Le moment même où l'on devenons
Nationaux-Socialistes
Cet article a été écrit par un de nos nou-
veaux collaborateurs italiens. Nous le re-
mercions!
Si on me demandait aujourd'hui quel était le
moment où je suis devenu un vrai national-
socialiste, je serais sûrement déconcerté. La
réponse est que je ne pourrais pas vraiment
répondre à cette question. Devenir un national-
socialiste à travers les 20ème et 21ème siècle
n'est pas quelque chose que vous faites habi-
tuellement du jour au lendemain. Aussi simple
que cela. Ou mieux, complexe comme ça.
Chacun d'entre nous, hommes blancs nés
dans la seconde partie du «petit siècle» sont
venus dans ce monde avec deux péchés origi-
naux. Celui que tout le monde est accablé par
la tradition biblique, et le second, épinglé seu-
lement sur les blancs, celui d'être blanc.
Cette «honte» avec laquelle nous sommes nés
et à laquelle nous nous habituons depuis les
premières années de notre vie dirige et condi-
tionne nos vies dans toutes les interactions so-
ciales et représente un noyau central de notre
éducation. On nous apprend que les blancs
sont mauvais, qu'être fier de notre héritage cul-
turel est mauvais et ridicule, et que le national-
socialisme est la pire idéologie et la vision poli- Suite page 4
tique de nous tous. Nous nous habituons à
craindre les mots eux-mêmes.
Novelles NS
Numéro 119/33 Fondé 1992 11 / 2016 (127)
2
Nos ennemis
Suite page 5
Suite de NS BULLETIN D'INFORMATION
NO 114
7. Qu'est-ce que le libéralisme?
La contrainte psychologique qui émanait de
Rome trouvait ses réactions non seulement dans
la réformation, mais aussi dans une direction
libre d'idées, qui se révoltait contre l'idée clérical
exagérée de l'autorité. Surtout les «Lumières»,
depuis environ 1700, à l'origine germanique-
européenne.
Le mouvement intellectuel fondé sur le libre-
échange, était l'expression de cette nouvelle ère.
Le Juif a repris ce monde d'idées d’une ma-
nière très intelligence et les a étendus à la zone
politique. Le libéralisme moderne est apparu.
Dans le même temps, le Juif exploitait aussi la
Franc-Maçonnerie, qui avait émergé en Angle-
terre sous le signe de l'intellect libre, pour ses
buts politiques. En forme habile et camouflée, il
a développé le mouvement de la loge en porteur
de ses idées politiques.
Le travail destructeur du libéralisme avec
l'aide de la Franc-Maçonnerie a trouvé son pre-
mier effet visible dans la Révolution française
avec les slogans: la liberté, l'égalité, la fraternité
L'essence de la doctrine était:
La fraternisation humaine et une république
mondiale ont été présentées à l'humanité comme
un but valable basé sur la doctrine trompeuse que
tous les gens sont égaux.
L'idée de sang et de race a été niée. Le résultat
fut un croisement progressivement croissant du
sang toujours très précieux de notre peuple avec
du sang étranger et inférieur.
Le concept germanique de communauté
(éthique de la communauté) s'oppose à l'idée que
le souci du soi, de l'individu, doit être au premier
plan de toute vie (principe individualiste).
L'idéalisme germanique était confronté au ma-
térialisme juif, c'est-à-dire aux valeurs person-
nelles de l'or (capital).
Le principe de leadership et de suivi fut rem-
placé par le parlementarisme et la démocratie
(règle populaire, masses). Par la survalorisation
du matériel du point de vue économique, il est
venu à la formation des classes et à l'éclatement
de la communauté du peuple (cupidité, égoïsme,
capitalisme illimité comme résultats). Non pas
l'homme de caractère jouissait d'un plus grand
prestige, plutôt de l'homme riche, le début de la
règle de l'argent (ploutocratie). Les idées por-
tantes étaient donc: l'individualisme, le matéria-
lisme, l'internationalisme, le parlementarisme, le
capitalisme. Cela signifiait une réévaluation to-
tale de toutes les valeurs germaniques.
La liberté germanique, comprise comme la li-
berté intérieure de l'esprit, comme la liberté poli-
tique, est devenue l'égoïsme, la liberté débridée et
sans limites de l'individu sans lien avec la com-
munauté.
La fraternité proclamée s'est développée à la
suite des différences de classe dans la lutte de
tous contre tous; ( «Et si vous ne voulez pas être
mon frère, alors je briserais votre crâne!»)
Le libéralisme a ouvert la voie au marxisme
intellectuellement.
Derrière tout se tenait le juif avec sa lutte pour
la puissance mondiale. La nature typiquement
juive de l'homme égoïste, avide d'or, avide de
pouvoir, devint clairement visible.
Les juifs avaient je le filet de la franc-
maçonnerie sur le monde entier. Les person-
nages importants de tous les terrains de la poli-
tique et de l'économie étaient ici représentés, en
partie faibles d'esprit, en partie des outils incons-
cients dans la main criminelle des juifs. Il était
donc facile pour le Juif de tisser tellement les fils
de la politique que le peuple allemand se trouvant
dans le chemin était encerclé de plus en plus en
termes de politique étrangère et visiblement sub-
mergé en termes de politique intérieure.
Sous le signe du libéralisme, les juifs en Prusse
sous Hardenberg et bientôt aussi dans le reste de
l'Allemagne obtinrent tous les mêmes droits poli-
tiques et droits égaux, après qu'ils eurent déjà
gagné en Amérique et en Angleterre.
Les mêmes droits pour les «affirmateurs de la
religion mosaïque» furent proclamés. Les Juifs
pouvaient même acquérir des terres et devenir
des fonctionnaires.
3
L'offensive d'été se poursuit en automne
TWITTER:
Un camarade très talentueux et industrieux a créé un compte Twitter pour nous, qui a déjà pro-
duit des enquêtes et des revenus importants. Voir https://twitter.com/thirdreichbooks.
BULLETIN DE NOUVELLES NS:
Notre bulletin Nouvelles NS a un nouveau rédacteur et chef de production. Il est également un
grand écrivain.
ÉDITION DES LIVRES :
La production de livres a monté en flèche cette année. L'équipement de reliure d'occasion a fi-
nalement été acheté. Après que la maintenance et la formation seront terminées, cela réduira
considérablement les coûts de production et nous rendra complètement indépendants. [Note:
Cet achat d'équipement a mis une dent dans notre portefeuille de sorte que les dons seraient
grandement appréciés!]
VOTRE bénévolat et vos dons rendent cela possible!
Suite page 5
Le moment...
4
Alors, comment se fait-il que beaucoup
d'entre nous résistent à la honte avec un lavage
de cerveau si efficace et se révèlent être natio-
naux-socialistes? Qu'est-ce qui fait la diffé-
rence? Quand est-ce que nous décidons de dé-
fendre nos droits?
Bien sûr, chaque national-socialiste a sa
propre histoire à raconter, mais j'ose dire que
nous avons tous eu des moments difficiles à
traiter sur le chemin. Il est difficile d'être un
national-socialiste de nos jours et, même si je
trouve personnellement que lutter est la meil-
leure formation pour la victoire, il reste encore
beaucoup d’hommes bons à rejoindre nos
rangs.
C'est une histoire d'inspiration.
Encore une fois, si je devais me demander
«pistolet sur la tête» quel était mon moment de
non-retourner en arrière, je dirais probable-
ment le jour où j'ai vu le film chef-d’œuvre de
Adolf Hitler
a commencé avec sept…
Réponse de Gerhard Lauck à la question:
nos chances de succès
5
Nos ennemis
Riefensthal : «Le Triomphe de la Volonté». La
scène de clôture est le discours notoire d’Adolf
Hitler adressé à la fermeture du sixième Con-
grès du Parti National Socialiste le 8 septembre
1934 à Nuremberg. Une transcription écrite ne
rendra pas justice à l'impact que ce discours
peut avoir sur quelqu'un qui suit le chemin vers
NS, mais je vais juste noter certaines impres-
sions.
Le sixième Rallye du Parti prend fin. Ce que
des millions d'Allemands à l'extérieur de nos
rangs ont peut-être simplement qualifié d'impo-
sante manifestation de pouvoir politique était
infiniment plus pour des centaines de milliers
de combattants; la grande rencontre person-
nelle, politique et spirituelle des anciens com-
battants et camarades de bataille. Et peut-être,
en dépit de la force spectaculaire de cet exa-
men imposant des armées du parti, beaucoup
d'entre eux pensaient lancoliquement aux
jours où il était difficile d'être un national-
socialiste.
Cela semble familier, n'est-ce pas? Ce sont
les jours il est difficile d'être un national-
socialiste. Pas étonnant que vous puissiez en- Suite page 6
«La haute finance juive triomphe. Le Juif
Mayer Amschel fait une fortune en tant qu'Agent
Principal de la cour des soldat de l'Électeur de
Hessen-Kassel. Ses cinq fils, les Rothschild,
financent Napoléon et les alliés. Le London
Rothschild 'gagne' 20 millions de Marks en
bourse grâce à un faux rapport sur le résultat
«Waterloo». Tous les Etats dépendent des prêts
des Rothschild. Le prêt ne se fait qu'avec des
conditions politiques. La maison de Rothschild
devient la dynastie invisible de l'Europe».
(Walter Gehl.) Rien de plus ne subsistait à la
manière des juifs. Les postes les plus influents
en politique, en économie et en culture les atten-
daient. La prédominance des juifs a commencé.
A vec les juifs et le libéralisme, tous les gens
cultivés inhalent la peste la plus dangereuse qui
puisse jamais arriver à un peuple: le matéria-
lisme, la dépendance à la vie sensuelle et effémi-
née, la danse autour du veau d'or, l'individua-
lisme, l'autodéification et le rejet de la commu-
nauté. Avec la cession de la vision idéaliste de la
vie a commencé la dissolution des ordres de vie
en bonne santé des gens, mais par aussi -
croître. Plus il progresse, plus le pouvoir des juifs
augmente.
Par le biais de la bourgeoisie et de la franc-
maçonnerie, le monde des idées du cosmopoli-
tisme, de la fraternisation mondiale, de la liberté
effrénée, de la cupidité sans entrave pénétra aussi
bien le plus large regard en Allemagne aussi.
Une décroissance profonde de toutes les vues
encore auparavant populaires déterminées est le
résultat.
Le travail ne sert plus de moyen créateur de
valeur de la communauté populaire, mais simple-
ment d'intérêt personnel. L'économie se déve-
loppe indépendamment du peuple et l'état dans
une chose de ses propres, qui a pour but unique-
ment l'accumulation d'or. L'exploitation sans
scrupule du peuple productif permet d'émerger,
d'un côté, la stratum ploutocrate juive-
ploutocratique soutenue par le capitalisme sans
entraves, et de l'autre côté la classe ouvrière
trompée. Les lésions sociales déjà existantes
deviennent des opposés infranchissables et mè-
nent à la lutte de classe. Les masses ouvrières
sont franchement poussées dans les bras du mar-
xisme. La communauté folklorique du destin est
déchirée. L'énergie populaire précieuse est con-
sommée dans la lutte fraternelle, la paysannerie
languit, les grandes villes surgissent. (En 1910,
un allemand sur cinq vit dans une grande ville.)
Le nombre d'enfants diminue, l'immigration de
sang étranger, à savoir les juifs orientaux, aug-
mente. Le croisement racial du noble sang alle-
mand prend des formes terribles. Les mariages
mixtes avec des juifs dans les strates populaires
sont des événements quotidiens. (A Berlin en
1926, à côté de 861 mariages purement juifs, 553
mariages mixtes ont lieu! Le nombre de races
mixtes juives en Allemagne est d'environ
750.000!)
Avec le déclin de la conscience raciale, l'origine
ethnique réelle décline de plus en plus. Au lieu de
cela, les Juifs saisissent la possession de la vie alle-
mande dans tous les domaines. La culture se dé-
forme. Il n'y a plus rien qui n'est pas réimprimé
juif. On construit dans l'esprit juif avec le calcul de
la raison une vie «orientée vers l'avenir» de l'état, la
société, le droit et l'économie, qui est supposée
Le moment...
1 / 8 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !