Animation de centre ville - Maison de l`Entrepreneur

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Animation de
centre ville
Cahier d’inspiration
Sommaire
AXES DE RECHERCHE
Page 2
a. Nouvelles technologies pour dynamiser et interagir
Page 3
b. L’art, animateur de centre ville
Page 10
c. Les marques font leur show Page 16
d. Transporter c’est animer
Page 22
e. Des jeux pour découvrir et faire du shopping en s’amusant
Page 26
f. Les services +++
Page 30
Positionnement
1
Virtuel/Réel
CONNEXION
Technologies
3
Extrait...
Exemples
«Commerce, outils mobiles et mobilité des consommateurs
La première évolution possible est liée à l’accroissement des outils mobiles de communication (plus répandus que l’ordinateur) et au développement
d’achats en situation de mobilité. On avait imaginé au début des années 2000 un consommateur faisant ses courses « en pantoufles». Avec l’explosion des
technologies liées à la mobilité, la consommation peut s’effectuer en tout lieu (et plus seulement le magasin ou le domicile) et donner lieu à des pratiques nouvelles d’accès aux produits et aux services. Le défi pour le commerce qu’il soit électronique ou non se situe en partie dans sa capacité à suivre
le consommateur dans sa mobilité et dans ses usages. On peut notamment imaginer un besoin d’instantanéité croissant de la part des consommateurs : je
veux pouvoir avoir accès au maximum de biens et de services, n’importe quand et n’importe où, mais tout de suite.
Les technologies de géo-localisation et donc la capacité à suivre les consommateurs dans leur mobilité existent. Mais elles sont encore très peu utilisées
par les commerçants. Plusieurs freins à cela : l’absence de modèles économiques, le problème de partage de la valeur entre les différents acteurs (opérateurs téléphoniques, fournisseurs de contenus et commerçants) et enfin le niveau d’acceptabilité par le consommateur.
Le deuxième frein concerne la logistique. Car le besoin d’instantanéité se heurte à un paradoxe : si le consommateur peut acheter n’importe où et n’importe
quand, il ne peut pas encore être livré n’importe où de n’importe quoi, ceci à l’exception évidemment du cas des biens immatériels. L’exigence en terme
de rapidité et fiabilité de la livraison est très élevé. Les réponses apportées en la matière restent encore timides.
Entre virtuel et réel : le retour à des logiques de proximité
Pour un certain nombre de biens, la décision d’achat est le simple résultat de la phase de recherche d’informations. Il suffit de comparer les informations
collectées, voire de faire appel à un outil automatisant la sélection de l’offre (comparateur de prix). Tout cela peut se passer sur le Net. Mais le commerce
de nombreux biens et services implique le maintien d’une interaction physique entre acheteurs et vendeurs parce que :
- le bien l’exige : il faut pouvoir toucher ou visualiser physiquement le bien (tissu, maison…) ou un contact interpersonnel est nécessaire pour réaliser un
service ou une partie du service (coiffure, médecine, enseignement, maintenance, conseil…) ;
- la transaction repose sur un processus complexe d’aide à la décision ou une négociation implique des rapports interpersonnels (cas où il est difficile
d’objectiver le transfert du droit de propriété par une routine) ;
- le vendeur a un intérêt stratégique à conserver un contact physique avec ses clients.
La deuxième évolution possible, pourrait donc être un retour à des logiques de proximité. Proximité s’entend ici à la fois comme la proximité géographique,
la proximité physique et la proximité sociale. Ce besoin de proximité pourrait trouver une réponse dans l’hybridation du réel et du virtuel dans la façon
de commercer et de consommer : un retour à des logiques de proximité qui intégrerait les technologies numériques. A la croisée du réel et du virtuel, on
peut donc envisager de nouvelles formes et localisations de magasins qui répondent à ces besoins de proximités. Certains distributeurs imaginent déjà les
magasins de demain. « (Alain Raillet - CCIP)
Fantastique animation en réalité augmentée
RECOMPENSER LA BONNE INTENTION PARTAGÉE
Pour animer les produits, intégrer un zoo virtuel dans les quartiers marchands....
Sur un écran géant, les passants se voient interagir avec des lions, des dinosaures, et autres visiteurs inattendus! Et le rendu est excellent. Un très bon exemple du caractère très impliquant que peut prendre une installation de réalité augmentée quand elle est bien
pensée et bien réalisée! On imagine avec envie la même chose, dans quelques années, en remplaçant l’écran géant par des lunettes…
http://www.smart-store.fr/
A voir : http://augmentedmedia.net/2011/11/09/fantastique-animation-de-centre-commercial-en-realite-augmentee-par-national-geographic
Danemark : le chocolatier Anthon Berg invente le “magasin généreux”
Pour promouvoir ses chocolats, l’enseigne a ouvert un pop up store
inédit à Copenhague. L’originalité ? Ses produits ne présentaient aucun
prix…
Le chocolatier danois Anthon Berg a réussi son pari. Durant une journée
en mars, il a ouvert “The Generous Store” à Copenhague, un pop up
store au concept inédit : il remplace les prix de ses boîtes de chocolats
par des douces attentions envers des proches. Par exemple : “Parlez
gentiment à sa maman pendant une semaine” ou “Offrez le petit-déjeuner à l’être aimé”.
Pour emporter sa boîte de confiseries, chaque client devait se connecter
en boutique sur un iPad pour envoyer sa promesse à un ami sur Facebook. Une belle campagne virale qui a remporté un franc succès auprès
des consommateurs danois.
A imaginer : Produits et enseignes mis en scène en RA, images inédites à emporter,...
A imaginer pour l’ensemble des magasins du centre ville sur un week
end, une semaine ?
4
http://www.e-marketing.fr/Brèves/Danemark-le-chocolatier-AnthonBerg-invente-le-magasin-genereux-45341.htm
5
Exemples
Des cintres pour les commerces de vêtements !
6
Pour choisir votre prochain pantalon, consultez l’avis des foules, grâce au cintre Facebook. Non, ce n’est pas une blague, le cintre électronique existe. C’est même la dernière
innovation “sociale” de l’enseigne anglaise C&A, qui cherche visiblement à dépoussiérer
ses espaces de vente. Le choc s’annonce sévère, car si le concept rencontre son public,
il faudra bientôt s’habituer à voir son choix guidé par la cyberpopularité des vêtements
exposés en magasin. Ces cintres venus d’ailleurs – et actuellement expérimentés au
Brésil – affichent une cote de popularité calculée
grâce à Facebook. Vous connaissez ainsi, et sans l’avoir demandé, l’avis des foules. Un
peu comme si vous faisiez appel au vote du public avant de choisir votre prochain chemisier. Pour faire simple, le catalogue de la marque est consultable via une application
Facebook. Chaque utilisateur cliquant sur le bouton “like” présent auprès des vêtements
présentés fait augmenter, en temps réel, la cote de popularité de ces derniers. Le nombre
de “votes” s’affiche tout simplement sur un écran incrusté dans le cintre.
http://www.themavision.fr/jcms/rw_313979/lobjet-communicant-au-service-du-commercant-connecte?portal=c_107772
Boutique - Laboratoire
QR codes et commerce mobile : une initiative très performante en Corée
Pour augmenter ses ventes sans augmenter le nombre de ses magasins, Tesco, la deuxième chaine de supermarchés
coréenne, a eu l’idée de placer des présentoirs virtuels dans les stations de métro. L’effet a semble-t-il été spectaculaire! L’idée est donc de présenter sur les murs des stations de métro (sous réserve qu’on puisse s’y connecter à
Internet), des affiches reproduisant à l’identique des présentoirs de supermarché. A chaque produit est associé un
QR-code. Lorsque le passager, en attente de son métro, scanne un code, il ouvre une page de commande sur son
mobile, choisit la quantité, paye en ligne, et les produits sont livrés chez lui. Simple, économique, et apparemment
efficace, puisque cette initiative est supposée avoir permis à cette chaine de magasins d’augmenter ses ventes en
ligne de 130% et de prendre ainsi la première place en commerce mobile.
http://augmentedmedia.net/2011/06/22/qr-codes-et-commerce-mobile-une-initiative-tres-performante-en-coree
Emart - Campagne publicitaire solaire
L’agence publicitaire Cheil a imaginé une campagne publicitaire innovante pour l’enseigne de grande distribution coréenne Emart.
Pour attirer les consommateurs entre midi et 13 heures, horaire habituellement
dévolu au déjeuner qui vide les magasins, les concepteurs se sont fendus d’une
première mondiale : une oeuvre abstraite, placée en 36 endroits de Séoul, qui ne
délivre son message qu’entre 12h et 13h, grâce au soleil et au jeu d’ombres et de
lumières.
A l’heure dite, un code QR apparaissait et il suffisait, aux clients présents de scanner
le code avec leur smartphone pour recevoir un bon d’achat échangeable dans tous
les magasins de l’enseigne. Ils avaient également la possibilité de commander via
leur mobile pour se faire livre le colis à domicile.
Emart se réjouit de la réussite de l’action «Sunny sale», 12 000 bons d’achat employés et une augmentation de près de 25 % des ventes à l’heure du déjeuner.
http://www.terrafemina.com/société/buzz/articles/13576-emart-une-campagnepublicitaire-solaire.html
Cabine virtuelle mutualisée
La cabine virtuelle ou «miroir magique» capte l’image du client, et l’habille d’une panoplie sans oublier de suggérer la bonne taille. L’image peut être ensuite envoyée sur Facebook, pour demander aux proches ce qu’ils en pensent.
La clientèle «verte» n’a également pas été oubliée. Avec un smartphone, le client peut flasher une étiquette et accéder
à des informations sur l’article: composition, empreinte écologique, avis de consommateurs, éventuelle incompatibilité
avec ses allergies...
http://www.letelegramme.com/ig/générales/économie/commerce-bienvenue-dans-la-boutique-du-futur-19-11-2011-1503963.php
http://www.actinnovation.com/innovation-technologie/realite-augmentee-une-cabine-dessayagevirtueldans-un-magasin-de-moscou-2211.html
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Exemples
Mobilier urbain intelligent
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Faire ses courses plus vite grâce à un paiement hors caisse ?
Une application mobile pour attraper des avantages dans les commerces
LE MOBILE EN TERMINAL DE PAIEMENT ÉLECTRONIQUE POUR LES CARTES BANCAIRES
I Love Velvet et Lightspeed Mobile se présentent comme deux fournisseurs de ces technologies. La
société américaine I Love Velvet propose des boitiers qui se positionnent au dos d’un iPhone, iPod
ou iPad et qui permettent différentes opérations comme la lecture des pistes magnétiquesdes
cartes bleues et des cartes de fidélité ou des lectures de cartes à puce, ou encore de scanner des
code-barres. Elle utilise les fonctionnalités logicielles des matériels d’Apple pour proposer des
aides à la vente. I Love Velvet a présenté son applicatif de paiement et une carte de fidélisation
sans contact développés pour Nespresso qui seront lancés très bientôt sur quelques points de
vente aux Etats-Unis. Lightspeed Mobile utilise comme slogan «meet your customer» (Rencontrez
votre client). En utilisant également la technologie Apple, Lightspeed Mobile offre au personnel du
point de vente au détail la possibilité d’interagir avec les clients partout dans le magasin via une
connexion Wi-Fi, 3G ou connexion VPN pour créer de nouvelles factures, procéder à des
recherches inventaires, sélectionner un client et effectuer le traitement des paiements par carte de
crédit. Lightspeed Mobile insiste dans sa démonstration sur la facilité d’utilisation de la technologie
par le vendeur.
www.i lovevelvet .com
!iButterfly est une application iPhone japonaise de réalité augmentée pour capturer des coupons sous
forme de papillon !! En utilisant le capteur de mouvement, les gens seront en mesure de profiter de la
capture de coupon et cela physiquement pour obtenir de l’information utile, des contenus, et des coupons.
L’application disponible sur le Store en japonais est une réussite et va permettre dans un avenir proche de
faire des campagnes marketing en chassant le papillon....... (images et vidéo ci-dessous) Conception de
l’application Dentsu
http://www.servicesmobiles.fr/services_mobiles/2010/02/ibutterfly-application-iphone-japonaise-deréalité-augmentée-pour-capturer-des-coupons-.html
Doté de nouvelles fonctions sans pour autant empiéter davantage sur les espaces publics : le
mobilier urbain devient de plus en plus intelligent.
Plaques de rues dotées d’un écran, bornes d’orientation distribuant les journaux, bancs équipés de
panneaux solaires pour recharger les téléphones mobiles, abribus-consignes… Le mobilier urbain
gagne en intelligence. Pour les concepteurs et les gestionnaires, le cahier des charges est des plus
clairs : il s’agit de valoriser les espaces publics en répondant à des besoins de plus en plus
diversifiés. Bref, vive le mobilier urbain “deux en un” ! Partout dans le monde fleurissent des
modules plurifonctionnels, intégrant le plus souvent les nouvelles technologies.
En Hongrie, les ministères de la Santé et de l’Intérieur se sont associés pour promouvoir
l’installation à Budapest de totems intégrant un défibrillateur automatisé. Ce sandwich numérique,
qui ressemble à un panneau publicitaire double face, est composé de deux bornes interactives
délivrant des contenus publicitaires ainsi que toute l’information nécessaire à l’utilisation de
l’appareil de soin.
À New York, Nokia, Google et Orange expérimentent des abribus offrant une connectique WiFi. Les
citadins peuvent y télécharger gratuitement des sonneries et des applications offertes par les
annonceurs partenaires.
À Barcelone, le centre commercial La Maquinista a récemment inauguré le premier service de
géolocalisation indoor pour le grand public. Conçue par la société Insiteo, l’application permet aux
détenteurs de téléphone mobile de se situer dans l’espace, de trouver leurs boutiques préférées,
de dénicher telle ou telle marque, de calculer un itinéraire ou encore d’accéder à des services
divers (ascenseurs, distributeurs de billets…).
C’est une déclinaison plus ludique qu’a retenue la ville de Copenhague : un banc public interactif,
conçu par le bureau d’architectes danois MAPT. Entre 17H et 22H, au passage des citadins, le
mobilier change de couleur et s’habille d’animations lumineuses. Objectif visé : inviter les passants
à jouer, bouger et expérimenter l’espace urbain d’une nouvelle manière.
Exemple : Le Banc interactif à Copenhague
http://www.youtube.com/watch?v=8Fm3OuFX3ao
Mobilier urbain intelligent Paris
http://www.paris.fr/pratique/Portal.lut?page_id=9959&document_type_id=4&document_
id=105585&portlet_id=24868
9
Extraits...
Et si les lieux culturels devenaient aussi des médias pour les
créateurs et marques ?
En 2012, Euromonitor International, une firme de recherche stratégique sur les grands marchés de consommation, prévoit qu’il y aura
3,7 milliards de citadins dans le monde, et ce nombre continuera d’augmenter, tant dans les métropoles traditionnelles, comme New York, que
dans de nouvelles agglomérations. Une large part de ces néo-urbains
se situent au «bas de la pyramide». Ils disposent d’un revenu disponible
inférieur à la moyenne, mais aspirent à une consommation élevée.
Ces mégalopoles constituent de véritables plaques tournantes, composées à la fois de nouveaux groupes ethniques et de communautés bien
installées, de personnes âgées, d’étudiants, de travailleurs migrants
hautement qualifiés et à faible revenu, de LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) ainsi que de ménages intergénérationnels.
En raison de la pollution et de la surpopulation, les questions écologiques et le développement durable sont incontournables pour les
consommateurs, d’où leur intérêt grandissant pour l’agriculture urbaine, le vélo, le covoiturage et l’auto électrique.
La culture joue un rôle croissant dans l’expérience de la consommation.
Les lieux culturels servent de courroie de transmission pour le placement de produits. Par exemple, le Musée d’art contemporain de Shanghai a accueilli l’exposition Culture Chanel, qui visait à faire découvrir
Coco Chanel à un public
chinois plus large. Lors
de l’exposition Reebok
du musée des Arts décoratifs, à Paris, le visiteur
pouvait tester une nouvelle chaussure durant sa visite, le musée se transformant ainsi en
espace publicitaire.
Archigraphik, une nouvelle tendance pour les magasins ?
webcam, ou bien encore l’exploitation surdimensionnée des écrans à led qui
produit un effet impressionnant et multidimensionnel.
Quelques exemples internationaux de cette tendance :
• Lisbonne :
Le magasin exclusif de la marque Adidas , Sneakers Delight, customisé et
décoré par des graphistes.
• Balhrain :
La Villa Moda de Marcel Wanders , un Concept Store hyper trendy entre graphisme et décoration.
• Londres :
Le Flagship pour la Fiat 500, qui joue la tendance pop des années 70 avec
un décor très archigraphik par ses adhésifs chromés.
• Londres :
Le Restaurant Inamo que l’on pourrait qualifier d’apogée du graphisme avec
la projection numérique des menus dans des assiettes. Toutes les tables ont
ainsi une couleur, une ambiance et un graphisme différents.
• New-York :
Le Rice to Riches est un restaurant à base de riz. Cette thématique est ainsi
déclinée à travers la vitrine, les tables, les assiettes… et l’ensemble du graphisme tourne autour de cette offre sur le ton de la dérision et de la gourmandise sans limite.
• Paris :
La boutique Alter Mundi joue sur deux faces : le blanc et l’orange. À la différence des boutiques de commerce équitables, Alter Mundi met en avant le
design, ce qui explique ainsi que la notion de commerce équitable sur l’enseigne, sur la vitrine, sur l’intérieur du papier cadeau… ne soit pas lisible de
premier abord.
• Paris :
L’hôtel Le Mama Shelter. Une création du designer Philippe Starck où l’on
retrouve un grand plafond en ardoise proposant un graphisme modulable à
la craie ainsi qu’un grand bar central multi-touch…
• Lyon :
Le Sofitel Bellecour, marqué par la personnalité de l’architecte Patrick Norguet. Impressions numériques sur soie, sur-dimension du motif… Chaque
espace a un décor particulier.
« L’Archigraphik » est une nouvelle tendance pour les magasins et les flaships,
née de la rencontre entre l’architecture, le graphisme, la communication…
Mais de quelle manière cette tendance s’affirme-t-elle comme un moyen de
communication ? Pourquoi un tel développement de l’Archigraphik pour les
marques enseignes et les marques de distribution ? Comment influence-t-elle
le commerce ?
L’Archigraphik est un concept qui repose sur des éléments graphiques et de
communication plus que sur l’architecture et le merchandising.
Explication : de nouveaux territoires d’expression apparaissent alors où la
marque explore la forme des bâtiments eux-mêmes (siège de la société Longaberger, Ohio) ou de manière plus classique, joue sur ses codes couleurs,
la visibilité de son logo… (Ikea, MacDonald, Total...).
“Le développement du libre-service est également un facteur qui a rendu
nécessaire le développement de la signalétique intérieure des magasins. En
prenant l’exemple du traitement particulier des rayons « Boucherie », « Mon
traiteur » ou « La Cave à vins » au sein des grandes surfaces, nous pouvons
constater que la signalétique est devenue de nos jours source de valeurs,
en mettant en avant un métier, ses valeurs et sa différence» selon François
Hannebicque, directeur de création associé de l’agence.
Ainsi la communication dans les points de vente s’est enrichie au fil du temps
de nouvelles missions telles que renforcer la présence et le territoire de la
marque, augmenter les services ou bien encore véhiculer un métier et une
identité par l’Archigraphik.
Si cette tendance a pris un tel élan en quelques années, nous ne pouvons
poursuivre notre approche sans nous pencher sur les différents facteurs
inhérents à l’ampleur de ce développement.
Face à une hyperconsommation de l’enseigne, les magasins doivent trouver
aujourd’hui de nouvelles solutions pour se démarquer et rendre attractifs
leurs points de vente.
Bien que l’échange et la rencontre entre la marque et le client restent le point
c’est essentiellement l’évolution technique actuelle qui permet à l’archigraphik de belles innovations. Naissent alors de ce déploiement des possibilités, de nombreuses impressions surprenantes sur tous types de matériaux :
carton recyclé, aluminium, cuivre, surface courbes, verre, sols souples, parquets, carrelages, plafonds acoustiques, stratifiés...
Source : http://www.admirabledesign.com/Archigraphik-une-nouvelle-tenL’arrivée des écrans dans les points de vente est en phase d’être remplacée dance
par différents supports multi-touch, où le consommateur n’est plus passif
mais peut interagir avec l’élément. D’autres exemples variés apparaissent
également comme les façades de bâtiments qui n’hésitent plus à jouer la
carte des écrans à l’image d’une multitude pixels où les images défilent. La
réalité augmentée qui voit le jour dans les boutiques et permet au consommateur d’essayer un produit de chez lui à l’aide de son iphone et d’une
Positionnement
2
Expérience
Art
Emotion
Unique
Inédit
11
Exemples
12
Boutique - laboratoire
Opéra en plein shopping !
Des avantages à découvrir sur les façades...
Publicité écolo dans les airs
Ils sont plus de 25 peintres appartenant au club artistique villefranchois. Voilà
quelque temps déjà qu’ils envisageaient d’exposer leurs travaux hors des sentiers
battus. Ce sera chose faite à partir de mardi 5 décembre et ce jusqu’au 3 janvier:
24 commerçants fédérés par le GCAV (groupement des artisans et commerçants de
Villefranche) ouvrent leurs portes et leurs vitrines aux toiles des membres du club.
« C’est la première fois qu’une telle initiative est menée. Cela permettra de nous faire
connaître autrement et d’amener l’art un peu partout dans la bastide », note Gaston
Rinn, président du club. De son côté, Francis Garnier à la tête du GCAV souligne: «
Cela va dans la continuité de ce que nous avons entrepris: proposer une animation mensuelle et nous ouvrir vers les autres associations ». Ainsi, aux décorations
de Noël qui égayent les vitrines commerçantes, les natures mortes, les paysages,
les marines et autres compositions abstraites ou figuratives viendront amener leur
touche personnalisée.
Encore une de ces animations impromptues (mais surement très bien préparées) au sein de la vie de tous les
jours, dans un endroit plein de monde. Quelle belle idée !
Partager la musique, qui plus est celle de l’opéra, au coeur d’un marché. Celui de VALENCE en Espagne, le 13 novembre 2009. Des chanteurs d’opéra déguisés en marchands vendaient des fruits et légumes dans les différents
emplacements du marché.
Soudain, des extraits de la Traviata de Verdi se font entendre dans les hauts parleurs du marché et les chanteurs
débutent leur spectacle, sortant l’un après l’autre d’un étal de fruits ou de légumes pour se retrouver au centre du
marché au milieu de la foule.
Ces «spectacles de rues» devraient être bien plus nombreux. Ils génèrent semble-t-il une émotion, des sourires, un
rapprochement des gens que la course quotidienne ne permet plus surtout dans les grands centres urbains.
Chifumi Le street-artiste alsacien lance une tombola urbaine à
Strasbourg, Mulhouse et Colmar
Les Flogos, c’est comme des nuages de mousse poétique qui s’envolent dans les airs avant de s’évanouir. Levez la tête, ces logos éphémères envahissent le sol …le ciel français. Poétique, écologique et ludique, ces logos en
mousse conçue à base d’eau, de savon, d’hélium et d’air comprimé, sont formés à partir de pochoirs spécifiques qui
permettent de créer des formes, typographies, logos. Ces Flogos – qui ont remporté le prix de l’Innovation technique
au salon Heavent à Paris en décembre dernier – voyagent dans le ciel pendant 30 à 40 minutes, avant de disparaître,
sans laisser de trace.
Son vrai nom, Chifumi ne préfère pas le donner. Cette figure de la scène
street-art alsacienne, ancien élève des beaux-arts, prône une part de
clandestinité. Son dernier projet : une tombola urbaine*. Il vient de coller 100 œuvres identifiées par son pseudo, à Strasbourg, Colmar et Mulhouse. Elles contiennent chacune des languettes à tirer, dont certaines
permettent de gagner une sérigraphie limitée.
http://www.buzz2luxe.com/category/slow/
Pourquoi pas avec une finalité dans les commerces ?
www.youtube.com/watch?v=B13k7U-WyK0
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Jouer avec les enseignes et l’art
Une ensigne, un point de vente, une marque, un univers produit... vu et traduit par des artistes et affichés dans la ville comme une oeuvre d’art ou un accessoire utile...
Contact «Cube Latuner» :
Enseignes Buhler
Monsieur Ribka
http://www.enseignes-buhler.com/
ODN
Applications de Graffitis et peintures virtuels
L’Orchestre Documentaire Numérique (O.D.N.) est un dispositif de
création collective développé auprès du public des quartiers sensibles,
qui permet une projection d’images sur plusieurs écrans accompagnée
d’une spatialisation du son. Grâce à un dispositif numérique et des joysticks reliés à un ordinateur central, chacun peut participer activement à
la performance.
En substituant la détection de mouvements aux joysticks, le prototype
Espace permet de faciliter la participation et l’accès à cet événement
aux publics qui ne seraient pas aguerris aux interfaces de jeu vidéo.
http://www.futur-en-seine.fr/prototype/espace-de-lorchestre-numerique/
Cette nouvelle application inventée par le G.R.L. est un dispositif qui permet de tagger virtuellement à distance.
Sa récente démonstration a permis de tracer des tags lumineux sur la façade d’un immeuble à Rotterdam.
L’artiste-taggeur d’immeuble
Cette nouvelle technologie nécessite un PC, une caméra et un laser. L’installation consiste plus précisément en un PC
portable doté d’une caméra captant les mouvements du pointeur laser vert, ce dernier faisant office de bombe de
peinture, avec lequel on peut dessiner (sur un immeuble par exemple). Le motif ainsi formé est projeté sur le bâtiment
avec un vidéo-projecteur haute puissance :
Une technologie qui peut avoir de multiples applications dans l’événementiel, comme par exemple pour créer des
oeuvres collectives, ou animer une soirée.
Le taggeur virtuel
Une version plus compacte (utilisable à l’intérieur) existe avec des systèmes de détection bluetooth. Cette version
peut être utilisée soit avec une vidéo-projection ou avec un écran plasma pour l’affichage des tags.
Extrait
L’époque est aux manifestations «live», aux mouvements de foule et aux expériences communautaires relayées sur les réseaux sociaux. Les marques, en quête de relation, s’emparent de plus en plus de cet outil. Démonstration au
travers d’une sélection d’événements récents.
Le 29 mai 2011, le champion du monde de rollers, Taïg Khris, a fait un saut de 12,50 mètres dans le vide depuis la Tour Eiffel pour battre le record mondial de saut en hauteur. Durant ce week-end, 200 000 personnes étaient au
rendez-vous de ce Mega Jump organisé sur le Champ de Mars. Au total 1,3 million de spectateurs ont assisté à l’événement, diffusé en direct sur W9. Pour l’annonceur M6, cette opération a été un succès médiatique indéniable.
D’autant qu’il a été repris sur les plateformes vidéos, commenté sur les blogs et primé par Le Raffut, prix de la communication événementielle décernée le 6 juillet dernier (lire l’encadré p. 26).
La Casa Barilla, un espace itinérant qui propose notamment des ateliers culinaires.
Cette opération éclaire une des facettes de la communication par l’événement qui prend une place croissante dans les dispositifs des marques. Comme si les entreprises misaient encore plus sur les relations humaines, à l’époque
d’Internet et, jouaient le contact humain, versus les échanges par écrans interposés. Depuis le début des années quatre-vingt-dix, l’événementiel s’est adapté à des contextes et des objectifs de communication très différents. A
l’origine était la convention de forces de vente. C’est sur ce terrain que se sont créées les premières agences comme Market Place ou Extension - devenue Publicis Event. Simultanément, des spécialistes de l’organisation de fêtes
étudiantes ont entrepris de faire de ces moments de détente leur métier. C’est l’origine de l’agence Délires, devenue Le Public Système (par mariage avec l’ex-agence Promo 2000). Depuis, la communication par l’événement a
fait exploser le cadre. Elle s’applique aussi bien à la grande consommation qu’à la communication corporate du secteur banque/assurance. Elle nourrit des stratégies d’image, de relation clients, de distribution, de lancement de
produits. Au même titre que la promotion ou le marketing direct, c’est l’un des leviers d’une stratégie marketing de marque ou d’institution.
Occuper de nouveaux espaces, au plus près des clients
Electrolux Art Home, une opération pour laquelle le chef Gilles Stassart cuisinait pour une douzaine de personnes.
Pour nourrir l’expérience de la marque, les annonceurs font preuve d’une grande inventivité. Ikea, par exemple, a innové en créant l’événement cet été... sur l’autoroute, espace jusqu’à présent ignoré. Durant la deuxième quinzaine
de juillet, le leader mondial du meuble a implanté un hôtel éphémère sur l’aire de Beaune-Tilly (autoroute A6). Avec ses 28 chambres capsules, Ikea offrait un lit aux automobilistes pour une sieste réparatrice de 20 minutes. L’objectif: valoriser l’offre de l’enseigne en inscrivant la marque dans le registre du confort et de la sécurité. « Cette aire de la sieste, nous l’avons imaginée en nous appuyant sur la promesse publicitaire: Ikea améliore votre quotidien
», commente Thierry Reboul de l’agence Ubi Bene. Le site a reçu 23 000 visiteurs. Mais la valeur de l’événement se mesure aussi et surtout à l’impact média qu’il produit. A la mi-août, Ikea comptabilisait quelque 150 retombées,
tant en TV que presse, radio et sur le Web. « Je ne considère pas l’événement comme un média, analyse Stéphanie Jourdan, responsable de la com munication externe d’Ikea. C’est une expérience unique dans la relation entre la
marque, ses produits et le public. Elle donne du contenu à notre promesse publicitaire et permet d ‘aller au-devant d’un public qui n’est pas forcément client. A ce titre, les verbatim recueillis sur cette opération, nous permettent
de nourrir notre réflexion sur la communication de l’enseigne. »
Barilla ne dit pas autre chose. La marque trace son sillon dans l’événementiel en veillant à nourrir son territoire de communication publicitaire et sa stratégie marketing. Elle développe actuellement la deuxième édition de sa «Casa
Barilla», menée avec l’agence Idéactif. Il s’agit d’un espace itinérant qui propose des ateliers culinaires, une exposition de la gamme, une fresque historique de la marque, pasta parties et produits dérivés. Partie de Bordeaux
le 9 septembre, la Casa Barilla poursuit sa route via Brest, Dunkerque, Paris (La Défense) et Besançon. Challenger de Panzani, avec 20 % de parts de marché, Barilla cultive ses racines italiennes. « L’événement sert à donner
du contenu à notre positionnement publicitaire », commente Géraldine Fiacre, responsable marketing de Barilla qui consacre 20 % de son budget de communication à l’animation terrain. « Cela permet d’enrichir le contenu de la
marque, de renforcer nos opérations de promotion et de dynamiser les opérations de trade marketing que nous menons avec les distributeurs. » La sélection des sites de la tournée est contrainte et choisi. Contraint car il faut
trouver des espaces à fort trafic où implanter le barnum de 800 m2 de la Casa et choisi pour renforcer la présence de la marque sur des zones déterminées. « Nous allons à Brest cette année parce que la Bretagne est une zone
sur laquelle notre part de marché est inférieure au national. Il y a un terrain à conquérir. La Casa Barilla s’inscrit dans cette perspective », conclut Géraldine Fiacre.
Obtenir des retombées médiatiques
Fondamental pour la relation physique qu’il établit entre la marque et ses publics, l’événement est souvent jugé sur son impact média. Dans ce registre, Le Tour de France occupe une place à part. Evénement majeur du calendrier
sportif, il est aussi devenu un rendez-vous majeur pour la communication des marques de grande consommation. Sa caravane publicitaire constitue un événement dans l’événement (lire notre 3 questions à Hubert Genieys de
Nestlé Waters). Elle joue le rôle de kermesse itinérante durant trois semaines d’été. « Il n’y a pas d’équivalent pour toucher 12 à 15 millions de personnes en direct », assure Arnaud Peyroles, président de l’agence Idéactif. Une
agence particulièrement active sur le Tour depuis plusieurs années. Sur l’édition 2011, elle assurait la présence de 50 véhicules dans la caravane pour des marques comme Saint-Michel, Teisseire, Ricoré, Vittel ou Banette. Ce show
commercial des marques n’est pas qu’une kermesse. Il sert aussi la relation avec les distributeurs par les opérations de promotion mises en place dans les points de vente. A ce titre, le Tour de France représente souvent la plus
grosse opération de l’année en marketing terrain pour les marques qui s’y associent. L’approche événementielle d’Electrolux est d’un autre ordre. Elle s’inscrit sur du long terme et repose sur un partenariat avec une institution
culturelle. La marque a besoin d’affirmer son identité depuis sa séparation d’avec Arthur Martin.
Elle a besoin d’exposer son offre produit dans l’univers de la cuisine qui représente les deux tiers de son chiffre d’affaires. « Le brief que nous avons soumis à l’agence reposait sur la création d ‘une expérience qui valorise notre
offre auprès des cuisinistes, indique Stéphanie Botte, responsable marketing d’Electrolux France. L’opération Electrolux Art Home, imaginée par l’agence Vaudoo, repose sur un partenariat avec le Palais de Tokyo. Ce dernier était
en recherche de financements pour ses travaux. Electrolux a donc participé à ce financement. En échange de quoi, la marque a pu installer un atelier culinaire baptisé Nomiya sur le toit de l’établissement. Electrolux tenait quotidiennement, midi et soir, une table d’hôte de 12 personnes pour laquelle la cuisine était faite en direct par le chef Gilles Stassart.
Suite : http://www.e-marketing.fr/Marketing-Magazine/Article/Les-marques-font-leur-show-41041-1.htm
Positionnement
3
Show
Marques
Identités
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Exemples
Quand les marques s’emparent des infratructures de façon éphémère...
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Qu’il s’agisse de bitume ou d’espace vert, les marques s’emparent, de
façon éphémère, de l’aménagement existant et sortent des magasins et
des panneaux d’affichae classique.. Différentes techniques :
Le Pochoir et le Clean Tag
Utilisation de pochoirs pour des campagnes de Street Marketing: Diesel,
Scream 4 en Clean Tag et Mini.
Cette technique permet de gagner en rapidité et en efficacité au même
titre qu’un tampon pour du papier. Les pochoirs s’utilisent avec de la
peinture biodégradable (appliquée au rouleau ou à la bombe), de la
craie voire même de la terre comme pour la campagne de la Mini Country
Man. Une nouvelle pratique nommée Clean Tag réside en l’usage de nettoyeurs haute pression pour éclaircir les parties habituellement peintes
(ou inversement). Le sol devient alors un nouveau lieu de communication où la concurrence est inexistante.
Le Sticker et le Collage
Collage d’éléments pour des campagnes de Guerilla Marketing: Renault,
Barbecues Weber et KitKat
L’usage des autocollants permet une rapide mise en place de l’action
et c’est l’assurance d’avoir une image identique partout. Une technique
similaire réside dans le collage d’éléments plus grands sur les murs (affiches, silhouettes, formes…), le but étant d’être présent en dehors des
espaces publicitaires habituels pour attirer les regards. Ce procédé est
régulièrement utilisé pour l’habillage de transports et de mobilier urbain.
L’installation de produits (modifiés ou non)
Disposition de produits géants ou en grand nombre pour du Street Marketing: Mc Donalds, Stabilo Boss et Fornarina
Sans doute la technique la plus impressionnante mais aussi la plus onéreuse: elle consiste à disposer des objets dans des endroits stratégiques
pour susciter l’interrogation et la curiosité. De manière générale, les
annonceurs jouent soit sur le nombre d’objets soit sur leur taille. Ce sont
les actions qui génèrent le plus de buzz tant elles sont impressionnantes.
Le parasitisme (ou le partenariat)
Partenariat entre annonceurs et parasitisme d’affiche pour des opérations de Guerilla Marketing
Pourquoi ne pas unir ses forces avec un autre annonceur pour décupler les performances d’une action Marketing? la première image parle
Les bulles
d’elle-même, les deux affiches sont complémentaires et ne font que se
renforcer l’une l’autre, les bavures de couleurs des iPod sont récupérées
par les sceaux de peinture Rona. Une autre pratique très limite est le parasitage des campagnes déjà en place, l’ajout d’éléments sur les affiches
par exemple, ici les Sims 3 sur des affiches politiques. C’est bien là que
le terme Guerilla Marketing prend tout son sens. Une superbe campagne
de promotions aux dépens d’affiches à New York est à découvrir en
suivant ce lien.
Combiner les techniques!
Campagne Guerilla Marketing du jeu vidéo Brink à Paris qui combine
stickers, pochoirs au sol et affichages
Certaines campagnes combinent les différents procédés pour décupler
leur efficacité, la répétition multipliant l’impact visuel. La campagne pour
le jeu vidéo Brink a combiné avec succès plusieurs techniques héritées
du Street Art aux alentours de Châtelet les Halles. Un bon moyen pour
interpeller le passant avec la multiplication des supports visuels sur les
murs, sols et même cabines téléphoniques.
A l’occasion du lancement de son dernier produit, Crispy Fruit, un petit air de campagne a soufflé sur le parvis de la Défense avec Nature Addicts vendredi dernier. Accompagnée par
l’agence Strada, la marque proposait aux passants de faire une petite pause fruitée en dégustant ses fameux snacks sur des chaises longues au soleil.
A l’intérieur de la bulle transparente, il était également possible de participer à des animations sensorielles autour des 2 ingrédients principaux : les céréales et les fruits. Dans un premier temps, il fallait identifier 5 variétés de céréales proposées parmi le blé, l’orge, le seigle, l’avoine et le riz ; puis dans un second temps, sentir des pots opaques afin de reconnaître
les fruits cachés à l’intérieur.
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Kickers «Greeniote» la ville !
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«Préparez-vous à une cure de verdure dans les jours qui
viennent: la marque de chaussures et prêt-à-porter Kickers
à l’esprit décalé organisera à Paris et en province un évènement connectant la ville à la nature pour quelques jours.
«Kickers Greeniote la ville», évènement bucolique et poétique, se déclinera de plusieurs façons afin de toucher subtilement le public :
• Le jardin éphémère
Des jardins éphémères seront créés les 12 et 19 mai à Paris, à St Germain et place de la Bastille, mais également à
la Rochelle (le 19 mai) et à Nice (le 26 mai). Une jardinière
«flower power» s’occupera d’arroser ses plantes, étendre
son linge, distribuer des fleurs et des billes de graines aux
passants en chantant…
• Les billes de graines
Ces petites billes renfermant des graines de plantes (basilic
et coquelicot) se désintègreront naturellement là où elles
seront lancées par les passants.
• Le Land’art
Sur les murs seront installés des marquages à base de
mousse végétale, arrosés pendant une quinzaine de jours.
• Le détournement de mobilier urbain
Les poteaux des villes seront décorés de lierre, des pancartes «Greeniote la ville» et des clean tags biodégradables
seront également déployés un peu partout pour l’occasion.
• Le Jeu
En boutique, enfants et parents seront invités à un «bêtisier
vert» avec un look total Kickers à gagner.
• Sur Facebook
Enfin, l’opération déjà relayée sur la page Facebook de Kickers invite les internautes à y participer en postant sur la
page leurs films de «bonnes idées vertes» pour changer nos
villes avec l’arrivée du printemps !
Lancement géant
Louise Wimmer : Des post-it dans la ville
La réalité augmentée au service des messages privés
Après le téléphone géant de Herald Square à New York mi-novembre, c’est
à Paris que le Windows Phone géant a fait en décembre, une halte pendant 9 jours
! Mesurant plus de 10 mètres de haut, ce Windows Phone a été placé au croisement
de la rue Dutuit et des Champs Elysées du 9 au 18 décembre. Plusieurs animations et
démonstrations de produits (Nokia Lumia 800, HTC Titan et Radar, Samsung Omnia W,
Acer Allegro) ont été proposées.
Pendant toute cette période, de 14h à 22h, le téléphone s’est animé pour une interaction unique avec le public. Le Père Noël a proposé différentes animations : écoute de
sa playlist Zune et karaoké géant, vote du public pour le choix de son fond d’écran ou
sa sonnerie, réaction sur une liste de Noël envoyée par e-mail ou SMS via les bornes
dédiées…
Tous les jours de 16h à 19h et le mercredi 14 décembre de 14h à 17h, les enfants, accompagnés de leurs parents et encadrés par des hôtesses, ont pu échanger en direct
et voir grâce à la camera du téléphone le Père Noël et lui faire part de leurs souhaits
et de leurs questions.
Envisageable pour une ville, un magasin ???
La campagne créée et réalisée pour la sortie du film du même nom, distribué par Haut et Court se devait
d’être résolument singulière. Cette opération originale avait pour objectif de susciter l’intérêt et l’envie
d’appeler ce numéro au bout duquel Louise Wimmer répondait en expliquant d’un ton chaleureux, sincère et
naturel, le propos du film du même nom et donc les grandes étapes de sa vie tumultueuse car c’est là l’objet
du film et son principal contenu.
Cette opération de viralité urbaine est une bonne illustration des possibilités offertes par le Guérilla Marketing qui permettent d’essaimer dans la ville d’une manière innovante et inattendue.
La campagne Louise Wimmer s’articule également autour de forts relais sur les réseaux sociaux et la communauté des bloggeurs. Ce mix a généré beaucoup d’enthousiasme et d’élan. Beaucoup de personnes se
sont spontanément saisis de leur téléphone pour échanger avec Louise de la plus simple façon qui soit. C’est
aussi cela le Guérilla Marketing, un prétexte pour des contacts spontanés et de l’échange né d’une simple
curiosité urbaine. L’histoire ne dit pas combien de passants ont appelé Louise et si Louise les a rappelés…
Lacta, vos messages amoureux en réalité augmentée
écrit par mdelmasPas de commentaireposté dans Technologies
Réalité augmentée, packaging et marketing digital.
La marque de chocolat Lacta a mis en place une expérience assez unique avec la réalité augmentée.
Rassurez-vous tout de suite si vous êtes chocovore et que ne connaissez pas la marque; elle est
uniquement présente en Grèce.
C’est quoi l’idée ?
Lacta a développé une application smartphone pour Iphone et Android.
Cette application permet aux utilisateurs d’écrire un message à son amoureux(euse) qui ne sera
lisible que lorsque celui (ou celle) qui recevra le message scannera une tablette de chocolat Lacta.
L’application a été programmée pour faire apparaître le message à la vue du package unique du
produit.
http://www.urbanact.com/wordpress/?p=2500
21
A découvrir :
Positionnement
4
Au-delà de leur fonctionnalité, certains moyens de transport mis à disposition de manière éphémère peuvent créer l’événement et faire vivre de nouvelles expériences.
A lire pour ouvrir l’horizon : http://www.futuribles.com/pdf/PMVM/CatalogueInnovations.pdf
Expérience
Transport
Green Citoyenneté
Et pour la voiture e demain... http://www.villes-internet.net/observatoire/lire/?tx_ttnews%5Btt_news%5D=3610&cHash=a258bb1f164043b4b79f87fbd0c7f185
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Exemples
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The Ride : un bus touristique spectaculaire à New York
Métronome (prototype)
Urban Car
Transport écologique
Depuis un an, un bus touristique d’un genre nouveau a fait son
apparition à New York. Les passagers qui embarquent à l’intérieur de
« The Ride » doivent se préparer à une expérience inédite. Confortablement assis sur des sièges tournés vers une immense baie vitrée, ils
pourront, comme dans une salle de spectacle, profiter pleinement des
différents spectacles qui s’offriront à eux le long de leur parcours à
travers la Grosse Pomme. Le trajet de 75 minutes est en effet jalonné
de performances d’artistes qui s’activent à l’extérieur, en lien avec les
lieux traversés. Les danseurs, chanteurs et autres performeurs sont mis
en lumière par un éclairage puissant de 3 000 leds et de la musique
provenant de ce bus d’une capacité de 49 personnes. Pour parfaire le
show, une animatrice chauffe l’ambiance à l’intérieur du bus. Une expérience inédite pour laquelle il faut tout de même débourser 65 $.
Métronome est un concept de véhicule alternatif flexible et autonome énergétiquement destiné
aux voies ferrées non utilisées. Le développement du Grand Paris est accompagné d’une renaissance
de nouveaux systèmes de transports publics : le métro du Grand Paris, le tramway, Vélib ou Autolib
pour en nommer quelques-uns. De nouvelles échelles de territoires ré-apparaissent comme le quartier et convoquent une hybridation des formes de transport, plus souples et locales, pour répondre
à l’évolution d’une société plus écologique.
Un véhicule 100% écologique, homologué pour circuler en toute
tranquillité dans l’hyper centre-ville
Promenades insolites en gyropode...
http://evolutionnaire.free.fr/urban-cab.php
www.mobilboard.com/
Cette hybridation est portée par les enjeux d’une politique de transport local capable de célébrer
l’existant, comme des voies ferrées abandonnées. Ces véhicules communautaires alternatifs s’appuieront sur des sources d’énergies propres.
25
Extrait
La gamification au service de la rétention et de la transformation
Souvenez-vous : au début de l’année je vous parlais déjà de l’utilisation des
mécaniques de jeu dans mes prédictions 2011 ainsi que dans un article
publié l’année dernière (Le gameplay comme élément clé de l’expérience
utilisateur). Figurez-vous que ce phénomène a pris de l’ampleur et qu’il
a maintenant un nom : la Gamification. Derrière cet anglicisme (qui doit
faire se retourner Maitre Capello dans sa tombe) et les exemples que l’on
cite trop souvent (Foursquare & cie), se cachent des pratiques réellement
disruptives et une nouvelle façon d’aborder les prospects, de les convertir
et de fidéliser les clients.
Définition et origines de la Gamification
Pour la définition, je me contenterais de citer celle de Wikipedia : “La gamification consiste à utiliser des mécaniques de jeu dans un service ou une
offre afin d’en faciliter l’adoption et la fidélisation“.
Le système de badges de Foursquare
Pour aller au-delà de cette définition générique, la gamification repose sur
un certain nombre de pratiques issues du jeu : accueillir les nouveaux avec
un tutoriel, fixer des objectifs sous forme de challenge, récompenser la progression avec des médailles et points d’expérience, faciliter la comparaison
entre utilisateurs avec des niveaux et des tableaux de scores, favoriser les
interactions sociales autour d’échanges de récompense ou de monnaie
virtuelle… Bref, les leviers de fidélisation vont bien au-delà des badges.
Les origines de la gamification sont multiples, on les retrouve dans les programmes de fidélité reposant sur les points, dans les systèmes de ventes
pyramidales avec les grades ou encore dans les serious games. Si je ne
dis pas de bêtises, la méthodologie d’entreprise Six Sigma intègre un principe de ceintures à couleurs (“black belt“). Comme vous avez donc dû le
comprendre, les équipes de Foursquare n’ont rien inventé, les profils des
membres sur GameSpot proposent ainsi un système de niveaux, rangs et
badges depuis au moins 5 ans.
Pourquoi la gamification est bonne pour votre marque ?
Inutile de trop se creuser la tête sur les origines, l’important est de constater que le jeu fait maintenant partie de notre quotidien (l’industrie du jeu vidéo a dépassé celle du cinéma). Il n’y a qu’une petite dizaine de millions de
joueurs de WoW, mais nous avons tous en nous une âme de joueur, le tout
étant de trouver les bons stimuli pour la réveiller. Ma théorie est la suivante
: les jeux vidéos existent depuis maintenant près de 30 ans. Perçue comme
Positionnement
un passe-temps parasite au début, la place des jeux a beaucoup évolué
dans les mentalités. Les personnes nées avec les jeux vidéos se trouvent
maintenant à des postes-clés chez les annonceurs et sont beaucoup moins
réfractaires à exploiter les jeux dans leur stratégie de recrutement / fidélisation que les générations précédentes.
Tout l’intérêt d’intégrer une notion de gameplay à votre marque ou service
est de mieux capter l’attention de vos cibles, et surtout de leur donner un
cadre pour qu’ils reviennent et développent des interactions sociales.
gamme ou l’implication communautaire comme Be the Buyer chez ModCloth ;
Des solutions de productivité comme Email Game, MindBloom ou encore
Epic Win) ;
Des artistes qui l’exploitent comme levier de visibilité comme David Garrett,
l’opération Je veux signer chez AZ ou encore les Bopler Games de MXP4
pour découvrir et apprécier différemment la musique ;
Des industriels qui éditent des serious games comme Siemens avec PlantVille ou Empire & State de Novel ;
Des institutions publiques qui l’utilisent pour séduire un public plus jeune
comme le métro de Londres avec Chromaroma ou la bibliothèque de NY ;
Le monde de l’éducation avec des expérimentations au MIT ou chez Motion
Math ;
Jouez tout en découvrant des morceaux musicaux avec Bopler Games
Encore une fois les exemples sont très nombreux et je n’ambitionne pas de
tous les citer. APr contre si vous tenez à jour une liste, ça m’intéresse…
Il existe différents objectifs pour la gamification :
Différentier votre marque ou service de la concurrence (en y insérant une
pincée de fun) ;
Améliorer la compréhension de votre offre (au travers des récompenses) ;
Capter et maintenir l’attention (à l’aide des quêtes) ;
Favoriser les interactions sociales (compétition douce, collaboration, entreaide…).
Il existe une infinité de modèles et gameplay possible car le jeu est un Comment exploiter le jeu pour votre marque ?
domaine très vaste qui s’appuie sur des dizaines d’années d’expérience, il Comme expliquer plus haut, un bon gameplay ne se limite pas à distribuer
serait donc très dommage de vous limiter aux badges.
des badges. Il convient donc de bien penser en amont votre projet de gamification et notamment de respecter les grands principes : The seven tricks
Si vous souhaitez approfondir le sujet, je vous recommande ces différentes everyone can learn from game designers.
sources et articles :
Le blog et le wiki dédié ;
Quelles évolutions logiques ?
HOW TO: Use Game Mechanics to Power Your Business ;
Jusqu’où peut aller la Gamification du monde ? ;
Le marché est encore en train de structurer (meilleures pratiques, fournisLes ambiguïtés de la gamification ;
seurs de services et plateformes…), mais l’on peut d’hors et déjà comDeux très bonnes interventions à TED : The game layer on top of the world mencer à avancer des hypothèses quant à l’évolution des pratiques de
et When games invade real life.
gamification :
Ce sujet est vaste et cette liste est loin d’être exhaustive.
Des mécaniques de jeu plus sophistiquées pour prolonger l’intérêt ... lire
la suite : http://www.fredcavazza.net/2011/04/20/la-gamification-au-serQuels domaines d’application ?
vice-de-la-retention-et-de-la-transformation/
Il n’y a en théorie pas de limite à la gamification. Comprenez par là que
l’on peut la mettre en oeuvre quel que soit le contexte ou l’industrie. Nous
pouvons ainsi nous appuyer sur les exemples suivants :
Toutes le marques qui ont recours aux advergames ou équivalents ;
Des plateformes sociales qui se servent du jeu pour attirer et fidéliser les
membres (SCVNGR pour la géolocationsation, CupidsPlay pour les rencontres ou BranchOut pour la cooptation) ;
Des boutiques en ligne qui l’utilisent pour stimuler la découverte de la
5
Gagner
JOUER
Découvrir
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Un geek dans la ville
Grâce à la participation, bénévole bien sûr, des étudiants des écoles INGESUP, E-ART SUP et du centre d’animation Saint-Pierre, un véritable jeu vidéo sur téléphone portable a vu le jour. Divisées en quatre univers,
gore, kawaï, futuriste et médiévale, chaque étape du jeu se débloquait lorsque les Indiana Jones urbains flashaient ces fameux codes. Débutait alors une partie de Pac-Man ou encore de Space Invaders.
Un travail titanesque de conception, de réalisation et de codage qui n’a malheureusement pas été reconnu à juste titre par la mairie de Bordeaux. En effet, la communication autour de l’évènement a été inexistante
et la centaine de participants attendue s’est limitée à une petite dizaine, dont certains ont dû déclarer forfait. Conçue pour iPhone et Androïd, l’application a connu quelques problèmes techniques sur ces appareils.
Certains pesteront contre le jeu, d’autre diront que ce n’était que de la sélection naturelle. Comme on dit, « à la fin, il n’en restera qu’un ».
Quant aux cosplayers ils étaient présents comme des points bonus. Alors que les flashs codes qui débloquaient les mini-jeux étaient situés à des points fixes, les cosplayers eux se promenaient, prêt à échanger leurs
points contre une danse de la pluie ou une interprétation discordante de Justin Bieber. Mais même les plus acharnés chasseurs de trésors ne peuvent pas résister aux charmes de la Fée Clochette.
Philipe Rioux, le coordinateur de cette joyeuse cacophonie vidéoludique confie qu’il aimerait beaucoup réitérer l’expérience. « Ce genre d’évènement existe depuis quelques temps à Londres et ils font un carton.
L’idée est de faire la même chose sur Bordeaux. »
Pour ce qui est des participants, ils sont repartis enthousiastes après une partie acharnée contre le boss de fin aux alentours de dix-huit heures. Et Jérémy, grand vainqueur et désormais détenteur d’un splendide
T-shirt pixellisé ne boude pas son plaisir : « Le concept est vraiment super, ça fait plaisir de voir des initiatives aussi innovantes. »
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Nul doute que le centre d’animation Saint-Pierre, organisateur de cette manifestation, peut retenter l’expérience sans peur, mais avec une publicité bien plus importante. Certains Bordelais ne se baladeront plus
jamais en ville sans jeter un coup d’œil à leur téléphone pour vérifier qu’aucune partie intempestive de Tetris ne s’est déclenchée.
Trouvez le lapin dans la ville !
Trouvez le lapin dans la ville !
«Grand jeu multimédia à Issy-les-Moulineaux
Samedi 25 et dimanche 26 septembre sur l’esplanade de l’Hôtel de Ville d’Issy-les-Moulineaux, un
grand jeu multimédia est proposé aux familles (enfants à partir de 6 ans) !
Partez à la recherche d’un lapin hors du commun, mystérieusement disparu depuis plusieurs semaines, le retrouver est capital ! Il est le seul à pouvoir exécuter un tour de magie surnaturel.
Rencontrez des magiciens et à votre tour, grâce à la magie des nouvelles technologies, trouvez des
indices et accomplissez des actions pour progresser dans le jeu.
Cette expérience inédite vous fera découvrir Issy-les-Moulineaux sous un nouveau jour. La Ville est
naturellement le lieu idéal pour organiser une expérience numérique collective grandeur nature
comme ce jeu multimédia. Elle bénéficie d’une technologie qui permet de se déplacer sur son territoire grâce à l’application « Issy 3 D ». Les joueurs sont invités à naviguer au sein d’Issy 3D pour
récolter l’information sur le prochain lieu de rendez-vous.
Et bien sûr, des cadeaux sont à gagner si vous êtes les premiers à résoudre cette énigme. Regardez
autour de vous, l’aventure a peut-être déjà commencé.
Pour trouver un indice et entrer dans l’aventure du jeu urbain, il suffit de flasher ce code avec son
mobile ! Réservez gratuitement un smartphone au 01 58 88 3000, ou sur place dans la limite des
places disponibles
LightbyU.com est un site internet de design participatif d’objets lumineux sans fil. Chaque internaute a la possibilité de participer à des projets de création : soit en proposant leurs propres
créations, soit (plus simplement) en votant.
A l’occasion de Pâques, LightbyU.com met en place une opération de Street Marketing dans les rues
de Paris, relayée sur le web. Il s’agit d’une chasse aux œufs lumineux. Le principe est simple, grâce
à des indices diffusés sur les réseaux sociaux, les internautes pourront décoller de leur canapé pour
partir à la recherche des œufs. A chaque lampe découverte une série d’indices est dévoilée permettant de découvrir de nouvelles lampes, ainsi que de progresser vers l’emplacement de l’ultime
lampe qui permet de remporter un chèque cadeau de 500 Euros.
Le top départ sera donné le 9 mars 2012 (lundi de Pâque donc jour férié) à 11h00. Pour mettre
toute les chances de votre côté, rendez-vous sur la page Facebook et/ou Twitter de la marque.
Toutes les informations sont disponibles sur le site LightbyU.com.
http://www.nuwave-marketing.com/lightbyu-la-chasse-aux-oeufs-lumineux/
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Extrait
Positionnement
La cité des services travaille sur la transformation des services des territoires dans le contexte des nouveaux enjeux du numérique. Sa vision :
Des infrastructures aux services
“Nous voulons changer le statut de la ville pour qu’elle devienne une cité de services”, disait le responsable de l’Exposition universelle de Shanghai. Une ville de services, une génération de services, une société de services ? Soit, mais comment ?
La Cité des Services vise une approche inédite de la ville intelligente, en mettant les innovations numériques au profit des territoires. Ces services “intelligents” ne sauraient se
réduire à l’optimisation des infrastructures ou aux enjeux de productivité. L’extension considérable des réseaux sociaux transforme la donne, suscite des coopérations et définit une
offre inédite d’outils aux citadins. Les collectivités cherchent à perfectionner la qualité de leurs services quotidiens et de leur diffusion, et à le faire avec l’ensemble des forces vives.
Rendre service, échanger des services, favoriser les dialogues, cela reste le fait du territoire et le fondement de l’urbanité. La ville servicielle se conçoit à la croisée des préoccupations des villes et des usages des citadins.
Un nouveau paradigme des services
La production des services urbains est en pleine évolution. La révolution numérique et les changements sociologiques modifient profondément les attentes des citadins. Le modèle
du service public hérité de l’après-guerre glisse vers de nouvelles configurations d’acteurs.
Ces changements suscitent autant de défis que d’opportunités. Les conflits autour des projets de «ville intelligente» le montrent bien : face aux solutions technologiques des entreprises, les pouvoirs publics peuvent se sentir dépossédés de leurs compétences et les usagers désemparés de leurs choix et de leurs informations personnelles.
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Plaisir
Services
Facilité
6
Exemples
Les packs «Bienvenue»
Une boîte «Bienvenue» pour les nouveaux habitants, pour les nouveaux-nés, pour les
nouveaux seniors, pour les nouveaux étudiants.....
Ex : Accueillir les nouveaux habitants d’un quartier :
http://www.manifestedelaproximite.com/?p=1311
600 services et commerces de proximité leur souhaitent la bienvenue!
Comment accueillir les nouveaux arrivants d’un quartier, d’un bourg ? Artisans, services et commerces de proximité ont désormais une solution simple pour connaitre leurs nouveaux voisins
et leur souhaiter la bienvenue. Les Artisans déménageurs ont développé une offre qui leur est
entièrement destinée, le « Welcome Package ». Cette plateforme internet, qui a pour vocation
première de mettre en relation des particuliers qui sont sur le point de déménager avec des
entreprises de déménagement, leur permet aussi de découvrir commerçants et services locaux.
http://www.e-marketing.fr/Breves/-Le-Vide-Dressing-du-Bazar-41578.htm
Exemples
Abonnement aux surprises des commerçants de la ville
Sur le principe de My Little Box
Un abonnement de 1 mois, 3 mois, 6 mois... pour recevoir un panle de cadeaux surprises chaque mois dans sa boîte
aux lettres...
http://www.mylittleparis.com/boite-my-little-box.html
Afterworkshopping
Envie de faire du shopping, mais tout est fermé quand vous sortez du boulot... Voici
la solution : une initiative des commerçants de la Ville de Bruxelles vous permet de
faire les magasins tous les jeudis jusque 20 heures. Fini les frustrations !
A associer avec une opération type «Gü Friday» : tous les vendredis «Gü chocolat»,
une entreprise de desserts chocolatés propose son surplus de marchandise en
dégustation
http://www.capital.fr/enquetes/strategie/le-gue-friday-une-astuce-marketing-venue-d-angleterre-443664
Centralisation des sacs de shopping
Lors des périodes de Noel, certaines villes mettent en place des «porteurs» afin de décharger
les clients. Un point central, parfois en drive, permet de récupérer les courses à proximité de son
véhicule.
Téléchargement