Lignes directrices de l`OMS Utilisation de la cryothérapie pour le

Lignes directrices de l’OMS
Utilisation de la cryothérapie
pour le traitement de laoplasie
cervicale intraépithéliale
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Département de Santé et Recherche génésiques
Organisation mondiale de la Santé
Avenue Appia 20, CH-1211 Genéve 27, Suisse
Fax: +41 22 791 4171
Courriel : reproductivehealth@who.int
www.who.int/reproductivehealth
ISBN 978 92 4 250285 5
Lignes directrices de l’OMS
Utilisation de la cryothérapie
pour le traitement de
la néoplasie cervicale
intraépithéliale
Catalogage à la source : Bibliothèque de l’OMS
Lignes directrices de l’OMS : utilisation de la cryothérapie pour le traitement de la néoplasie cervicale intraépithéliale.
1.Cryothérapie – méthodes. 2.Néoplasie intraépithéliale cervicale – thérapie. 3.Tumeurs du col de l’utérus –
thérapie. 4.Directives. I.Organisation mondiale de la Santé.
ISBN 978 92 4 250285 5 (Classification NLM : WP 480)
© Organisation mondiale de la Santé 2015
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la part de l’Organisation mondiale de la Santé aucune prise de position quant au statut juridique des pays, territoires,
villes ou zones, ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites. Les traits discontinus formés d’une
succession de points ou de tirets sur les cartes représentent des frontières approximatives dont le tracé peut ne pas avoir
fait l’objet d’un accord définitif.
La mention de firmes et de produits commerciaux ne signifie pas que ces firmes et ces produits commerciaux sont agréés
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Lignes directrices de l’OMS. Utilisation de la cryothérapie pour le traitement de la néoplasie cervicale intraépithéliale
Remerciements
Ce document a été élaboré au nom du groupe de pilotage de l’OMS pour les recommandations sur
l’utilisation de la cryothérapie pour le traitement de la néoplasie cervicale intraépithéliale.
Ces remerciements s’adressent au Groupe consultatif technique pour ses contributions essentielles
sur le contenu de ce document ; ce groupe était constitué de :
Nancy Santesso, McMaster University Health Sciences Centre, Hamilton, Canada
Holger Schuneman, McMaster University Health Sciences Centre, Hamilton, Canada
Julia Gage, National Cancer Institute, Washington DC, États-Unis d’Amérique
Paul Blumenthal, Stanford University School of Medicine, Stanford, Californie, États-Unis d’Amérique
Hugo De Vuyst, Centre international de Recherche sur le Cancer, Lyon, France
Tahany Awad, McMaster University Health Sciences Centre, Hamilton, Canada
Jose Jeronimo, PATH, Seattle, Washington, États-Unis d’Amérique
Francisco Garcia, American Cancer Society, Tucson, Arizona, États-Unis dAmérique
Ricky Lu, Jhpiego, Baltimore, Maryland, United States of America
Silvana Luciani, Bureau sanitaire panaméricain/Bureau régional OMS des Amériques,
Washington DC, États-Unis d’Amérique
Swee Chong Quek, KK Women’s and Childrens Hospital, Singapour
Nathalie Broutet, Organisation mondiale de la Santé, Genève, Suisse
Ces remerciements s’adressent également au Groupe d’élaboration des lignes directrices pour leurs
contributions techniques au contenu de ce document ; ce groupe était constitué de :
Parthasarathy Basu, Chittaranjan National Cancer Institute, Kolkata, Inde
Mike Chirenje, University of Zimbabwe, Harare, Zimbabwe
Miriam Cremer, Rachel Masch, Mauricio Maza et Lauren Ditzian, Basic Health, New York, États-Unis d’Amérique
Adriane Dekalb, Global Alliance for Women’s Health, New York, États-Unis d’Amérique
Lynette Denny, Groote Schuur Hospital, Le Cap, Afrique du sud
Linda O’Neal Eckert, Harborview Sexual Assault and Trauma Center, Seattle, Washington, États-Unis d’Amérique
Sara Forhan, Herschel Lawson et Mona Saraiya, Centres de Lutte contre la Maladie (CDC),
Atlanta,Géorgie, États-Unis dAmérique
Alvaro Garcia, Bertha Calderon Hospital, Managua, Nicaragua
Fernando Guijon, Vancouver, Canada
Namory Keita, Hopital National Donka, Conakry, Guinée
Sharon N Kibwana, Jhpiego, Baltimore, Maryland, États-Unis d’Arique
Khunying Kobchitt Limpaphayom, Faculty of Medicine Chulalongkorn University, Bangkok, Thaïlande
Nuriye Ortayli, United Nations Population Fund (UNFPA), New York, États-Unis d’Amérique
Groesbeck Parham, Plan d’urgence du président des États-Unis en matière de lutte contre le sida (PEPFAR),
Lusaka (Zambie)etUniversity of Alabama, Birmingham, Alabama (États-Unis d’Amérique)
Rengaswamy Sankaranarayanan, International Agency for Research on Cancer, Lyon, France
Carlos Santos, Instituto Nacional de Enfermedades Neoplasicas, Lima, Pérou
Vivien Tsu et Jennifer L. Winkler, PATH, Seattle, Washington, États-Unis d’Amérique
Andreas Ullrich, Organisation mondiale de la Santé, Genève, Suisse
Le Centre international de Recherche sur le Cancer (France) a contribué à l’examen de
ces recommandations.
LOMS tient à remercier le Gouvernement des Flandres (Belgique) et le Centre international de
Recherche sur le Cancer (France) qui ont assuré la majeure partie du financement de ce document.
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