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Jeudi tire son nom de Jupiter, planète aux teintes chaudes et orangées, et du dieu de la Terre
et du ciel. Jupiter possède des foudres jusqu’à mille fois plus puissantes que celles observées sur
la Terre. Un bouillonnement de feu qu’embrasse un cadran d’aventurine orange, serti d’une boîte en
or rose. L’aventurine orange est une pierre qui assure prospérité et créativité à ceux qui auront l’audace
de s’en emparer. Sa couronne termine sa course sur le demi-cercle droit du boîtier, à 17 heures.
Jour dédié à la beauté absolue, vendredi se réfère à Vénus. Un astre qui arbore une dynamique
propre, tout comme la beauté se soustrait à la rationalité. La cinquième création d’Ode à la Semaine
se pare d’ocre, aura de cette lointaine planète qui se laisse parfois entrevoir dans le ciel avant de
se dérober. La bronzite, pierre de couleur bronze, orne ce garde-temps qui siéra à merveille à la
fugacité de toutes les fins de semaine. Sur sa boîte en or gris, la couronne s’est déplacée à 20 heures.
Saturne a légué son nom à samedi. Astre le plus reconnaissable grâce à ses célèbres anneaux,
il est aussi le plus mystérieux. Capturé dans un garde-temps en or gris dont la couronne s’enfuit à
21 heures, Saturne a pour représentant un cadran en œil de tigre, une pierre nuancée de jaune doré
et de brun, aux lignes évoquant ses anneaux. Pierre de bien, elle remplit de chaleur et d’énergie.
Enfin, le Soleil, maître de la vie sur Terre, s’offre un jour de repos en léguant sa puissance au dimanche.
Astre royal de la galaxie, le soleil se pare de jaspe jaune pour faire briller sous ses rayons le dernier
garde-temps de ce coffret somptueux, dans un boîtier en or rose. Avant de recommencer son cycle
immuable, la semaine de l’Ode se termine par une position de couronne à 22 heures.
Au cœur de cette symphonie astrale, un maître miniaturiste loclois, André Martinez, a imaginé
et réalisé sur chaque garde-temps deux peintures miniatures d’une extraordinaire précision;
animant le haut du cadran, la première représente la planète souveraine de chaque pièce. Sur
la cage du tourbillon, l’artiste miniaturiste a encore déposé une vue de la Terre, aperçue sous un
angle différent au gré des sept montres du coffret. Ce travail, témoin d’un savoir-faire rarissime,
parachève harmonieusement Ode à la Semaine, véritable poème épique en sept actes relatant
l’ineffable course du temps.
AU RETOUR DU VOYAGE
L’incitation au voyage ne s’arrête pas au cadran. Afin de donner vie à l’arrière de la pièce, le
mouvement TSE – Ode à la Semaine se découvre très près de la glace. Comme pour achever
l’expérience de l’infiniment grand à l’infiniment petit.
Enfin, le bracelet en alligator surpiqué termine le thème astral. Lorsque l’on retourne la montre
pour admirer le mouvement, les couleurs affirmées des planètes se répercutent, en-dessous, pour
illuminer le calibre. En effet, les doublures intérieurs, également en cuir, reprennent la gamme de
teinte affichée par l’astre représenté et la pierre utilisée, dans une parfaite harmonie.
Parce que les garde-temps d’Ode à la Semaine n’ont pas de face cachée.