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Nos ennemis
Riefensthal : «Le Triomphe de la Volonté». La
scène de clôture est le discours notoire d’Adolf
Hitler adressé à la fermeture du sixième Con-
grès du Parti National Socialiste le 8 septembre
1934 à Nuremberg. Une transcription écrite ne
rendra pas justice à l'impact que ce discours
peut avoir sur quelqu'un qui suit le chemin vers
NS, mais je vais juste noter certaines impres-
sions.
Le sixième Rallye du Parti prend fin. Ce que
des millions d'Allemands à l'extérieur de nos
rangs ont peut-être simplement qualifié d'impo-
sante manifestation de pouvoir politique était
infiniment plus pour des centaines de milliers
de combattants; la grande rencontre person-
nelle, politique et spirituelle des anciens com-
battants et camarades de bataille. Et peut-être,
en dépit de la force spectaculaire de cet exa-
men imposant des armées du parti, beaucoup
d'entre eux pensaient mélancoliquement aux
jours où il était difficile d'être un national-
socialiste.
Cela semble familier, n'est-ce pas? Ce sont
les jours où il est difficile d'être un national-
socialiste. Pas étonnant que vous puissiez en- Suite page 6
«La haute finance juive triomphe. Le Juif
Mayer Amschel fait une fortune en tant qu'Agent
Principal de la cour des soldat de l'Électeur de
Hessen-Kassel. Ses cinq fils, les Rothschild,
financent Napoléon et les alliés. Le London
Rothschild 'gagne' 20 millions de Marks en
bourse grâce à un faux rapport sur le résultat
«Waterloo». Tous les Etats dépendent des prêts
des Rothschild. Le prêt ne se fait qu'avec des
conditions politiques. La maison de Rothschild
devient la dynastie invisible de l'Europe».
(Walter Gehl.) Rien de plus ne subsistait à la
manière des juifs. Les postes les plus influents
en politique, en économie et en culture les atten-
daient. La prédominance des juifs a commencé.
A vec les juifs et le libéralisme, tous les gens
cultivés inhalent la peste la plus dangereuse qui
puisse jamais arriver à un peuple: le matéria-
lisme, la dépendance à la vie sensuelle et effémi-
née, la danse autour du veau d'or, l'individua-
lisme, l'autodéification et le rejet de la commu-
nauté. Avec la cession de la vision idéaliste de la
vie a commencé la dissolution des ordres de vie
en bonne santé des gens, mais par là aussi dé-
croître. Plus il progresse, plus le pouvoir des juifs
augmente.
Par le biais de la bourgeoisie et de la franc-
maçonnerie, le monde des idées du cosmopoli-
tisme, de la fraternisation mondiale, de la liberté
effrénée, de la cupidité sans entrave pénétra aussi
bien le plus large regard en Allemagne aussi.
Une décroissance profonde de toutes les vues
encore auparavant populaires déterminées est le
résultat.
Le travail ne sert plus de moyen créateur de
valeur de la communauté populaire, mais simple-
ment d'intérêt personnel. L'économie se déve-
loppe indépendamment du peuple et l'état dans
une chose de ses propres, qui a pour but unique-
ment l'accumulation d'or. L'exploitation sans
scrupule du peuple productif permet d'émerger,
d'un côté, la stratum ploutocrate juive-
ploutocratique soutenue par le capitalisme sans
entraves, et de l'autre côté la classe ouvrière
trompée. Les lésions sociales déjà existantes
deviennent des opposés infranchissables et mè-
nent à la lutte de classe. Les masses ouvrières
sont franchement poussées dans les bras du mar-
xisme. La communauté folklorique du destin est
déchirée. L'énergie populaire précieuse est con-
sommée dans la lutte fraternelle, la paysannerie
languit, les grandes villes surgissent. (En 1910,
un allemand sur cinq vit dans une grande ville.)
Le nombre d'enfants diminue, l'immigration de
sang étranger, à savoir les juifs orientaux, aug-
mente. Le croisement racial du noble sang alle-
mand prend des formes terribles. Les mariages
mixtes avec des juifs dans les strates populaires
sont des événements quotidiens. (A Berlin en
1926, à côté de 861 mariages purement juifs, 553
mariages mixtes ont lieu! Le nombre de races
mixtes juives en Allemagne est d'environ
750.000!)
Avec le déclin de la conscience raciale, l'origine
ethnique réelle décline de plus en plus. Au lieu de
cela, les Juifs saisissent la possession de la vie alle-
mande dans tous les domaines. La culture se dé-
forme. Il n'y a plus rien qui n'est pas réimprimé
juif. On construit dans l'esprit juif avec le calcul de
la raison une vie «orientée vers l'avenir» de l'état, la
société, le droit et l'économie, qui est supposée
Le moment...