Bye les microbes, abonnez-vous Table

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Vol. 5 - No 3
Septembre 2002
Table des matières
Index des parutions
par numéro ou
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Éditorial :
Déjà la rentrée…et les préoccupations
vis-à-vis la santé
Article 1 :
L’immunisation est-elle sécuritaire ? (Première
partie)
Article 2 :
Les enfants plus vulnérables aux infections
La boîte aux lettres :
Vaccination et Internet
La boîte à outils :
L’affiche Changement de couche
Références
© Gouvernement du Québec, 2003
Vol. 5 - No 3
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Éditorial
L’immunisation estelle sécuritaire ?
(Première partie)
Les enfants plus
vulnérables aux
infections
La boîte aux lettres
La boîte à outils
Septembre 2002
Bye-bye les microbes !
Déjà la rentrée…
et les préoccupations vis-à-vis la santé
Par Diane Lambert, présidente du Comité de prévention
des infections dans les centres de la petite enfance du Québec
Les parents retournent au travail, les enfants entrent
en classe et les tout-petits se rendent au service de
garde. Pour les services de garde, le mois de
septembre est celui de la rentrée. Plusieurs enfants
sont nouvellement inscrits ou changent de groupe,
alors que du nouveau personnel se joint à l’équipe. Par
conséquent, comment garder tout ce monde en santé ?
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De plus en plus, les jeunes enfants fréquentent les services de garde et, parmi
eux, d’anciens prématurés et d’autres ayant des problèmes de santé de
diverses natures. Valérie Lamarre, pédiatre-infectiologue de l’hôpital SainteJustine, traite des précautions et des traitements préventifs dont peuvent
bénéficier ces enfants, particulièrement pendant la saison des infections
respiratoires. Dans La boîte aux lettres, elle donne les adresses des sites
Internet reconnus pour bien informer les parents sur la vaccination.
Aucune mesure de prévention des infections n’est plus efficace que la
vaccination. Yves Robert, médecin-conseil au ministère de la Santé et des
Services sociaux, nous entretient, dans le premier d’une série de deux articles,
sur la sécurité des vaccins et sur ce qui se passe dans l’organisme lorsqu’une
personne reçoit un vaccin, comment la maladie est prévenue. Tous les
parents et travailleurs en service de garde liront cet articleavec beaucoup
d’intérêt.
Élizabeth Bisson, infirmière à la Direction de la santé publique, RRSSS de la
Mauricie et du Centre-du-Québec présente dans La boîte à outils la mise à
jour de l’affiche concernant les techniques de changement de couche, à
afficher bien en vue près des tables à langer de votre service de garde.
Nous vous encourageons à copier ou à afficher ce numéro de Bye-bye les
microbes, qui intéressera sûrement tous les parents de votre service de garde.
Bonne rentrée et bonne santé aux enfants et aux travailleuses et travailleurs
en service de garde !
Vol. 5 - No 3
Septembre 2002
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Éditorial
Bye-bye les microbes !
L’immunisation est-elle sécuritaire? (Première partie)
L’immunisation estelle sécuritaire ?
(Première partie)
Par Yves Robert, M.D. M. Sc.
Médecin-conseil en maladies infectieuses Ministère de la Santé et des Services
sociaux du Québec
Les enfants plus
vulnérables aux
infections
Depuis que les premiers produits immunisants ont été utilisés au XVIIIe siècle,
il y a toujours eu des détracteurs remettant en question leur pertinence et leur
sécurité.
La boîte aux lettres
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La médecine a rarement accès à des
produits pouvant prévenir et même
éliminer une maladie. Pourtant, c’est le
cas des vaccins qui ont rapidement réduit
le fardeau des maladies infectieuses.
La variole a été la première
maladie éradiquée de la
surface de la terre et on
prévoit, d’ici 2010,
l’éradication de la rougeole et
de la poliomyélite.
La variole a été la première maladie
éradiquée de la surface de la terre et on
prévoit, d’ici 2010, l’éradication de la rougeole et de la poliomyélite. La
diphtérie et le tétanos sont devenus rares grâce à la vaccination, mais leur
contrôle repose sur le maintien soutenu des programmes d’immunisation, car
un relâchement de ces efforts favorisera leur recrudescence, comme ce fut le
cas de la diphtérie dans l’ancienne Union soviétique au début des années
1990.
Au Québec, depuis l’introduction, il y a une douzaine d’années, dans le
calendrier régulier d’immunisation d’un vaccin spécifique contre l’Hæmophilus
influenzae de type b, les infections graves causées par la bactérie (méningite
et épiglottite) ont pratiquement disparu.
Ces succès sont responsables d’un effet paradoxal. En effet, ne voyant plus la
menace que représente la maladie infectieuse visée, la pertinence de
l’immunisation est questionnée et mise en doute. Bien plus, des rumeurs non
fondées d’effets nocifs alimentent ce doute. Cet article tentera donc d’identifier
les questions les plus fréquemment posées dans le domaine de la sécurité
vaccinale.
1- Qu’est-ce qu’un vaccin ?
Un vaccin est un produit qui permet au système de défense
du corps humain, appelé système immunitaire, de se
« pratiquer » à éliminer un microbe responsable d’une
maladie infectieuse grave, sans provoquer la maladie. Un
vaccin est fait à partir d’un microbe tué ou d’une
des parties d’un microbe, ce qui le rend incapable de causer
la maladie, tout en permettant au système immunitaire de
fabriquer des éléments défensifs appelés anticorps,
lesquels permettront de détruire rapidement le « vrai »
microbe si la personne le rencontre plus tard.
2- Comment est fabriqué un vaccin ?
Les technologies de fabrication de vaccins ont considérablement évolué au
cours des années pour devenir de plus en plus sécuritaires. Les produits
utilisés maintenant sont plus purifiés qu’ils ne l’étaient auparavant, afin de
garder seulement les portions des micro-organismes utiles à la production
d’anticorps protecteurs et d’enlever celles qui pourraient représenter un risque
d’effet secondaire.
L’utilisation des vaccins en fiole unidose rend maintenant superflu l’ajout d’un
produit antiseptique tel que le thimérosal, utilisé avant 1995, pour éviter la
contamination lors de l’utilisation de fioles multidoses.
3- Le système immunitaire peut-il se « fatiguer » ?
Le système immunitaire fonctionne de manière autonome pour protéger
l’individu contre les agresseurs externes et fonctionne sans arrêt de façon
standard et stéréotypée. Lorsqu’il rencontre un agresseur pour la première
fois, un phénomène de « reconnaissance » de l’agresseur se produit et mène
à la production d’anticorps spécifiques visant à le détruire. Un délai s’écoule
entre le moment de l’entrée de l’agresseur dans le corps et le développement
des premiers anticorps dans le sang. Ce délai est parfois suffisant pour
permettre à l’agresseur de provoquer des symptômes. Après une première
rencontre avec un micro-organisme, le système immunitaire garde en
mémoire cette capacité à produire des anticorps spécifiques. Lorsque le
même agresseur se présente une deuxième fois, la production d’anticorps est
presque immédiate. L’agresseur est éliminé aussitôt entré et la maladie est
évitée. C’est cette mémoire du système immunitaire qui est exploitée par les
produits immunisants.
Le système immunitaire fait face à des centaines d’agresseurs tous les jours.
En théorie, il n’y a pas de limite à sa capacité de réponse, ou, s’il y en a, elle
est très élevée. Comme pour tous les systèmes du corps humain, certaines
maladies comme le cancer ou le sida peuvent spécifiquement affecter le
système immunitaire.
Les vaccins n’ont pas la capacité de surcharger ou de modifier le
fonctionnement normal du système immunitaire car, étant fabriqués par des
composants purifiés, ils sont éliminés facilement par le système immunitaire.
4- Que fait-on pour s’assurer de la sécurité des vaccins ?
La sécurité des vaccins est une priorité des autorités de la santé publique.
Tout produit injectable peut être associé à des symptômes survenant après
son administration, incluant les vaccins. Une réaction inflammatoire locale est
prévisible au site d’injection. La réponse du système immunitaire lors de
l’administration d’un vaccin peut être associée à des symptômes généraux
comme la fièvre.
Avant la mise en marché des produits, plusieurs études cliniques sont faites,
avec des exigences de plus en plus sévères. Ces études permettent d’évaluer
les effets attribuables au produit, et de les comparer à ceux d’autres produits
immunisants.
Après la mise en marché des vaccins, des programmes de surveillance
recherchant des manifestations attribuables à la vaccination sont en place, et
les vaccinateurs sont tenus de déclarer les effets secondaires temporellement
associés à une immunisation et les personnes vaccinées sont invitées à
rapporter toute difficulté associée à la vaccination. Si une manifestation
inhabituelle est observée, des enquêtes sont aussitôt effectuées pour
documenter la situation et prendre les mesures appropriées, que ce soit des
modifications dans la fabrication, le retrait d’un produit ou d’un lot de produits,
ainsi que le suivi des personnes immunisées.
Le Québec a été un pionnier en Amérique du Nord, en mettant en place un
programme d’indemnisation pour les personnes qui présenteraient des
séquelles permanentes associées à une immunisation. Même si ces situations
sont extrêmement rares, rien n’est négligé pour permettre aux collectivités de
bénéficier des bienfaits des programmes d’immunisation.
Quand un questionnement survient à grande échelle sur une association
possible entre une immunisation et une manifestation clinique quelconque,
des mécanismes nationaux et internationaux sont en place pour documenter
et statuer sur les suites à donner.
C’est ce que nous verrons dans le prochain article.
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L’immunisation estelle sécuritaire ?
(Première partie)
Les enfants plus
vulnérables aux
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Bye-bye les microbes !
Les enfants plus vulnérables aux infections
Par Valérie Lamarre, hôpital Sainte-Justine
De plus en plus de petits Québécois, dont certains présentent divers problèmes
de santé les rendant plus vulnérables aux infections, sont appelés à vivre la
grande aventure des services de garde . Nous présentons, ici, quelques
conditions et infections parmi les plus communes et des mesures qui peuvent
en diminuer les risques.
Les bébés de moins de trois mois
Les services de garde au Québec peuvent offrir des
services à de très jeunes bébés. La culture populaire
laisse croire que ceux-ci n’attrapent pas d’infections :
c’est totalement FAUX. Même s’ils sont en partie
protégés par les anticorps transmis par la mère, cela ne les empêche pas de
contracter des infections des voies respiratoires supérieures comme le rhume
ou la grippe, des gastroentérites et autres (que la mère peut aussi attraper,
d’ailleurs). Ce qui est particulier aux petits bébés n’est pas leur vulnérabilité aux
infections mais plutôt la gravité de celles-ci.
En effet, un nourrisson a du mal à respirer autrement que par le nez. La banale
congestion nasale associée à un rhume le rendra donc inconfortable lors des
boires, amenant ainsi un risque de fatigue respiratoire et de déshydratation. De
plus, lorsque le très jeune bébé fait de la fièvre, il est habituellement plus
prudent de consulter un médecin afin de prévenir le présence d’une infection
plus grave.
La gastroentérite est aussi un problème fréquent pouvant être plus sérieux chez
le très jeune bébé, puisqu’il se déshydrate plus facilement que l’enfant plus
âgé. Compte tenu de ces circonstances, il est d’autant plus important d’éviter,
dans la mesure du possible, la transmission des infections. Les mesures
d’hygiène habituelles (lavage des mains, nettoyage et désinfection,
changement de couche selon une technique hygiénique, aération des locaux)
doivent être rigoureusement appliquées. La garde des petits poupons dans un
local séparé des enfants plus âgés est également une mesure préventive
efficace, particulièrement dans les services de garde en installation.
Les anciens prématurés
Les enfants nés avant terme courent un plus grand risque d’être hospitalisés
lorsqu’ils contractent une bronchiolite à virus respiratoire syncitial. Leurs
parents doivent discuter avec leur pédiatre pour choisir le service de garde le
plus approprié et pour qu’un traitement préventif soit donné, s’il est indiqué. Des
produits à base d’anticorps peuvent leur être administrés une fois par mois
pendant la saison d’activité de ce virus (automne-hiver) afin de prévenir
l’infection.
L’eczéma
L’enfant présentant des lésions actives d’eczéma est plus susceptible
d’acquérir des infections de la peau puisque la barrière naturelle n’est plus
intacte. Les staphylocoques et streptocoques ont donc l’opportunité de pénétrer
plus facilement la peau et de causer une infection (cellulite, impétigo). Une
hygiène personnelle accrue et un meilleur contrôle de la maladie contribuent à
diminuer le risque de surinfection.
Le virus de l’herpès peut lui aussi profiter de ce bris de la barrière naturelle. Il
se transmet assez facilement par la salive en service de garde, causant,
lorsque l’enfant est en contact avec le virus pour la première fois, des lésions
douloureuses dans la bouche, accompagnées de salivation excessive et,
parfois, de la difficulté à s’alimenter. Cette affection est la plupart du temps
banale et ne nécessite pas forcément une exclusion du service de garde de
l’enfant atteint. Certains vont par la suite réactiver le virus sous forme de feux
sauvages.
L’enfant atteint d’eczéma actif peut acquérir une infection au virus de l’herpès
qui se manifeste par des lésions bulleuses. Il n’est pas rare de confondre un tel
épisode avec une exacerbation de l’eczéma et augmenter les applications de
crème topique de stéroïdes, aidant le virus à se propager davantage et créant
ainsi un cercle vicieux. Vis-à-vis une détérioration d’un eczéma, on suggère de
consulter un médecin qui verra à diagnostiquer s’il s’agit bien d’une infection
herpétique de la peau et, le cas échéant, prescrira le traitement approprié.
Il est donc important de minimiser les contacts entre les sécrétions de l’enfant
souffrant d’une infection herpétique et l’enfant eczémateux, d’informer les
parents de la présence du virus de l’herpès au service de garde.
Voilà donc quelques exemples de situations qui rendent les enfants plus
vulnérables aux infections. Certaines mesures peuvent diminuer ces risques
d’infection. La clef de l’approche préventive dans ces cas dépend de la
communication entre les parents, le service de garde et le système de santé.
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L’immunisation estelle sécuritaire ?
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Vaccination et Internet
Par Valérie Lamarre,
hôpital Sainte-Justine
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infections
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Internet est un outil d’information formidable puisque l’on y retrouve rapidement
et dans le confort de nos maisons une grande quantité d’information.
Cependant, il peut être aussi parfois dangereux parce que cette information
n’est pas toujours soumise à l’examen d’un éditeur ou d’un comité de rédaction
avant sa parution. La véracité des affirmations et la compétence de l’auteur ne
sont pas nécessairement vérifiées. Il peut être difficile pour des parents désirant
prendre les meilleures décisions pour la santé de leurs enfants de s’y retrouver,
surtout lorsqu’il s’agit de vaccination. Voici donc quelques sites Internet fiables
et qui peuvent leur être utiles.
Information disponible en français et en anglais
●
●
●
●
Programme canadien de promotion de la vaccination
Santé Canada – Division de l’immunisation
Société canadienne de pédiatrie
Réseau canadien de la santé, réponses aux questions courantes
concernant la vaccination
Soin de nos enfants
Il y aussi deux extraits vidéo sur la vaccination que vous trouverez dans le site
de notre comité
Information en anglais uniquement
●
OMS/WHO – Organisation mondiale de la santé (World Health
●
●
●
●
Organization). Le site de l’OMS est aussi disponible en français, mais
la section sur la vaccination est en anglais.
Center for Disease Control and Prevention (CDC)
National Immunization Program
Allied Vaccine Group
Immunization Action Coalition
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L’immunisation estelle sécuritaire ?
(Première partie)
Septembre 2002
Bye-bye les microbes !
L'affiche Changement de couche
Par Élizabeth Bisson, Direction de la santé
publique, RRSSS de la Mauricie et du Centredu-Québec
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La contamination de l’environnement par les agents infectieux contenus dans
les couches est un fait bien connu depuis longtemps. Certains microorganismes peuvent survivre longtemps sur des surfaces et des objets
inanimés, facilitant ainsi leur transmission. Une bonne technique de
changement de couche devient alors essentielle pour prévenir ou limiter leur
propagation.
L’affiche sur la technique de changement de couche représentant les diverses
étapes à suivre par l’éducatrice a été récemment révisée pour y intégrer de
nouvelles notions de précautions de base et de mesures d’hygiène.
Le port de gants est recommandé seulement si l’éducatrice a des blessures aux
mains, ou si l’enfant a une selle diarrhéique abondante (débordant de la
couche), ou s’il y a présence de sang dans les selles. Évidemment, il faut se
laver les mains après le port de gants à usage unique et jeter ceux-ci
immédiatement après leur utilisation dans une poubelle bien fermée. L’affiche
représente aussi la façon de laver les mains de l’enfant et de les essuyer après
son changement de couche.
Finalement, laver et désinfecter la table à langer et tout le matériel touché par
les mains est représenté plus explicitement. En effet, la concentration de la
solution d’eau de Javel (dilution 1 : 10) recommandée y est clairement indiquée.
L’affiche sur le changement de couche, beaucoup plus colorée et rajeunie,
saura sans doute attirer le regard tant des éducatrices que des enfants.
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Bye-bye les microbes !
Éditorial
Références
L’immunisation estelle sécuritaire ?
(Première partie)
Bulletin trimestriel publié en mars, juin, septembre et décembre.
Les enfants plus
vulnérables aux
infections
Rédaction
Comité de prévention des infections dans les centres de la petite enfance du
Québec
●
La boîte aux lettres
●
La boîte à outils
●
Références
●
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par numéro ou
par sujet
●
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●
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Claire Béliveau M.D., FRCP,
Hôpital Maisonneuve-Rosemont
Élizabeth Bisson, inf., B. Sc.,
DSP Mauricie–Centre-du-Québec
Alejandra Irace-Cima, M. Sc.,
DSP de Laval
Pierre Déry, M. D., FRCP,
CHUQ (CHUL)
Marie-Patricia Gagné, Ph. D.,
Ministère de l'Emploi, de la Solidarité sociale et de la Famille
Theresa Gyorkos, Ph. D.,
Université McGill
Valérie Lamarre, M.D., FRCP,
Hôpital Sainte-Justine
Diane Lambert, M.D., FCMF,
DSP de Laval, présidente
Ramona Rodrigues, inf., M. Sc. A., CIC, Hôpital général du Lakeshore
Suzette Rousseau, inf.,
Association des CLSC et CHSLD du Québec
Louise Thibault-Paquin, inf.,
Ministère de la Santé et des Services sociaux
Avec la collaboration de :
●
●
Julio C. Soto, M.D., Ph. D.,
Centre de coopération internationale en santé et développement
Yves Robert, M.D., M. Sc.,
Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec
Révision linguistique
François Roberge
Production et diffusion
Direction des communications et de la gestion documentaire
Ministère de l'Emploi, de la Solidarité sociale et de la Famille
Le contenu de ce bulletin est également disponible dans le site Internet du
Ministère de l'Emploi, de la Solidarité sociale et de la Famille :
http://www.mfe.gouv.qc.ca
La boîte aux lettres
Faire parvenir toute correspondance à Mme Marie-Patricia Gagné Ministère
de l'Emploi, de la Solidarité sociale et de la Famille
600, rue Fullum, Montréal (Québec) H2K 4S7
[email protected]
Télécopieur : (514) 864-2170
Dépôt légal – 2002
Bibliothèque nationale du Québec
Bibliothèque nationale du Canada
ISSN : 1481-4471
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