1 an - Tutorat Associatif Marseillais

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NIGHT TUTORAT UE 6
ÉTUDES PRÉ-CLINIQUES / ESSAIS CLINIQUES /
PHARMACOCINÉTIQUE ET PHARMACODYNAMIE
ÉTUDES PRÉ-CLINIQUES
INTERET DES ÉTUDES NON-CLINIQUES
TESTER MES PLUS
BELLES MOLÉCULES!
INTERET DES ÉTUDES NON-CLINIQUES
Évaluer la SÉCURITÉ d’une molécule
◦ AVANT leur première administration à l’Homme
◦ PENDANT toute la durée des essais cliniques
Donner des renseignements sur :
◦ Les propriétés pharmacologiques « pharmacodynamie »
◦ Les propriétés pharmacocinétiques
◦ La toxicologie
TOXICOLOGIE – ESPÈCES ANIMALES
2 espèces minimum
◦ 1 rongeur
◦ Rat
◦ Souris
◦ 1 non-rongeur
◦ Chien
◦ Singe
◦ Lapin
+ modèles in vitro en complément…
TOXICOLOGIE – ESPÈCES ANIMALES
TOCICITÉ AIGUE
+++ TOXICITÉ CHRONIQUE +++
Administration unique, dose élevée
Administration répétée, dose plus faible
14 jours
14 jours – 52 semaines (1 an)
Mortalité, évolution pondérale, SNC, SNV,
fonctions respiratoires et cardiaques
Altérations fonctionnelles, anatomopathologiques
Examen régulier, dosages biochimiques
et hématologiques
Échelle des toxicités › choix des doses
PAS de recherche obligatoire de la dose létale
Dose maximale non toxique › coefficient de sécurité
1er organe lésé ? Après combien de temps ?
Fin de l’étude : euthanasie et étude histologique de
31 tissus et organes (+ pesée)
𝐷𝑜𝑠𝑒 𝑚𝑎𝑥𝑖𝑚𝑎𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑛 𝑡𝑜𝑥𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙′𝑨𝑵𝑰𝑴𝑨𝑳
𝐶𝑜𝑒𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑠é𝑐𝑢𝑟𝑖𝑡é =
𝐷𝑜𝑠𝑒 𝑡ℎé𝑟𝑎𝑝𝑒𝑢𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑟é𝑣𝑢𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙′𝑯𝑶𝑴𝑴𝑬
TOXICOLOGIE – GÉNOTOXICITÉ
Les médicaments cancérogènes sont souvent génotoxiques, et vice-versa
3 tests différents sont OBLIGATOIRES avant la première administration à l’Homme
TEST D’AMES
In vitro sur des bactéries Salmonella mutées : rendues Histidine-dépendantes. Une molécule
mutagène, va induire une mutation vers le type His-indépendant
Si les bactéries prolifèrent en l’absence d’His, la molécule est génotoxique
TEST DU MICRONUCLÉUS
In vivo sur l’animal entier (souris). Un composé génotoxique inuit une fragmentation la
chromatine › granules « micronucléus » dans les érythrocytes de la MO
La détection de plus de micronucléus que le témoin montre que la molécule est génotoxique
M
💡
✅
⚠️
• •
••
•
💡
• •
••
•
M
TOXICOLOGIE – REPROTOXICITÉ
FERTILITÉ
Traitement plusieurs semaines avant l’accouplement › défaut d’accouplement, défaut de
fécondation, euthanasie et examen des organes du système reproducteur
UNE SEULE ESPÈCE
DÉVELOPPEMENT EMBRYO-FŒTAL
Traitement des femelles pendant la gestation › signes d’avortement, examen des fœtus prélevés
par voie chirurgicale (nombre, mortalité, sexe, taille, poids, anomalies du squelette et des
organes)
DEUX ESPÈCES dont une non-rongeur
DÉVELOPPEMENT PRÉ ET POST-NATAL
Traitement de la mère (fin de l’organogenèse) et de l’enfant (fin lactation) › anomalies du
développement et du comportement
UNE SEULE ESPÈCE
TOXICOLOGIE – CANCÉROGENÈSE
Ne pas confondre avec les études de génotoxicité
OBLIGATOIRES si :
◦ Traitement longue durée (hypertension, diabète…)
◦ Traitement fréquent de manière intermittente (allergies)
◦ Potentiel cancérogène suspecté
NON OBLIGATOIRES si durée de vie patient < dvt cancer
Traitement longue durée de 2 espèces (rat et souris) :
augmentation nombre de tumeurs spontanées ?
NON CLINIQUE – QCM 1
A – Le niveau de sécurité à atteindre varie selon la population visée
par le médicament
B – Les études de toxicité chronique permettent de calculer le
coefficient de sécurité
C – 3 tests in vivo sont obligatoires pour les études de génotoxicité
D – Pour les études du développement embryo-fœtal, on traite les
femelles gestantes plusieurs semaines avant l’accouplement
E – Les études de cancérogenèse sont obligatoires avant la première
administration à l’Homme
NON CLINIQUE – QCM 1
A – Le niveau de sécurité à atteindre varie selon la population visée
par le médicament
B – Les études de toxicité chronique permettent de calculer le
coefficient de sécurité
C – 3 tests in vivo sont obligatoires pour les études de génotoxicité
D – Pour les études du développement embryo-fœtal, on traite les
femelles gestantes durant la gestation
E – Les études de génotoxicité sont obligatoires avant la première
administration à l’Homme (cancéro si longue durée, intermittent, suspect)
NON CLINIQUE – QCM 2
A – Des bactéries Salmonella qui peuvent croitre en l’absence
d’histidine sont un marqueur de génotoxicité (test d’Ames)
B – Lors des études de toxicité aigue, on recherche la dose maximale
non toxique chez l’animal
C – La recherche de la dose létale n’est pas obligatoire
D – Les études du développement pré et post-natal s’effectuent sur
deux espèces animales au minimum
E – Les études non-cliniques permettent d’apprécier le rapport
bénéfice-risque d’une molécule
NON CLINIQUE – QCM 2
A – Des bactéries Salmonella qui peuvent croitre en l’absence
d’histidine sont un marqueur de génotoxicité (test d’Ames)
B – Lors des études de toxicité chronique, on recherche la dose
maximale non toxiquechez l’animal
C – La recherche de la dose létale n’est pas obligatoire
D – Les études du développement pré et post-natal s’effectuent sur
une espèce animale au minimum
(1 – 2 – 1)
E – Les études non-cliniques permettent d’apprécier le rapport
bénéfice-risque d’une molécule
ESSAIS CLINIQUES
2 PRINCIPES DES ESSAIS CLINIQUES
Identifier la bonne maladie, les bons patients : recherche
translationnelle (animal ‹› Homme)
Construire de meilleurs EC
◦ Cible : exposition, engagement, mécanisme d’action, cascade
biologique et bénéfice clinique
◦ Méthodologie
◦ Règlementation : qualité, efficacité, sécurité
Rapport bénéfice/risque
LÉGISLATION
1947 – Code Nuremberg : 1ère réglementation sur les
expérimentations admissibles chez l’Homme
1964 – Déclaration Helsinki : « les intérêts de la science et de la
société ne doivent jamais prévaloir sur le bien-être du sujet »
◦ Consentement écrit
◦ Pas de dépendance sujet / chercheur
◦ Placebo avec parcimonie
◦ Bénéfice de la recherche pour les participants
LÉGISLATION
1983 – CCNE : devoir d’essai (l ’absence d’essai
thérapeutique est non-éthique)
1988 – loi Huriet-Sérusclat : 1ère loi française
2001 – directive européenne : harmonisation UE
Transposée en 2004 dans la loi française, appliquée en 2006
2012 – loi Jardé : jamais appliquée… (AFSSAPS › ANSM)
Aujourd’hui : toujours loi 2006
PARTICIPANTS
Consentement écrit
Examen médical préalable
Affiliés à un régime de Sécurité Sociale
Période d’exclusion entre deux EC
INDEMNISATION (≠ rémunération)
◦ En fonction de la CONTRAINTE (≠ risque)
◦ Plafond de 4500 €/an
ACTEURS DES EC
PROMOTEUR : personne physique ou morale qui prend
l’initiative de la recherche (financement, assurance)
Constitution du dossier › n° européen pour l’EC
INVESTIGATEUR : médecin responsable de l’EC
40 CPP (avis favorable) et ANSM (autorisation)
AUTRES : associations de patients, pharmaciens, directeur de
l’hôpital, CNIL [Commission Nationale Informatique et Libertés],
CNOM [Conseil National de l’Ordre des Médecins]
INVESTIGATEUR
Étude multicentrique : investigateur principal + 1 par site
Médecin responsable du recrutement des participants, délivre
l’information et fait signer le consentement
Notifie les évènements indésirables au promoteur, qui doit les
transmettre à l’ANSM (peut décider de l’arrêt / la modification
de l’EC)
Archivage des documents pendant 15 ans
CONSENTEMENT
Libre et éclairé (après information compréhensible mais
exhaustive), donné avant le début de l’EC par ÉCRIT
Possibilité de refuser de participer à l’EC, tout en garantissant
l’accès du patient au meilleur traitement accessible
Possibilité de retirer son consentement à tout moment, même
au cours de l’EC
BONNES PRATIQUES CLINIQUES
Document de référence : comment les acteurs doivent travailler
AVANT, PENDANT et APRÈS l’EC
3 principes
◦ Vérification : pendant l’EC, et vérifiables a posteriori
◦ Procédures opératoires standard : rôle et obligations des acteurs
◦ Traçabilité : notes écrites, datées et signées
« Tout ce qui n’est pas écrit n’existe pas »
MÉTHODOLOGIE
Étude basée sur des FAITS, pas des impressions
PRINCIPE DE COMPARAISON
Le nouveau médicament est-il meilleur que le placebo/la référence ?
2 groupes de patients
◦ Traitement 1 : ∆1 (TA réduite de 3mmHg)
◦ Traitement 2 : ∆2 (Ta réduite de 6mmHg)
◦ Comparaison de ∆1 et ∆2
EFFET PLACEBO
MÉTHODOLOGIE
PRINCIPE DE CAUSALITÉ
Comparabilité (≠ comparaison)
◦ Initiale : randomisation
◦ Au cours de l’essai
◦ Simple aveugle
◦ Double-aveugle +++
PRINCIPE DE SIGNIFICATION
Test statistique : seuil 5% pour éviter de conclure sur une différence
due au hasard
Signification clinique « intérêt réel pour le patient »
OBJECTIFS & CRITÈRES DE JUGEMENT
UN objectif principal + plusieurs objectifs secondaires
Précis (chiffré si possible), utiles, réalistes…
UN critère de jugement par objectif
Valide (reproductible, précis, sensible et spécifique), disponible chez
tous les sujets, facile à recueillir et acceptable
SUJETS À INCLURE
Risque α : risque de détecter une différence qui n’existe pas (dur au
hasard)
Puissance de l’essai : capacité de détecter une différence quand elle
existe
Variabilité du critère de jugement principal : le nombre de sujets à
inclure augmente si le CJP varie beaucoup dans la population
« normale »
Taille de la différence à mettre en évidence : le nombre de sujets à
inclure augmente s’il faut mettre en évidence une petite différence
PLANS EXPÉRIMENTAUX
Groupes parallèles
PLANS EXPÉRIMENTAUX
Cross-over
ANALYSE DES RÉSULTATS
Protocole choisi A PRIORI
ITT « en intention de traiter » +++
TOUS les patients qui sont entrés dans l’étude
PP « per protocole »
Seulement les patients qui ont FINI l’étude
PHASE I « FIRST IN MAN »
SUJETS
Volontaires sains
Sauf cancéro et VIH
Petits groupes (10)
DOSE
FiM : une dose
Puis escalade de doses
OBJECTIF
PAS DE COMPARAISON
Tolérance, sécurité,
pharmacocinétique et
pharmacodynamie
Autres : nourriture, âge, sexe,
génétique ; métabolites,
interactions, intervalle QT,
bioéquivalence
PHASE II « PILOTE »
SUJETS
DOSE
Malades
Groupes homogènes
(limiter la variabilité) Plusieurs doses
testées (3)
Petits groupes
(10-200)
OBJECTIF
Tolérance court terme
Dose minimale efficace (DME)
Relations dose-effet et
concentration-effet
Effet de la maladie sur le médicament
Pharmacocinétique
PHASE III « PIVOT »
SUJETS
DOSE
Malades
Plusieurs doses
Groupes
testées (3)
peu
homogènes
Forme galénique
définitive,
Population
posologie
de l’AMM et
envisagée pour la
patients à
commercialisat°
risque
OBJECTIF
COMPARAISON › OBTENIR l’AMM
Efficacité / tolérance long terme [RBR]
Interactions et relations dose-effet et
concentration-effet
Indication du médicament, ou extension
d’indication
Dose effet maximal, dose tolérance optimale
LIMITES
Populations étudiées ≠ populations réellement traitées
Contexte EC ≠ contexte soins : plus d’encadrement, de suivi…
Durée EC < durée soins
Nombre de sujets faible
EXCEPTIONS
Médicaments génériques : BIOÉQUIVALENCE seulement
Repositioning : nouvelle indication pour l’AMM
◦ Pharmaco et toxico (si différentes de la 1ère pathologie)
◦ Études cliniques phase III (avec la population de la nouvelle AMM)
CLINIQUE – QCM 1
A – La rémunération des sujets des EC est plafonnée à 4500€/an
B – Avant de débuter un essai clinique, le promoteur doit avoir souscrit à une
assurance, et obtenu un avis favorable d’un CPP, ainsi que l’autorisation de
l’ANSM
C – Le principe de causalité repose sur la comparabilité initiale (randomisation)
et au cours de l’essai (double aveugle)
D – L’effet placebo est l’effet commun à tous les médicaments
E – Les études de phase I permettent de comparer le candidat-médicament à un
placebo ou au traitement de référence
CLINIQUE – QCM 1
A – L’indemnisation des sujets des EC est plafonnée à 4500€/an
B – Avant de débuter un essai clinique, le promoteur doit avoir souscrit à une
assurance, et obtenu un avis favorable d’un CPP, ainsi que l’autorisation de
l’ANSM
C – Le principe de causalité repose sur la comparabilité initiale (randomisation)
et au cours de l’essai (double aveugle)
D – L’effet placebo est l’effet commun à tous les médicaments
E – Les études de phase I ne sont pas des études comparatives
CLINIQUE – QCM 2
A – Le code de Nuremberg est le premier texte traitant des essais en recherche
biomédicale sur les Hommes
B – L’investigateur d’une recherche clinique doit obligatoirement avoir souscrit
une assurance
C – Les objectifs principaux doivent être associés à des critères de jugement
précis, faciles à recueillir et acceptables par le sujet
D – Les sujets de la phase I (First in Man) n’incluent que des volontaires sains
E – Une des limites des essais cliniques est leur nombre trop faible de sujets
inclus par rapport à la population traitée
CLINIQUE – QCM 2
A – Le code de Nuremberg est le premier texte traitant des essais en recherche
biomédicale sur les Hommes
B – Le promoteur d’une recherche clinique doit obligatoirement avoir souscrit
une assurance
C – Un seul objectif principal par essai clinique
D – Les sujets de la phase I (First in Man) incluent des volontaires sains sauf dans
le cas des études VIH et cancéro
E – Une des limites des essais cliniques est leur nombre trop faible de sujets
inclus par rapport à la population traitée
Histoire du médicament
Les différentes périodes
Empirique
◦ Observation de la nature
◦ Religion +++
Scientifique
◦ 1ers philosophes grecs
◦ Moyen âge
Industrielle
◦ De nos jours, biotechnologies
Les philosophes grecs (parfois un peu
romains aussi, voire encore après…)
Aristote
Hippocrate
Galien
Dioscoride
Mithridate
Ibn-Al-Baytar
Avicenne
Les dates à apprendre !!!
1258 : Louis IX : statut officiel des apothicaires
1484 : Charles VIII
poids et mesures
1640 : Henri III
codex royal
1682 : Louis XIV
affaire des poisons
1777 : Louis XVI
Collège de pharmacie
! Inspection !
1805 : Extraction de la morphine (pavot à opium)
1820 : Pelletier et Caventou : quinine (quinquinas)
1820 : Nativelle : Digitaline (digitale)
paludisme
affections cardiaques
1897 : Hoffman : aspirine
1928 : Fleming : 1er antibiotique (pénicilline)
La Pharmacopée
Ne pas confondre avec CODEX !!
Difficilement retranscrites d’une population à l’autre
1ère : PENN TSRAO (Chine)
Ensuite : Papyrus d’Eber (Egypte)
En France, 1ère codification par Henri III qui crée le codex royal.
1ère pharmacopée française en 1818
1ère pharmacopée européenne : 1968
Statut des médicaments et
structures de régulation
(Oui les deux ensemble parce que les profs disent pareil)
Qu’est-ce qu’un médicament?
On entend par médicament toute substance ou composition présentée
comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des
maladies humaines ou animales… Ainsi que toute substance ou composition
pouvant être utilisée chez l’Homme ou chez l’animal, ou pouvant lui être
administrée en vue d’établir un diagnostic médical, ou de restaurer, corriger,
ou modifier leurs fonctions physiologiques en exerçant une action
pharmacologique, immunologique ou métabolique.
Constitué d’un (ou plusieurs) PA et d’excipient(s), nommé
par sa DCI
Différent des dispositifs médicaux (action mécanique, avec un
marquage CE)
À priori interdit à la vente, doit posséder une AMM pour
être vendu.
Circuit de régulation du médicament
AMM : dossier auprès de l’EMA, de l’ANSM… (selon sécurité,
efficacité, qualité, avec rapport B/R favorable)
SMR : par CT de HAS : 4 niveaux, tous les 5 ans
◦ Permet la détermination du remboursement : UNCAM + ministère
ASMR : par CT de HAS : 5 niveaux (avec 5 = génériques) : comparaison
aux autres médicaments
◦ Permet la négociation du prix : CEPS
Les autres structures
DGOS : ministère de la santé : mise en œuvre des politiques
publiques de santé
DGS : ministère de la santé : contribue à la politique de santé
publique
ARS : 13 (1 par région), projet régional de santé
Ordre National des Pharmaciens : représente la
profession, a des pouvoirs disciplinaires, chargé de la
déontologie, 7 sections
Sécurité sociale : notion de Tiers payant
Circuit de distribution
Etablissements pharmaceutiques (fabricants)
Mondialisation
Dépositaires : non propriétaire du stock, mandats des laboratoires
Grossistes répartiteurs : propriétaires du stock, maximum 24h
pour livrer dans les pharmacies, doit avoir tout l’arsenal
thérapeutique en stock
Officines
PUI
Pro-pharmacies
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