Communiqué de presse 21/02/2013 Alpro souhaite sensibiliser les consommateurs à l'impact de leur comportement alimentaire Et pour cela, elle montre l'exemple en préservant elle-même l'environnement : par rapport à 2008, Alpro a réduit de moitié sa production de déchets et a diminué de 14 % les émissions de CO2 de ses usines, alors même que le volume produit a connu une croissance de 17 %. Bruxelles, le 21 février 2013 – La société Alpro, pionnière en ce qui concerne les aliments d'origine végétale, organise aujourd'hui un symposium sur les habitudes alimentaires et le comportement de consommation. Le message de cet événement : grâce à leur alimentation, les consommateurs peuvent contribuer à la sauvegarde de la planète de manière plus efficace et plus simple qu’il n’y paraît. Une alimentation durable ne doit en effet pas forcément être synonyme de produits bio, de prix exorbitants, de temps perdu ou encore de démarches compliquées. Un modèle de consommation respectueux de l'environnement est tout à fait réalisable à condition qu'il se compose, au moins aux deux tiers, d'aliments d'origine végétale. Alpro ne jette pas uniquement la pierre au consommateur. Au contraire, elle fournit, elle aussi et plus que jamais, les efforts nécessaires pour limiter son empreinte écologique. Informer le consommateur Avec ses 7 milliards d’êtres humains, le comportement de consommation occidental pousse petit à petit notre planète dans ses derniers retranchements. Mais l'information et la sensibilisation des consommateurs sur l'impact de leur comportement alimentaire constituent un véritable défi, puisque de nombreux mythes perpétuent la croyance selon laquelle l'alimentation durable est réservée aux hippies écolos ou à ceux qui ont beaucoup de temps et d'argent. « En remplaçant dans l'alimentation quotidienne les éléments d'origine animale, comme la viande ou le lait, par des équivalents végétaux, les consommateurs peuvent déjà manger jusqu'à plus de 10 % moins cher », explique Janice Harland, nutritionniste à l'université de Bath Spa au Royaume-Uni. Les consommateurs ne se rendent pas suffisamment compte que l'important n'est pas uniquement de manger plus sain, mais bien de combiner une alimentation plus saine ET plus durable. « En général, ceux qui consomment moins de viande rouge compensent avec plus de volaille, de poisson et de produits laitiers, ce qui peut en réalité se révéler encore plus lourd pour l'environnement », poursuit-elle. Pourtant, les rayons des magasins regorgent d'alternatives végétales de qualité. Selon Wim Verbeke, professeur en marketing agroalimentaire et comportement de consommation à l'université de Gand, « 43 % des Flamands pensent que leur empreinte écologique est acceptable, alors qu'à l'échelle mondiale, la Flandre est l'une des régions qui pèse le plus sur l'environnement ». « Avec l'aide notamment de responsables politiques, d’ONG et la grande distribution, nous relevons le défi de faire prendre conscience aux consommateurs l'importance d'un schéma de consommation durable. Nous y consacrons beaucoup de temps et de moyens, par exemple au www.alpro.com Communiqué de presse travers de notre rapport bisannuel de développement durable, et d'initiatives telles que ce symposium », explique Bernard Deryckere, CEO d'Alpro. Convaincre le consommateur en lui facilitant la tâche Ce n'est pas parce que les consommateurs sont bien informés qu'ils adaptent forcément leur modèle de consommation. Le symposium met pourtant en évidence que la contribution de chacun peut faire la différence. Mais alors comment inciter les consommateurs à joindre le geste à la parole et changer leurs habitudes alimentaires ? C'est le grand défi qu'Alpro, en tant qu'entreprise, a choisi de relever. « Une chose est sûre : il est déjà difficile de fournir une information claire, mais obtenir que les consommateurs informés changent leur comportement l'est encore davantage. C'est là un deuxième challenge de taille auquel nous voulons nous atteler. Le nouveau mode de vie qu'il nous faudra tous adopter un jour ne doit pas nécessairement être cher, et certainement pas contraignant », ajoute Bernard Deryckere. « La solution serait de passer de notre modèle d'alimentation traditionnel, composé de deux tiers de produits d'origine animale, à un modèle n'en comprenant qu'un tiers, et ce en se tournant vers les aliments d'origine végétale. » Alpro montre l'exemple Le rapport bisannuel de développement durable, publié aujourd'hui, démontre qu'Alpro redouble plus que jamais d'efforts pour donner le bon exemple en tant qu'entreprise durable. Depuis 2008, les émissions de CO2 des usines d’Alpro ont ainsi chuté de 14 % malgré une croissance de 17 % du volume produit. Des résultats dont Alpro, première entreprise alimentaire européenne à faire partie du programme WWF Climate Savers, peut vraiment être fière. La production de déchets a, en parallèle, presque été réduite de moitié par rapport à 2008. Depuis 2011, l'entreprise utilise en effet un nouveau bouchon pour ses boissons à base de soja, qui permet d'économiser 0,96 kg de plastique par 1 000 litres de boisson. Alpro a aussi affiné de 0,1 mm les pots de ses alternatives au yaourt, ce qui, sans perte de qualité, a réduit de 1 kg la quantité de plastique utilisée par 1 000 kg de produit. Enfin, chaque semaine, on compte l'amarrage d'au moins un cargo au quai de déchargement de Wevelgem, avec à son bord 20 containers remplis de fèves de soja, ce qui signifie 1 200 camions en moins par an sur les routes. « Ceci n'est qu'un petit aperçu de la totalité des efforts que nous déployons en termes de production, transport et conditionnement. Mais le cœur de notre politique durable réside dans le choix même du produit que nous mettons sur le marché », affirme Koen Bouckaert, Vice President Strategy & Business Development chez Alpro. « L'alimentation végétale pèse nettement moins sur l'environnement. En effet, elle nécessite moins de terres et d'eau, et sa production génère moins d'émissions de CO2 que celle des aliments d'origine animale. Ainsi, il faut 3 fois plus de terres et 2,5 fois plus d'eau pour produire du lait de vache que pour la même quantité de boisson à base de soja, et les émissions de CO2 sont 5 fois plus élevées. » « En outre, nos produits végétaux à base d'amandes, par exemple, ont également un impact nettement réduit sur l'environnement. En construisant l'entreprise autour de notre culture de l'alimentation végétale, nous avons placé le développement durable au centre de nos activités. Bon à savoir : les produits végétaux représentent seulement 1,8 % du marché laitier. Voilà donc un www.alpro.com Communiqué de presse secteur où le potentiel pour réduire notre empreinte écologique grâce à nos choix alimentaires est énorme. C'est pourquoi nous appelons toutes les parties prenantes à apporter activement leur pierre à ce bel édifice. » *** À propos d'Alpro : La société Alpro est pionnière et leader du marché des boissons et aliments (margarines, desserts, alternatives végétales au yaourt, crèmes et viandes) à base de soja à l'échelle européenne. Aujourd'hui, elle élargit encore sa gamme de produits en proposant des boissons à base d'amandes ou de noisettes. Les produits Alpro® sont connus sous les marques Alpro® et Provamel®. Alpro, dont le siège principal se situe à Gand en Belgique, emploie à l'heure actuelle 850 collaborateurs en Europe et dispose de quatre unités de production en Belgique, en France, au Royaume-Uni et aux Pays-Bas. Alpro commercialise ses produits dans toute l’Europe. La société a réalisé un chiffre d'affaires de 300 millions d'euros en 2012 et continue d’asseoir sa croissance. Plus d'infos sur www.alpro.com Contact pour la presse : Alpro – Ann De Jaeger, Head of Corporate Communication - tel. 0475 2013 44 - 09 260 21 09 – Email: [email protected] www.alpro.com