Nicotine contre Parkinson
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neurones dopaminergiques normaux, mais pas ceux dépourvus du récepteur alpha-7. Cela
prouve que la nicotine empêche la mort des neurones dopaminergiques en stimulant ce
récepteur.
En outre, les neurobiologistes ont montré que l’activation de ce récepteur stimule l’activité
électrique des neurones dopaminergiques et l’entrée d’ions calcium dans leur cytoplasme.
S’ensuit alors l’activation d’une voie de survie, un processus intracellulaire favorisant la
survie des cellules, mettant en jeu la calmoduline, une molécule qui régule le calcium
intracellulaire, et la phosphatidylinositol 3-kinase. Ces observations corroborent des travaux
antérieurs qui suggéraient qu’une perte d’activité électrique associée à un déficit en calcium
pouvait être à l’origine de la dégénérescence de ces neurones.
Des substances stimulant l’activité électrique, autres que la nicotine, seraient-elles efficaces
? Probablement. Mais la nicotine a l’avantage de ne pas être toxique et de pénétrer
facilement dans le cerveau. Les scientifiques espèrent ainsi développer un traitement
neuroprotecteur grâce à cette molécule. Pour autant, cela ne veut pas dire qu’il faut fumer
pour éviter la maladie de Parkinson ! Les risques associés au tabagisme – maladies
cardiovasculaires et cancers – sont en effet bien plus élevés que de potentiels bénéfices.
Commentaire :
Les liens entre cancers et cigarettes sont ténus, au mieux. Et sachant dans quel type de société
nous vivons, nous sommes en droit de nous demander s’il n’y a pas anguille sous roche concernant
le très puissant lobby anti-tabac. En effet, le tabac est une plante, tout ce qu’il y a de plus naturel,
comme la marijuana, le millepertuis, la coca, etc. Et alors qu’il n’y a aucune loi interdisant l’ajout
de substances toxiques dans la fabrication des cigarettes commerciales, mais qu’en revanche une
somme d’argent incroyable est investie à la promotion du lobby anti-tabac, nous voyons bien que
quelque chose cloche dans la rhétorique. Bien sûr, Big Pharma en profite en vendant des patches
et des gommes, mais lorsque nous considérons qu’il n’y a jamais eu de campagne anti-tabac aussi
puissante que celle mise de l’avant par le régime Nazi de l’époque, nous devons repenser toute
cette question. Se pourrait-il que quelque chose dans le tabac (naturel, il va de soi) soit en réalité
bénéfique? Qu’il aiderait, par exemple, à penser, à réfléchir et stimulerait la mémoire? Peut-être
aussi a-t-on besoin d’un bouc émissaire pour les cancers des poumons plutôt que des les attribuer
aux réelles causes : la pollution, la sans cesse croissante radioactivité dû aux essais nucléaires?
Matière à réflexion.
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