J`ai une hépatite C et une infection par le VIH, je

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“J’ai une hépatite C
et une infection par le VIH,
je me pose des questions”
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1
L’hépatite chronique C, qu’est-ce que c’est ?
2
Comment peut-on être contaminé par le VIH et le VHC
en même temps ?
3
Est-ce que l’hépatite C entraîne des symptômes
particuliers ?
4
Est-ce que mon hépatite C va aggraver mon
infection par le VIH ?
5
Est-ce que mon infection par le VIH va aggraver
mon hépatite C ?
6
Est-ce que mon hépatite C peut guérir même si
je suis infecté(e) par le VIH ?
(
7
Comment traite-t-on une hépatite C ?
8
Comment suit-on une hépatite C ?
9
Est-ce que je peux prendre mon traitement contre le VIH
en même temps que celui de l’hépatite C ?
10
Est-ce que mon traitement contre l’hépatite C va modifier
celui du VIH ?
Glossaire des abréviations
Adresses utiles
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Document réalisé en collaboration avec
190 bd de Charonne - 75020 Paris
Tél. : 01 43 67 26 40 – Fax : 01 43 67 26 84
www.soshepatites.org
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1
L’hépatite chronique C qu’est-ce que c’est ?
L’hépatite C est une maladie au cours de laquelle les cellules
du foie sont abîmées, voire détruites par un virus : le virus de
l’hépatite (VHC).
Cette atteinte des cellules peut entraîner la formation d’une
“cicatrice”, appelée fibrose, qui peut évoluer vers la cirrhose
(désorganisation de l’architecture du foie). La cirrhose peut
entraîner des complications pouvant être graves, et peut parfois
évoluer vers un cancer du foie.
L’hépatite est dite chronique lorsqu’elle persiste au-delà
de six mois après l’entrée du virus dans l’organisme.
2
Comment peut-on être contaminé
par le VIH et le VHC en même temps ?
La co-infection par le VIH et le VHC est fréquente du fait des voies de transmission communes aux
2 virus. L’infection par le VHC touche ainsi 24 % des personnes infectées par le VIH.
Actuellement, ce sont essentiellement des personnes qui sont usagers de drogues
intraveineuses ou qui l’ont été, même occasionnellement.
La contamination par le VHC se fait par contact direct entre
le sang d’une personne infectée et le sang d’une personne
non infectée : transfusion de sang, transplantation,
opération chirurgicale réalisées avant 1992, toxicomanie
intraveineuse (partage d’une seringue et/ou de tout
le matériel de préparation à l’injection (“shoot”) c'est-àdire cuillère, coton, récipient…) et par voie nasale
(partage d’une paille pour sniffer), tatouages et piercings
si utilisation de matériel à usage non unique et/ou mal
stérilisé, piqûre accidentelle en milieu médical,
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acupuncture si utilisation d’aiguille à usage non unique et/ou mal stérilisée, endoscopie si utilisation de
matériel mal stérilisé, partage d’objets usuels avec une personne de l’entourage contaminée (rasoir,
brosse à dents, coupe-ongles…).
Contrairement au VIH, la transmission sexuelle du VHC est très rare car le VHC n’a pas été retrouvé
dans les sécrétions vaginales, les spermatozoïdes, ni le sperme. Néanmoins, cette transmission est
possible lors de rapports sexuels traumatiques non protégés entraînant des saignements, même minimes,
(pratiques dites “hard” : “fist fucking”, utilisation d’objets…) ou lors de rapports pendant les règles.
Le risque pour la femme enceinte de transmettre le VHC à son enfant est très élevé (20 %) en cas de
co-infection avec le VIH (3 % en cas de mono-infection VHC), et c’est probablement au moment
de l’accouchement que se fait la transmission.
3
Est-ce que l’hépatite C entraîne
des symptômes particuliers ?
Non, bien souvent l’infection initiale (hépatite aiguë) passe inaperçue.
Mais parfois, on peut avoir des symptômes ressemblant plutôt à
une grippe : fatigue prolongée et inexpliquée, fièvre, courbatures,
maux de tête. De l’urticaire ou des démangeaisons, une perte d’appétit,
des nausées ou encore un état dépressif (tristesse, pleurs inexpliqués,
idées noires…) peuvent aussi être rencontrés. Le symptôme de
l’hépatite aiguë le plus reconnaissable est l’ictère (jaunisse), mais il
n’apparaît qu’une fois sur dix.
Lorsque l’hépatite devient chronique, le principal symptôme
reste un état de fatigue prolongé et inexpliqué qui peut entraîner
une dépression. Cependant, on peut ressentir aussi, comme pour
l’hépatite aiguë, des troubles anxieux (irritabilité, insomnie…),
des troubles dépressifs, des problèmes cutanés…
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4
Est-ce que mon hépatite C
va aggraver mon infection par le VIH ?
Non, il semble que l’hépatite C n’ait pas d’influence sur la progression de l’infection par le VIH.
5
Est-ce que mon infection par le VIH
va aggraver mon hépatite C ?
Oui. L’infection par le VIH a un effet négatif sur l’hépatite C. Chez les malades
co-infectés VIH-VHC, on constate qu’il existe :
• une augmentation de la sévérité des lésions au niveau du foie
et de la vitesse de propagation de la fibrose. On retrouve ainsi un taux 2 à 5 fois plus élévé de
cirrhose chez une personne co-infectée ainsi qu’un délai d’apparition plus court de la cirrhose
(7 à 14 ans au lieu de 20 ans) ;
• une augmentation de la charge virale du VHC (quantité de VHC détectée dans le sang).
6
Est-ce que mon hépatite C peut guérir
même si je suis infecté(e) par le VIH ?
Oui, il est possible de guérir de son hépatite C lorsque l’on est co-infecté VIH-VHC. Aujourd’hui,
les traitements (1 injection par semaine + un traitement quotidien par voie orale) permettent d’obtenir
des taux de guérison importants, presque similaires à ceux des malades mono-infectés VHC. Pour
parvenir à la guérison, les deux principaux objectifs du traitement sont :
• éliminer le virus du corps : tant que le virus est présent dans l’organisme, il continue de se
multiplier, dégrade le foie et l’on peut toujours le transmettre à quelqu’un. Avec le traitement
anti-VHC, on va chercher à obtenir une charge virale indétectable (c’est-à-dire une absence de
VHC détecté dans le sang) et l’on considère que la personne est guérie si la charge virale est
toujours indétectable 24 semaines (6 mois) après l’arrêt du traitement.
Cependant attention ! Même si l’on guérit de son hépatite C, il est important de continuer
à être suivi si le stade de fibrose est sévère et de respecter des mesures de prévention
afin d’éviter toute recontamination par le VHC après un traitement réussi.
• contrôler la maladie hépatique pour éviter la dégradation du foie : diminuer
la progression de la fibrose et éviter la survenue d’une cirrhose et d’un cancer du foie.
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Comment traite-t-on une hépatite C ?
Actuellement, le traitement de référence de l’hépatite chronique C est une association de deux médicaments
(bithérapie antivirale) : l’interféron pégylé et la ribavirine. Chez les personnes co-infectées VIH-VHC,
ce traitement devra être suivi durant 48 semaines, voire 72 semaines dans certains cas.
• L’interféron pégylé
L’interféron est une substance de défense naturelle, déjà produite par l’organisme lui-même, qui s’attaque
directement au virus (activité antivirale) et stimule aussi le système immunitaire. L’interféron pégylé actuel
permet d’augmenter de manière significative le taux de guérison par rapport à l’interféron classique.
• La ribavirine
C’est un médicament antiviral qui se prend par voie orale deux fois par jour. L’association de l’interféron
pégylé et de la ribavirine permet d’augmenter le taux de réussite du traitement
en renforçant très fortement l’action de l’interféron.
Pour les effets secondaires liés au traitement, leur gestion et le suivi
nécessaire au cours du traitement, se reporter à l’Hépatite Conseil n° 3.
Des facteurs favorisant la guérison de l’hépatite ont été mis en évidence chez les personnes
co-infectées VIH-VHC :
• être infecté(e) par un VHC de génotype 2 ou 3 ;
• avoir une faible quantité de virus dans le sang (charge virale VHC peu élevée) ;
• ne pas présenter de cirrhose ;
• être âgé de moins de 40 ans ;
• avoir un taux de transaminases (ALAT) élevé (ce sont
des enzymes libérées par le foie lorsqu’il souffre) ;
• ne pas consommer d’alcool sauf à titre exceptionnel. Au-delà
de 4 verres d’alcool par jour pour un homme et 2 verres par jour
pour une femme, une cirrhose alcoolique peut survenir ;
• s’en tenir à une très bonne observance au traitement.
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Comment suit-on une hépatite C ?
• En l’absence de traitement
Une évaluation de la fibrose sera réalisée au moins tous les ans pour surveiller l’évolution de l’hépatite C et
une prise de sang vérifiera les transaminases (enzymes libérées par les cellules du foie en cas de
souffrance hépatique). Pour les malades ayant une fibrose sévère ou une cirrhose, une échographie
du foie sera réalisée au moins deux fois par an pour dépister d’éventuelles complications, comme le cancer.
Une prise de sang devra également être réalisée deux fois par an pour mesurer la quantité d’alpha-fœtoprotéine
qui est un marqueur tumoral (substance qui augmente au cours de certains cancers dont le cancer du foie).
• En traitement
Une évaluation sera effectuée aux semaines 4, 12, 24, 48 pour suivre l’évolution de la charge virale VHC. Si la
charge virale n’a pas suffisamment diminué aux semaines 4 et 12, le médecin pourra proposer un allongement
de la durée du traitement à 72 semaines, dans le but de maximiser les chances de guérison.
Une prise de sang sera réalisée tous les 2 mois pour évaluer la tolérance du traitement.
Vingt-quatre semaines (6 mois) après l’arrêt du traitement, une nouvelle évaluation de la charge virale sera
réalisée pour confirmer la réussite du traitement (charge virale indétectable) ou mettre en évidence
une rechute (dans ce cas, la charge virale VHC sera de nouveau détectable dans le sang).
Aujourd’hui, le suivi d’un patient co-infecté sous traitement est le même que celui
d’un patient mono-infecté.
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Est-ce que je peux prendre mon traitement
contre le VIH en même temps
que celui de l’hépatite C ?
Oui. Associer les deux traitements est possible. Cependant, il est parfois
nécessaire de modifier le traitement antirétroviral pour éviter les interactions
médicamenteuses avec le traitement anti-VHC (voir question n° 10). Dans certains cas,
l’association des deux traitements peut augmenter les effets secondaires. La décision de
traiter votre hépatite C sera donc discutée avec vous, mais compte tenu d’une évolution plus
rapide de la fibrose chez les personnes infectées par le VIH, le traitement anti-VHC est
largement recommandé. Deux cas de figures peuvent se présenter :
• vous ne prenez pas de traitement antirétroviral (anti-VIH) lorsque votre hépatite C
est diagnostiquée : le traitement anti-VHC est recommandé en premier, sauf si votre taux
de lymphocytes CD4 est inférieur à 200/mm3 car dans ce cas, c’est le traitement anti-VIH
qui est prioritaire. Le traitement anti-VHC sera quant à lui débuté lorsque le taux de CD4 sera remonté ;
• votre traitement antirétroviral est en cours lorsque votre hépatite C est diagnostiquée :
le traitement anti-VHC pourra être débuté en tenant compte du taux de CD4 et des éventuels effets
indésirables liés aux interactions avec le traitement antirétroviral.
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Est-ce que mon traitement contre
l’hépatite C va modifier celui du VIH ?
Le traitement anti-VHC peut entraîner des interactions avec certains antirétroviraux
du traitement anti-VIH :
• l’association interféron pégylé + ribavirine peut augmenter le risque d’apparition
d’anémie (baisse des globules rouges) chez les personnes traitées par de l’AZT (zidovudine ou
Rétrovir®, molécule également présente dans les combinaisons Combivir® et Trizivir®). Cette
association n’est donc pas recommandée ;
• les associations ribavirine + ddI (didanosine ou Videx®) et ribavirine + d4T (stavudine
ou Zerit®) sont fortement déconseillées car elles risquent d’entraîner une pancréatite
aiguë (inflammation du pancréas) et/ou une toxicité mitochondriale (action toxique
sur l’activité des cellules).
Par ailleurs, certains traitements antirétroviraux (abacavir ou Ziagen®, molécule également
présente dans les combinaisons Kivexa® et Trizivir®, névirapine ou Viramune®, efavirenz ou
Sustiva®, antiprotéases) peuvent être toxiques pour le foie et doivent être pris avec précaution et
sous surveillance biologique. L’efavirenz (Sustiva®) peut aussi entraîner des troubles psychiatriques
(dépression, troubles du sommeil…) qui pourraient se cumuler avec ceux de la bithérapie anti-VHC.
Donc, si le traitement antirétroviral comprend l’un de ces médicaments au moment de l’initiation
du traitement anti-VHC, le médecin sera peut-être amené à le modifier avant son instauration.
Glossaire
ALAT : ALanine AminoTransférase (enzyme du foie)
CD4 : Lymphocyte CD4
VHC : Virus de l’Hépatite C
VIH : Virus de l’Immunodéficience Humaine
Co-infection VIH-VHC : infection à la fois par le VIH et le VHC
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Information et soutien des proches
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sont des facteurs déterminants du succès du traitement
et de la qualité de vie des patients”
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SOS HEPATITES FEDERATION
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E-mail : [email protected]
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SOS HEPATITES FRANCHE-COMTE
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SOS HEPATITES RHÔNE-ALPES
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SOS HEPATITES MAGHREB (MAROC, ALGERIE, TUNISIE, LYBIE)
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ARCAT
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Site internet : www.arcat-sante.org
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Adresses internet et numéros utiles
SIDA INFO DROIT
Tél : 0 810 636 636 (pour répondre aux questions
juridiques et sociales liées au VIH/sida)
E-mail : www.sida-info-service.org
INPES (Institut national de prévention
et d’éducation pour la santé)
E-mail : www.inpes.sante.fr (des brochures
peuvent être téléchargées sur le site)
DROGUES INFO SERVICE
Tél : 0 800 23 13 13 (7j/7 de 8 h à 2 h,
appel anonyme et gratuit)
ECOUTE ALCOOL
Tél : 0 811 91 30 30 (depuis un poste fixe)
ou 01 70 23 13 13 (depuis un portable)
(14 h à 2 h, prix d’un appel local)
AIDES
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ACTIONS TRAITEMENTS
E-mail : www.actions-traitements.org
ACT-UP PARIS
E-mail : www.actupparis.org
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CRIPS (Centres régionaux d’information
et de prévention du sida)
E-mail : www.lecrips.net
SIDA INFO SERVICE
Tél : 0 800 840 800 (24h/24, confidentiel,
anonyme et gratuit)
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HEPATITES INFO SERVICE
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anonyme et gratuit)
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Notes
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Hépatite : le patient avant tout !
Vous aider à mieux comprendre votre infection et votre traitement, vous rappeler en termes
simples et illustrés l’information délivrée par votre médecin, vous accompagner sur la voie de la guérison,
tels sont les objectifs de cette collection Hépatite Conseil.
Réalisé en collaboration avec SOS Hépatites et ARCAT, Hépatite Conseil vous propose d’aborder
les aspects pratiques de votre vie quotidienne autour de trois grandes rubriques :
“Ma maladie”
“Mon traitement”
“Ma vie sociale”
Pour que vous puissiez trouver, à travers chaque thème, les réponses aux questions que vous vous posez et les moyens
d’améliorer votre qualité de vie durant la maladie, notamment tout au long du traitement.
Dans la même collection
n° 1.
“Mon foie et le virus de l’Hépatite C”
n° 6.
“Questions d’assurance pour emprunter”
n° 2.
“Ce que doivent savoir mes proches”
n° 7.
n° 3.
“Les effets indésirables du traitement de l’hépatite
chronique C et des petits trucs pour les soulager…”
“Hépatite chronique B : quelques notions pour mieux
connaître ma maladie”
n° 8.
“Hépatites virales chroniques : faciliter mes démarches...”
n° 4.
“Pourquoi faut-il que je me soigne ?”
n° 9.
n° 5.
“Comprendre mes analyses biologiques”
“J’ai une hépatite C et une infection par le VIH,
je me pose des questions”
9 782916 641263
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ISSN : 1766-7836
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ISBN : 978-2-916641-26-3
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