H4 Fiche n°3 / Quel est le meilleur texte pour répondre à la problématique
« Comment est né le sentiment national chez les Allemands ? »
Texte de Denis
Les Révolutionnaires français envahissent l’Allemagne en étant d’abord accueilli comme des libérateurs puis ils se mettent à piller
l’Allemagne se qui développe le sentiment national.
En effet, l’Allemagne appelée alors Saint Empire était devisé en plus de 300 états. Quand les révolutionnaires français envahissent
l’ensemble de ces états, ils sont très bien accueillis. Ils apportent de nouvelles libertés, les droits de l’Homme, Les Français
regroupent une partie des 300 états du Saint Empire sauf la Prusse, dans un seul et même pays : La Confédération du Rhin.
Mais à partir de 1806 les Française se mettent à piller le pays, à ne pas respecter les droits des peuples allemands. Les Allemands
se mettent alors à détester les Français qui les occupent et se révoltent contre eux.
Face à l’envahisseur français, les peuples des 300 états du Saint Empire prennent conscience d’appartenir à un même peuple.
Cependant, ce sentiment est nié par le Congrès de Vienne.
Par exemple, un Allemand Ernst Moritz Arndt écrit : « Qu’on ne parle plus d’Autriche et de Prusse, de Bavière et de Tyrol, De Saxe
et de Westphalie mais de l’Allemagne. Où tout Français est l’ennemi, Où tout Allemand est un ami ».
Texte de Lio
Tout d’abord, quand les Révolutionnaires français envahissent l’Allemagne ils sont accueillis comme des libérateurs.
En effet, l’Allemagne appelée alors Saint Empire était devisé en plus de 300 états. Quand les révolutionnaires français envahissent
l’ensemble de ces états, ils ont très bien accueilli car ils chassent les rois et les seigneurs qui les gouvernaient. Ils apportent de
nouvelles libertés, les droits de l’Homme, c’est à dire toutes les idées de la Révolution française. Les Français regroupent une partie
des 300 états du Saint Empire sauf la Prusse, dans un seul et même pays : La Confédération du Rhin.
Par exemple, Goethe, un grand écrivain allemand écrit dans son livre Hermann et Dorothée : « des bandes de Français en armes
approchaient, mais elles ne semblaient apporter qu’union et amitiés. Ils plantèrent gaiement les arbres joyeux de la liberté. ». Cet
extrait de texte démontre bien que les Français furent bien accueillis quand ils envahirent le Saint Empire.
Cependant à partir de 1806, les Français se comportent comme des occupants, sans respecter les libertés qu’ils disaient apporter.
En effet, les Française se mettent à piller le pays, à ne pas respecter les droits des peuples allemands. Les Allemands se mettent
alors à détester les Français qui les occupent et se révoltent contre eux.
Par exemple, toujours dans le livre de Goethe,
Hermann et Dorothée
, il écrit : « Ils nous pillèrent ; ils ne semblaient n’avoir de
crainte que de laisser échapper quelques chose de ce pillage. Chacun de nous jura de venger tant d’injures et la perte amère d’une
espérance. » On voit donc bien que les Français ne sont plus perçus comme des libérateurs mais comme des pilleurs.
En conséquence, face à l’envahisseur français, les peuples des 300 états du Saint Empire prennent conscience d’appartenir à un
même peuple.
En effet, les peuples allemands, avec cet ennemi commun que sont les Français, s’unissent et se sentent appartenir à un même
peuple, à une même nation. Un sentiment national se développe, c’est à dire un sentiment d’appartenir à un même peuple, à une même
nation qui a en commun une langue, une culture et une volonté de vivre ensemble dans un même pays.
Cependant, cette volonté de vivre dans un même pays est nié par le Congrès de Vienne puisque en 1815 les puissances vainqueurs de
Napoléon décident de diviser à nouveaux le peuple allemand en plusieurs dizaines de pays.
Par exemple, un Allemand Ernst Moritz Arndt écrit : « Qu’on ne parle plus d’Autriche et de Prusse, de Bavière et de Tyrol, De Saxe
et de Westphalie mais de l’Allemagne. Où tout Français est l’ennemi, Où tout Allemand est un ami ». Cela démontre bien que les
Allemands prennent conscience d’appartenir à un même pays face à l’ennemi français.
Texte de Zoé
Tout d’abord, quand les Révolutionnaires français envahissent l’Allemagne ils sont accueillis comme des libérateurs. L’Allemagne
appelée alors Saint Empire était devisé en plus de 300 états. Quand les révolutionnaires français envahissent l’ensemble de ces
états, ils ont très bien accueilli car ils chassent les rois et les seigneurs qui les gouvernaient. Ils apportent de nouvelles libertés, les
droits de l’Homme, c’est à dire toutes les idées de la Révolution française. Les Français regroupent une partie des 300 états du
Saint Empire sauf la Prusse, dans un seul et même pays : La Confédération du Rhin. Goethe, un grand écrivain allemand écrit dans
son livre Hermann et Dorothée : « des bandes de Français en armes approchaient, mais elles ne semblaient apporter qu’union et
amitiés. Ils plantèrent gaiement les arbres joyeux de la liberté. ». Cet extrait de texte démontre bien que les Français furent bien
accueillis quand ils envahirent le Saint Empire. Cependant à partir de 1806, les Français se comportent comme des occupants, sans
respecter les libertés qu’ils disaient apporter. Les Français se mettent à piller le pays, à ne pas respecter les droits des peuples
allemands. Les Allemands se mettent alors à détester les Français qui les occupent et se révoltent contre eux. Par exemple,
toujours dans le livre de Goethe, Hermann et Dorothée, il écrit : « Ils nous pillèrent ; ils ne semblaient n’avoir de crainte que de
laisser échapper quelques chose de ce pillage. Chacun de nous jura de venger tant d’injures et la perte amère d’une espérance. » En
conséquence, face à l’envahisseur français, les peuples des 300 états du Saint Empire prennent conscience d’appartenir à un même
peuple. Les peuples allemands, avec cet ennemi commun que sont les Français, s’unissent et se sentent appartenir à un même peuple,
à une même nation. Un sentiment national se développe, c’est à dire un sentiment d’appartenir à un même peuple, à une même nation
qui ont en commun une langue, une culture et une volonté de vivre ensemble dans un même pays. Cependant, cette volonté de vivre
dans un même pays est nié par le Congrès de Vienne puisque en 1815 les puissances vainqueur de Napoléon décident de diviser à
nouveaux le peuple allemand en plusieurs dizaines de pays.
Un Allemand Ernst Moritz Arndt écrit : « Qu’on ne parle plus d’Autriche et de Prusse, de Bavière et de Tyrol, De Saxe et de
Westphalie mais de l’Allemagne. Où tout Français est l’ennemi, Où tout Allemand est un ami ». Cela démontre bien que les Allemands
prennent conscience d’appartenir à un même pays face à l’ennemi français.