Soudain, face à elle, se tient un barrage. Violemment, elle frappe ce grand mur avec rage Mais ne pouvant échapper à la pression Finalement se transforme en tourbillon. Lou Brise de printemps La brise légère chatouille les fleurs. Elle réchauffe mon petit cœur, Chasse toutes les sombres peurs. Elle voyage à cent à l’heure. Cette brise qui chante vivement, Parcourt les arbres rapidement, Caresse nos joues impatiemment, Découvre le monde en dansant. Elle vole au-dessus des toits de chaume. Elle n’est peut-être pas toujours calme Mais elle ne possède aucune arme. La seule qu’elle ait, c’est son charme. Justine Le cycle de l’eau La source jaillit de la grotte, Glisse pour se transformer en rivière. L’eau claire passe entre mes bottes. Devenue fleuve, elle se jette dans la mer. Et hop ! Adieu, jolie eau de pluie Te voilà partie ! J’espère que tu vas revenir Dans les eaux de source qui vont jaillir ! Romane Le vent La bise souffle plus fort Les rafales soufflent sans s’arrêter. La tempête s’endort. La bise est stoppée. Le vent frappe aux carreaux Les éoliennes tournent au trot Les rafales frappent aux vitraux Le vent fait trembler les poteaux. Thomas Le ruisseau sans fin Dans les montagnes, un petit ruisseau. Il serpente tout doucement. L’onde coule en chantant Et accompagne le chant des oiseaux. La rivière qui n’a pas de fin Longe les parois de terre, Cherchant toujours la mer, Cet endroit si lointain. Maléna La tempête déchaînée N’arrête pas d’éclater. Elle se transforme en rafales Qui sont aussi très brutales. Le vent résonne dans la ville Qui ne se découvre pas d’un fil. Les habitants s’abritent Sous les ponts de granit. Aujourd’hui, la brise arrive Et embrasse, de son souffle, la Sur la plage, Les nuages prennent le large. Je sens une brise très légère Chasser le froid de l’hiver. Les feuilles virevoltent dans le Et s’en vont en dansant. rive. vent Sixtine Le feu Les lueurs orangées dansent dans le brasier, Rien de plus beau que de les voir crépiter. Les flammes brûlent sans relâche et virevoltent dans l’air Magnifique est la fumée dansant dans l’univers ! Jules La rivière calme serpente le long de la vallée. Oh ! La belle eau brillant de mille feux. Elle tombe dans la si jolie cascade bleue, Puis elle reprend sa course jusqu’à la fin de la journée. Soudain, le ciel s’assombrit et l’averse se met à tomber. La pauvre rivière est cinglée par les gouttes de pluie. L’orage s’arrête enfin à la tombée de la nuit. Et la petite rivière va se jeter dans le fleuve agité. Lise Le vent Le vent est très léger, Il peut se déchaîner, Il peut nous fouetter Ou nous renverser. Avec ses bourrasques, Il enlève son masque. On ne voit pas le vent, De tous les côtés, on l’entend. Mathurin Dans le foyer, les flammes dansent. A la lueur de l’aube, le feu crépite. Le feu s’éteint, les cendres refroidissent, noires et blanches comme les films de l’ancien temps. Une silhouette sombre surgit, arrive jusqu’au brasier, danse pour rallumer le feu. Nous devinons le Prince des Flammes. Joséphine La brise des pays de l’ouest effleure la ville tous les jours. Un vent léger siffle et souffle dans les allées. Dans les pays du sud le vent est lourd, Il hurle dans l’obscurité. Dans les pays du nord souffle le vent en virevoltant, Les feuilles volent au-dessus des cheminées. Dans les pays de l’est le vent est violent. Il est déchaîné et court dans les prés. Adèle Vent d’hiver La bise commence à se réveiller. Elle fait rage, elle est déchaînée. Les rafales fouettent les nez Et les bourrasques commencent à hurler. Le vent est violent. Il est assourdissant. Le vent est violent. Il est méchant, très méchant. Il nous réveille dans la nuit Quand on dort dans nos lits. Le vent souffle ses chansons Que nous, les hommes, nous entendons. Paul La mer est calme, toute bleu clair. Au bord de l’eau, on la voit qui devient blanche. De petites vagues se dressent à l’horizon. Elles arrivent très lentement et se posent sur le rivage. L’eau remonte jusqu’à nous et mouille le sable. Maxime C. La brise souffle La brise souffle, elle est tranquille, Fait chaud au cœur quand on est fragile. Légèrement, elle vous caresse les joues, Elle est si tendre avec vous. Les fleurs tanguent avec douceur, La brise ne leur fait plus peur. Elles ne pleurent plus de leurs malheurs. Elles comprennent leurs erreurs. Hortense Les rafales de vent picotent les visages La bise commence à faire rage Les grandes tempêtes ne viennent pas Mais les bourrasques ne rigolent pas ici bas. Passée en coup de vent, La tempête éclate brusquement. Respirons ce chant du vent Le vent si méchant. Les gens sont très prudents Car le vent n’est pas rassurant Emportant tout sur le champ. Il fait très froid En dehors de chez soi Moi, je n’arrive pas A marcher comme ça ! Les averses traversent le ciel comme des épées, Une pluie va éclater. C’est sûr, ça va tomber, La pluie hargneuse va fouetter. Les nuages font tomber la pluie. On doit prendre un parapluie Car le ciel est bien gris Comme on dit ! Raphaël Dehors souffle un vent glacé. Il court par les allées étroites. Les rafales poussent les passants. Les plantes et les fleurs sont arrachées par le vent horrible. Hugo P. Déchaînées, les bourrasques font rage depuis ce soir. Les rafales violentes accompagnent les nuages noirs. Sur les côtes, le mistral envole les grains de sable. Le soleil laisse place à un vent désagréable. Betty-Rose