Sur les nombres pseudopremiers de la forme MpMq - E

Sur les nombres pseudopremiers de la forme
MpMq
Autor(en): Rotkiewicz, A.
Objekttyp: Article
Zeitschrift: Elemente der Mathematik
Band (Jahr): 20 (1965)
Heft 5
Persistenter Link: http://doi.org/10.5169/seals-23932
PDF erstellt am: 25.05.2017
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108 A. Rotkiewicz: Sur les nombres pseudopremiers de la forme Mp Mq
La Solution (optimale) est donc xx 11/9, x2 1/9, xB 0.
La resolution «graphique» de ce probleme constitue une application interessante
des eiements de calcul vectoriel. Elle se generalise immediatement kplus de 3variables
et se prete ädes discussions. Enfin, eile ale merite de montrer äl'eieve que des
moyens tres simples quoique legerement «detournes» permettent parfois d'obtenir
un resultat inaccessible par un procede direct, celui de la resolution graphique habi¬
tuelle en l'occurrence; eile peut inciter l'eieve äfaire preuve d'ingeniosite.
P. Burgat, Neuchätel
Sur les nombres pseudopremiers de la forme Mp Mq
Je demontrerai ici les deux theoremes suivants:
Thdoreme 1. Le nombre pq, oüp et q> psont des nombres premiers, est un nombre
pseudopremier1) dans ce et seulement dans ce cas si le nombre MpMq= (2P 1) (2q 1)
est pseudopremier.
Theoreme 2. Pour tout nombre premier p, 7<p4= 13, ilexiste un nombre pre¬
mier qtel que le nombre Mp Mq est pseudopremier. Pour p2, 3, 5, 7et 13 il n'existe
aucun nombre premier qpour lequel le nombre Mp Mq soit pseudopremier.
Demonstration du theoreme 1. Supposons que le nombre pq, pet q>psont
des nombres premiers, est pseudopremier. On aalors p>2. En effet, s'il etait
2q122q 2, on aurait q\22q~1 1, ce qui est impossible, vu que
2*«-i -12a<«-1> 2-1 1(mod q)
(d'apres le theoreme de Fermat). Vu que q>p, les nombres pet qsont tous les deux
impairs et la formule pq\2pq—2 (puisque le nombre pq est pseudopremier) donne
pq\2pq~1- 1. Or, on a
2*«-i -12<*-1>« 2*-1 -12q~x -1(mod p)
On adonc p12q~1 1et, vu que q\2q~1 1et q>p, on en trouve que
Pq\2q-1-l\2q-2.
Pareillement on demontre que pq\2p 2. On adonc 2p 11(mod pq) et
2q ~13= 1(mod pq), d'oü MpMq~l (mod pq) et, comme (2* -1, -1)
2(P>q) 11, on trouve
Mp Mq (2p -1) (2* -1) 12pq -112MpMq~1 -112MpMq -2
et le nombre Mp Mq est pseudopremier.
Supposons maintenant que le nombre Mp Mq est pseudopremier. On adonc
(2p -1) (2* -1) 12MPM*-X -1. (1)
Le nombre 2appartenant kl'exposant pmodulo 2^-1, ilresulte de (1) que^> |Mp Mq-1.
*) C'est-ä-dire un nombre composö nqui divise 2.
Kleine Mitteilungen 109
Pareillement on obtient que q\Mp Mq 1. On adonc pq\Mp Mq 1. Or, on a
(2p -1) (2q -1) -1ee 2q -2(modp)
donc
_> I-2(2)
Pareillement on trouve .12*-2. (3)
II n'est pas p2, puisqu'alors, d'apres (3), on aurait #2, contrairement äl'hypo¬
these que q> pLes formules (2) et (3) donnent donc p\2q~1 1et #|2^-1 1et,
vue que (d'apres le theoreme de Fermat) p\2p~1 1et q\2q~1 1et que q>p,
on trouve ^^|2^-1-1 et pq\2q~1- 1. (4)
Vu regahte
2/><?-i -l2K<7-1>+/'-1 1(2p(q-1) -1) 2^~1 +(2p~1 -1)
on obtient de (4) pq\2pq~1 11 2pq 2, ce qui prouve que le nombrepqest pseudo¬
premier. Le theoreme 1est ainsi demontre
Demonstration du theoreme 2Pour tout nombre premier p, tel que 7<p4= 13
il existe un nombre premier q>p, tel que le nombre ^> #est pseudopremier (voir [1])
et, en vertu du theoreme 1, le nombre Mp Mq est pseudopremier. Si p2, 3, 5, 7ou
13, il n'existe aucun nombre premier qpour lequel le nombre pqsoit pseudopremier
et, en vertu du theoreme 1il n'existe aucun nombre premier qpour lequel le nombre
Mp Mq soit pseudopremier. A. Rotkiewicz (Varsovie)
TRAVAIL CITlt
[1] ARotkiewicz, Sur les nombres premiers pet qtels que pq\2pq— 2. Rendiconti del
Circolo Matematico di Palermo 11, 280-282 (1962).
Kleine Mitteilungen
Dreiblatt und Brocardsche Punkte
Trifolium, also Dreiblatt, heisst nach einem Vorschlag von Jos. E. Hofmann die Figur
von 3Kreisen durch einen Punkt S, den Pol des Dreiblatts Die Punkte Ax, A2, Az, m
denen sich je 2der 3Kreise schneiden, heissen Ecken des Dreiblatts. Herr W. K. B. Holz,
Ing. furVermessungstechnik und Stadtarchivar in Hagen (Westfalen) hat zuerst die Frage
nach den euklidischen Eigenschaften des Dreiblatts gestellt. In Math Ann. 130, 46-86
(1955) habe ich unter anderem die von Holz vermuteten Kongruenzsätze des Dreiblatts
bewiesen. Ich nannte in dieser Arbeit die Dreiblatter Inversdreiecke, weil em Dreiblatt
durch Inversion aus einem geradlinigen Dreiseit hervorgeht. Nimmt man mder Tat den
Einheitskreis \z\ 1einer Gausschen z-Ebene als Umkreis des Dreiblatts -das ist der
Kreis durch die 3Ecken -so fuhrt
zS
em Dreiseit mit den Ecken /A[, A'2, A'z in em Dreiblatt mit den Ecken z«Ax, A2, A8
uber. Dabei geht |*| 1in \z'\ 1uber und stimmt die Abbildung (1) auf \z\ 1mit
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