Rduction de la quantit de produits chimiques toxiques dans le lac

Un panneau d'affichage dans le comté de St. Louis, au Minnesota,
met en garde les résidants en ce qui concerne le brûlage en plein
air. Photo : Mary McReynolds, comté de St. Louis.
Qu’est-ce que le PAP?
Le plan d’aménagement panlacustre (PAP) du lac
Supérieur est un plan de gestion stratégique axé
sur la restauration et la protection de l'écosystème.
Le PAP est géré en partenariat par les paliers
fédéraux, les provinces, les États, les tribus et les
Premières nations du Canada et des États-Unis. La
présente brochure souligne les réussites décrites
dans le rapport 2008 du PAP, qui expose les
principales réalisations accomplies entre 2006 et
2008, ainsi que les étapes à venir et les questions
émergentes pour 2008-2010. Pour accéder au texte
intégral du rapport, nous vous invitons à visiter
notre site Web, à l’adresse www.binational.net.
Vous y trouverez aussi des hyperliens vers les sites
d’organismes partenaires où vous trouverez
d’autres renseignements, ainsi que des rapports et
des mises à jour sur les travaux passés et en cours
dans le bassin du lac Supérieur.
Qu’est-ce que le Programme
binational?
Le Programme binational du lac Supérieur, qui
chapeaute le PAP, résulte des efforts concertés du
Canada et des États-Unis en vue de déceler,
résoudre et surveiller les problèmes
environnementaux qui frappent le lac Supérieur. Le
Programme binational comprend le Programme de
démonstration du rejet nul ainsi qu’un programme
élargi axé sur la restauration et la protection de
l’écosystème. Les travaux du Programme binational
ont commencé en 1991, et depuis, de nombreux
projets sont en cours afin de restaurer l’écosystème,
d’établir des partenariats et d’informer le public, les
industries et les organismes en Ontario, au
Minnesota, au Wisconsin et au Michigan.
2005 – Réalisations et réductions de substances chimiques clés
Réalisations 1990-2005 Principales sources (en 2005)
Réduction des dioxines de 76-79 % Brûlage d’ordures en plein air
Combustion de combustibles
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PROGRAMME
BINATIONAL
DU LAC
SUPÉRIEUR
Réduction des émissions de mercure
de 71 % Activités minières
Combustion de combustibles
Réduction de l’hexachlorobenzène Brûlage d’ordures en plein air
Combustion de combustibles
Réduction * des BPC Matériel électrique
Réduction * de l’octachlorostyrène Aucune source connue dans le bassin du
lac Supérieur
Réduction * des pesticides DDT,
dieldrine, chlordane et toxaphène Sources résidentielles, agricoles ou
commerciales
*Il faut améliorer l’inventaire pour évaluer avec plus de précision les progrès accomplis.
1Source : Programme de démonstration du rejet nul dans le lac Supérieur et cibles de
réduction de substances chimiques clés 2005
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Réduction de la quantité de
produits chimiques toxiques dans le
lac Supérieur
Programme de démonstration de rejet nul :
progrès récents et prochaines étapes
Dans l’ensemble, les polluants chimiques ont connu un
déclin au cours des 30 dernières années, mais il existe
toujours neuf polluants critiques qui continuent de poser un
risque pour l’écosystème et pour la santé des humains dans le bassin du lac Supérieur. Ces
produits chimiques se concentrent, par bioaccumulation, dans la chaîne alimentaire, causant
du tort aux poissons et à la faune, et entraînant des restrictions sur la quantité de poissons
qui peut être consommée en toute confiance. Les produits désignés sont le mercure, les
BPC, les dioxines, l’hexachlorobenzène (un fongicide), l’octachlorostyrène (une matière
résiduelle industrielle) ainsi que quatre pesticides (DDT, dieldrine, chlordane et toxaphène).
En 1991, les gouvernements du Canada et des États-Unis ont lancé le Programme de
démonstration de rejet nul (PDRN) du lac Supérieur, dont l’objectif est d’éliminer totalement
ces neuf substances toxiques persistantes du bassin lacustre d’ici 2020. Un récent rapport
donnait les détails des diminutions enregistrées dans le bassin de 1990 à 2005. Au cours de
cette période, on voit ainsi que l’on a atteint des résultats probants notamment pour ce qui
est de la réduction des rejets de mercure, de dioxines et de BPC dans l’ensemble du bassin.
Entre 1992 et 2004, plus de 12 700 kg (28 000 lb) de pesticides ont été recueillis et éliminés
de façon sécuritaire dans le cadre de ce programme.
Les actions entreprises depuis 2005 comprennent la collecte de produits contenant du
mercure et de déchets ménagers dangereux, l’instauration de nouvelles lois limitant les
émissions de mercure des centrales alimentées au charbon et la mise en œuvre de
nouveaux projets d’énergie renouvelable. Un des défis qu’il reste à relever est de réduire de
façon significative les émissions de mercure provenant de l’accroissement de l’activité
minière, de manière à atteindre le prochain objectif de réduction fixé à 80 % pour 2010. En
2011, on présentera un autre rapport décrivant les progrès accomplis et les défis affrontés
depuis 2005.
On a besoin de votre soutien pour que le Programme de démonstration de rejet nul soit couronné de succès. Une façon d’aider consiste à
cesser de brûler les ordures ménagères. En effet, le brûlage des ordures ménagères est une source de dioxines totalement évitable. On peut
aussi se débarrasser des pesticides lors des collectes de déchets dangereux qui ont lieu dans la communauté. Et l’économie d’énergie est une
autre façon qui permet de réduire à la fois le mercure et les dioxines.
Il n’a pas été clairement établi comment les futures augmentations de l’activité industrielle, de la demande d’énergie et de la population du
bassin se répercuteront sur les rejets des neuf polluants dans le bassin du lac Supérieur. De plus, les nouveaux produits chimiques
préoccupants, comme les produits ignifuges, les plastifiants, les produits pharmaceutiques, les produits de soins personnels et les pesticides,
posent de nouveaux défis et leurs répercussions possibles sur l’écosystème demeurent inconnues. Toutefois, le Programme binational du lac
Supérieur reste lié au Programme de démonstration de rejet nul comme moyen s’inscrivant dans l’objectif plus vaste de restaurer et maintenir la
santé de l’écosystème du bassin du lac Supérieur.
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Nouvelle
aire marine nationale de conservation
En octobre 2007, le gouvernement du Canada a annoncé la création d’une
nouvelle aire marine nationale de conservation (AMNC). D'une superficie de
plus de 10 000 km2 (3 861 miles carrés) du lac Supérieur, englobant le lit du lac,
les îles et une partie des zones riveraines du Nord, l'AMNC est la plus grande
aire marine protégée en eau douce au monde. Les aires marines nationales de
conservation font partie de la famille des aires protégées de Parcs Canada. Il
s’agit de zones protégées et de zones à utilisation multiple faisant l’objet d’une
gestion coopérative où des activités telles que la pêche commerciale et le
transport de marchandises se poursuivent. Les rejets, l’exploitation minière ainsi
que l’exploration et l’extraction d’hydrocarbures sont interdits à l’intérieur des
limites du parc.
Écosystème : des cas exemplaires
Rétablissement des populations de touladis
Une des plus belles réussites dans les Grands Lacs est la
réhabilitation du touladi dans le lac Supérieur. Grâce à des
programmes d'ensemencement, à la lutte contre la lamproie et
au contrôle de la pêche, des populations résidentes viables de
touladi sont présentes dans la plupart des secteurs du lac. On
compte d’ailleurs une plus grande population se reproduisant
naturellement dans le lac Supérieur que dans les autres Grands
Lacs réunis!
Carte des habitats importants du bassin du lac
Supérieur
Étant donné que, dans la majorité des cas, il vaut mieux prévenir
que quérir, le Programme binational du lac Supérieur préconise
la protection des habitats des poissons, des plantes et de la
faune de préférence à des mesures de restauration coûteuses
après que sont survenus les dommages. Néanmoins, la
restauration est une mesure essentielle dans les secteurs où les
fonctions écologiques sont compromises. En 1991, les
gouvernements de l’Ontario et des États du Michigan, du
Minnesota et du Wisconsin ont convenu de déterminer quels
étaient les habitats essentiels et de poursuivre les projets
d’assainissement déjà en cours dans le but de restaurer les
populations de poisson, la faune et les milieux humides du
bassin. Une carte illustrant les habitats importants du bassin du
lac Supérieur et les caractéristiques écologiques de chaque site
a été dressée. Cette carte permettra d’accorder la priorité aux
projets destinés aux secteurs d’habitat essentiel. Pour obtenir un exemplaire de cette carte, veuillez consulter l’encadré « Pour plus de
renseignements », à la fin de la présente brochure.
Projet de zone libre d’espèces envahissantes
Une zone libre d’espèces envahissantes a été créée par l’éradication des plantes envahissantes et la restauration de l’habitat faunique au
Whittlesey Creek National Wildlife Refuge dans le Wisconsin ainsi que sur des terres privées contiguës et sur les terres adjacentes du U.S.
Forest Service où se trouve le centre d’accueil Northern Great Lakes (290 hectares, soit au total, 720 acres). Ce projet met en application une
approche systématique pour lutter contre ces espèces envahissantes et restaurer l’habitat faunique à l’échelle du paysage. Une description du
projet et un guide expliquant comment créer une zone libre d’espèces envahissantes sont accessibles en ligne à l’adresse
www.fws.gov/midwest/WhittleseyCreek.
Un groupe voué à la conservation acquiert un important site de fraie de l'omble de fontaine
Gapen Pool. Photo : Ministère des
Richesses naturelles de l’Ontario
Conférence «
Un Grand Lac
vraiment Supérieur »
Fin octobre 2007, la conférence « Un
Grand Lac vraiment Supérieur 2007 »
s’est tenue à Duluth, dans le Minnesota.
Durant cette conférence, qui s’adressait
aux chercheurs, aux éducateurs, aux
gestionnaires du gouvernement et au
grand public, il était question de l’état
actuel de l’écosystème du lac Supérieur.
Divers sujets et défis ont été abordés dont
les polluants chimiques nouveaux et
émergents, les changements climatiques,
les sédiments contaminés, les sources
diffuses et la perte d’habitats et de milieux
humides. Pour en savoir plus, visitez le
site Web de la conférence au
Les besoins de l’omble de fontaine en matière d’habitat sont très particuliers. Pour que la fraie et
l’incubation surviennent, cette espèce a besoin d’emplacements où abondent les sources souterraines.
Bien que de tels lieux soient relativement rares dans le lac Supérieur, on dénombre, dans le cours
inférieur de la rivière Nipigon, en Ontario, trois frayères connues qui attirent les ombles de fontaine
lacustres depuis l’autre côté de la baie Nipigon et même au-
delà. La plus grande frayère est située à Gapen Pool, où
d’importantes sources alimentées par des eaux souterraines
créent un habitat propice à la fraie de cette espèce.
Cette zone est dans un état relativement peu
perturbée, même si une bonne partie des terres
environnantes ont fait l’objet d’exploitation.
Les terres contiguës à cette importante frayère se
composent de 24 hectares (60 acres) de terrain vague et
constituent la plus importante zone de résurgence d’eaux se
déversant dans le secteur nord-est de Gapen Pool. En mars 2007, l’organisme Trout Unlimited
Canada s’est porté acquéreur de cette propriété grâce au soutien du ministère des Richesses
naturelles de l’Ontario et de ses partenaires, le Comité consultatif du lac Supérieur, Parcs Canada
et Trout Unlimited U.S., et aux généreuses contributions de donateurs privés, d’entreprises et de
fondations. Un plan de conservation sera établi afin de protéger et de conserver les fonctions
essentielles particulières que ce territoire fournit à l’omble de fontaine dans la rivière Nipigon et de
maintenir les efforts de restauration dans le lac Supérieur.
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Défis et étapes à venir
Grâce au PAP, le Programme binational du lac Supérieur a remporté divers succès, mais de
nombreux défis demeurent. Ceux-ci mis en évidence ci-dessous.
Des chevaux tirent une charrette remplie de
déchets électroniques dans le cadre de la
collecte organisée par les Earth Keepers.
Photo : Programme de recyclage de
Mackinac Islan
d
Substances soulevant de nouvelles préoccupations
De nouvelles recherches indiquent que nombre de substances présentes dans l’air, l’eau et les
sédiments peuvent poser un risque pour les poissons, la faune et les humains. Ces substances
soulevant de nouvelles préoccupations sont les produits ignifuges, les plastifiants, les produits
pharmaceutiques, les produits de soins personnels et les pesticides. Pour, qu’à l’avenir, on puisse
éviter les effets négatifs d’autres polluants critiques dans l’écosystème du lac Supérieur, le PAP du
lac Supérieur a élaboré une stratégie de gestion en trois points afin de faire face au problème que
constituent ces nouvelles substances dans le bassin du lac Supérieur. Cette stratégie permettra de
déterminer de quelle façon ces nouvelles substances qui soulèvent de nouvelles préoccupations
seront abordées dans le PAP. Elle fournira aussi un moyen pour établir les priorités en matière de
surveillance et pour encourager les activités de prévention de la pollution et de financement en plus
de favoriser la reprise de ces activités lors des mises à jour du PAP.
Changements climatiques
Luttons contre la propagation des espèces
aquatiques envahissantes!
Vidanger toute l’eau du bateau, du moteur et de la cale,
et assécher le vivier, la remorque et les seaux avant de
quitter le rivage.
Nettoyer et désinfecter tout le matériel avec une
solution d’eau de Javel à 10 % diluée dans de l’eau.
Ne pas transporter de poissons morts ou vivants, ni de
morceaux ou d’œufs de poisson d’une étendue d’eau à
l’autre, ni libérer des poissons vivants dans des eaux
sauvages.
Enlever les organismes animaux et végétaux ainsi que
les traces de boue visibles du bateau avant de quitter
le rivage.
Pour d’autres informations, visitez le
www.e
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o/invasive/index.html.
Restauration des secteurs préoccupants
En 1985, on a répertorié sur le lac Supérieur huit emplacements pollués où l’environnement immédiat était plus dégradé que dans le reste
du lac. Quatre de ces emplacements désignés sous le nom de « secteurs préoccupants » sont situés au Canada, trois aux États-Unis et,
le dernier, sur la rivière St. Marys, est commun aux deux pays. Les gouvernements et les collectivités travaillent d’arrache-pied pour
assainir ces secteurs préoccupants, et bien que l’on ait observé certaines améliorations, il reste encore beaucoup à faire. Les
gouvernements canadiens et américains se sont fermement engagés à restaurer ces huit secteurs préoccupants sur le lac Supérieur et
ont fait de cet objectif une de leurs principales priorités. Pour de plus amples renseignements sur les secteurs préoccupants, nous vous
invitons à visiter les sites www.epa.gov/glnpo/aoc ou www.ec.gc.ca/raps-pas/.
Le réchauffement du climat est un fait avéré, ainsi que le démontrent les observations de hausses des
températures planétaires moyennes de l'air et de l'océan, de la fonte généralisée de la neige et de la
glace, et d'une élévation du niveau moyen mondial de la mer. Les effets des changements climatiques
peuvent déjà être observés et ils continueront de se faire sentir dans les Grands Lacs et dans le b
du lac Supérieur tout au long du prochain siècle. Parmi les effets documentés des changem
climatiques sur les écosystèmes des Grands Lacs, on compte :
assin
ents
y des hivers plus courts y des températures moyennes annuelles
plus élevées
y des vagues de chaleur extrême y une durée de la couverture glacielle réduite
plus fréquentes
y des précipitations de pluie et de neige y une baisse du niveau d'eau plus fréquentes
Le PAP du lac Supérieur a commencé à s’attaquer aux problèmes potentiels et aux effets découlant
des changements climatiques dans le bassin par la sensibilisation et l’éducation du public, les activités d’atténuation, et les projets d’adaptation.
Bas niveau d’eau à Thunder Bay, en
Ontario, en avril 2007. Photo :
Environnement Canada.
Espèces aquatiques envahissantes : la lutte se poursuit
Les espèces aquatiques envahissantes (EAE) sont des espèces non
indigènes, comme la moule zébrée et la lamproie, qui envahissent les
habitats aquatiques et rivalisent avec les espèces indigènes pour la
nourriture et l'espace. Les EAE peuvent éliminer les espèces indigènes,
dégrader l’habitat et modifier les réseaux trophiques, entraînant des
dommages écologiques et économiques. Ces espèces peuvent
s’introduire dans un lac de diverses manières. Elles peuvent être
transportées par les eaux de lest des navires commerciaux, par la
dissémination volontaire ou accidentelle d’espèces destinées aux
aquariums, par les seaux d'appâts vivants renversés et en adhérant à la
coque des embarcations de plaisance et aux équipements de navigation.
En plus des efforts de règlementation visant à prévenir l’introduction de
nouvelles EAE, on a procédé à l’application mesures volontaires, comme
le partage des pratiques exemplaires pour l’échange des eaux de lest et la
prestation des programmes d’éducation afin de sensibiliser les gens aux
modes d’introduction des EAE.
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Pour de plus amples renseignements
Site Web du Programme binational du lac
Supérieur : www.binational.net
Canada
Pamela Finlayson, Environnement Canada
4905, rue Dufferin
Toronto, ON M3H 5T4
Tél. : 416-739-5996
États-Unis
E. Marie Wines, U.S. Environmental Protection Agency
77 West Jackson Blvd., G-17J
Chicago, IL 60604-3511
Tél. : 312-886-6034
Forum binational du lac Supérieur
Le Forum binational du lac Supérieur est un regroupement voué à la sensibilisation et à la mobilisation du public qui
vient en aide au PAP et qui représente divers secteurs des collectivités du bassin. Une des activités organisées par
le Forum est le Jour du Lac, qui se tient annuellement le troisième dimanche de juillet. Pour en savoir plus,
visitez le www.superiorforum.info.
Douze façons de protéger le lac Supérieur au quotidien
Rendez votre maison éconergétique.
Installez des dispositifs économiseurs d'eau.
Ne brûlez jamais vos ordures.
Essayez de réduire, réutiliser, réparer et recycler.
Apportez vos déchets ménagers dangereux aux points de
collecte prévus à cet effet.
Ne déversez jamais les huiles, peintures et autres produits
chimiques ménagers dans le collecteur d'eaux pluviales.
N'utilisez jamais d'engrais ni de pesticides chimiques pour la
pelouse.
Inspectez votre bateau et sa remorque et enlevez les organismes
animaux et végétaux présents avant de quitter la rampe d’accès.
Pour votre aménagement paysager, utilisez des plantes
indigènes à la région.
Plantez des arbres pour capter le dioxyde de carbone et prévenir
l'érosion.
Recueillez l'eau de pluie pour arroser votre jardin et laver votre
automobile
Et surtout, ayez à cœur votre lac Supérieur!
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