le vrai confort dans l'économie
De réelles économies de chauffage.
Par rapport à un simple vitrage,
BI VER réduit de façon importante les déperditions de calo ries (ou frigo-
ries en été dans un logement climatisé). Dans une maison, 40 % des
calories peuvent être conservées à l'intérieur par BIVER.
L'isolation est rentable.
Un bilan thermique et économique, les chiffres parlent :
construction
construction avec
traditionnelle
vitrage isolant
vitrée en verre à vitre RIVER
construction isolée
RIVER + ISOVER
avec 16 m
2
de vitrage
Si les fenêtres sont vitrées Si les fenêtres sont
en simple vitrage :
vitrées en BIVER
Si toutes les perdis sont
convenablement isolées
un appartement
charbon
de 80 m2
mazout
consomme :
électricrti
3 tonnes
2 400 litres
23 000 thermies
18 200 kilowattheures
ECONOMIE
25 %
2,25 tonnes
1 800 litres
17 300 thermies
13 600 kilowatt heures
ÉCONOMIE 48 %
1,55 tonne
1 250 litres
12 000 thermies
9 500 kilowattheures
une maison
individuelle
de 100 m
2
consomme
charbon
mazout
gaz
électricité
7,20 tonnes
5 800 litres
56 000 thermies
44 000 kilowattheures
ÉCONOMIE 18%
6 tonnes
4 800 litres
46 000 thermies
36 000 kilowattheures
ÉCONOMIE
53 %
3,40 tonnes
2 700 litres
26 000 thermies
20 500 kilowattheures
BIVER - ISOVER
(marques déposées(
REGARD SUR IIENERGIE
Pour le logement d'aujourd'hui, un économiseur
de chauffage: le vitrage isolant
Une autre façon
de construire
"Dès lors que le chauffage représente, au
niveau de 40 %, le premier poste de
consommation de produits pétroliers uti-
lisés à des fins énergétiques; dès lors qu'au
prix d'investissements minimes, une éco-
nomie de près d'un cinquième peut être
réalisée chaque année sur le chauffage du
parc existant; dès lors qu'une meilleure
conception de l'isolation et de la régula-
tion thermiques peut, pour toutes les
constructions neuves, nous faire épargner,
sur une période de neuf ans, l'équivalent
d'une année de consommation actuelle,
toute action doit être privilégiée, qui vise
à mettre fin à l'économie de gaspillage"...
(Christian BONNET, Secrétaire d'État
auprès du Ministre de l'aménagement du
territoire, de l'équipement, du logement et
du tourisme. Le Monde 21/02/1974)
Un impératif: l'isolation
"L'énergie est chère"... c'est déjà un lieu
commun. Ce qui l'est moins, c'est la
démonstration chiffrée du gaspillage de
l'énergie-chauffage, avec ses répercus-
sions sur les charges d'exploitation du
logement.
Aujourd'hui, il faut réagir : les Pouvoirs
Publics en montrent le chemin par une
réglementation nouvelle de l'isolation
thermique des logements, mesurable en
coefficient G et K. Coefficient G, coeffi-
cient K... des définitions que l'on a intérêt
à bien connaître désormais.
LE COEFFICIENT K
Un coefficient de transmission thermique ou coefficient K
caractérise chaque paroi de bâtiment; c'est le
flux
de chaleur
(exprimé en watt ou en kilocalorie par heure) que laisse
passer 1 ritz de la paroi pour 1 degré d'écart entre les deux
ambiances qu'elle sépare. Pour un écart de température de T
degrés, une paroi extérieure de surface S et de coefficient K trans-
met un flux de chaleur K.Sx T.
On exprime le coefficient K
— soit en VV/m
2
.9
— soit en kcal/h m° OC
POURQUOI G PLUTOT QUE K ?
Parce que le règlement de construction impose un résultat global
plutôt que des mesures particulières : pour les déperditions de
chacun des logements, il fixe le coefficient G rapporté au volume
habitable et non les coefficients K rapportés aux surfaces des diffé-
rentes parois. Le coefficient G tient compte aussi de la déperdition
de chaleur par renouvellement de l'air. Un logement de volume V
et de coefficient G utilise une puissance de chauffe GxV xT pour
maintenir l'écart de température T entre l'intérieur et l'extérieur.
Ne plus jeter l'argent
par les fenêtres,
penser au consommateur
La crise de l'énergie dramatise. Mais la
prise de conscience était en bonne voie.
La nécessité de l'isolation thermique était
perçue depuis longtemps comme un élé-
ment indispensable du couple économie-
confort, et les industriels avaient déjà, de
longue date, mis au point les solutions.
Quand on sait que, dans un logement,
plus d'un tiers des déperditions s'en vont
par les fenêtres, on peut commencer à
réfléchir et à calculer. Car c'est directe-
ment le coût d'exploitation du chauffage
qui est en jeu
;
or il existe un remède déci-
sif aux pertes par les parois vitrées : le
vitrage isolant.
Qu'est-ce qu'un
vitrage isolant?
C'est un sandwich à l'air : c'est-à-dire un
vitrage préfabriqué composé de 2 glaces
limitant un espace d'air sec et 'assemblées
par un joint étanche à l'eau et à la vapeur
d'eau. C'est donc un vitrage qui, en hiver,
empêche la chaleur de sortir des habita-
tions et permet de réduiré les dépenses de
chauffage.
Le vitrage isolant
du logement
Au service du coefficient d 'isolation G,
Saint-Gobain Vitrage présente BIVER, le
plus économique des vitrages isolants de
grande série en qualité glace. BIVER est
le fruit de l'expérience de Saint-Gobain
Vitrage en matière de vitrage isolant.
BIVER est un vitrage isolant étanche,
préfabriqué sur une chaîne automatique
permettant la fabrication en grande série
d'un vitrage isolant économique.
Il est composé de deux feuilles de glace
Planilux de 4 mm limitant un espace d'air
sec de 6 mm.
L'étanchéité est assurée par une double
barrière imperméable à l'eau et à la
vapeur d'eau. BIVER et son joint intelli-
gent ont été testés implacablement dans
des cellules de vieillissement accéléré.
Jusqu'à ce jour, le vitrage isolant pénétrait
difficilement dans le logement et restait
l'apanage des bureaux et des immeubles
de standing. On peut dire qu'aucun des
vitrages isolants lancés sur le marché avant
BIVER n'a réussi à gagner la bataille de
la fenêtre. BIVER est vraiment le vitrage
isolant du logement.
1 / 1 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !