Texte de la vidéo
« C’est difficile à faire, le dépistage, parce qu’il faut que les gens admettent qu’ils sont atteints
par cette maladie... »
« Ah ben ça c’est des choses qu’il faudrait faire à un niveau national, mais malheureusement, ça coûterait
très cher. Et puis, à Paris, ça va encore mais à la campagne, les gens ils ne savent pas
qu’est-ce que c’est… »
« Il faut que ce soit fait régulièrement, et gratuitement par-dessus le marché, ça serait encore mieux… »
« Le dépistage… indispensable à condition d’avoir les moyens et la méthode… »
« Ça ne sera jamais de trop pour anticiper sur la maladie… »
« Ça serait bien, y’en a peut-être pas assez, même… Plus y’en aura, mieux ça vaudra, parce que le
cancer pris à temps, peut-être qu’il y a plus de chance... Sûrement d’ailleurs… »
« Mais on ne peut pas être tous les mois chez le médecin pour dépister… »
« Il faut absolument le faire… À partir de 50 ans surtout… »
« La peur de savoir… »
« Ben c’est absolument nécessaire, parce que si ça avait été bien dépisté, j’aurais encore une femme… »
« Ce serait nécessaire même au plus jeune âge en fait, ça peut arriver à tout le monde… »
« Même quand on décèle, vous les prolongez mais vous ne les guérissez pas forcément. Même le cancer
du sein, qui soi-disant se guérit très bien au bout de 5-6 ans, ça récidive… »
« Personnellement, j’ai reçu un courrier plusieurs fois pour un suivi du sein. Il faut se surveiller. On voit trop
d’horreurs autour de nous. Il vaut mieux prévenir que guérir… »
« C’est pas diaboliser les choses, de toutes façons si on est victime d’un cancer, ben on prend un coup
derrière la tête mais faut bien l’affronter. La maladie, ça se combat… Comme bien d’autres choses sur
cette Terre… »
BOÎTE À OUTILS POUR LES FORMATEURS EN ÉDUCATION DU PATIENT
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4.4 - Séq.3 - Débats (à partir de témoignages de patients)
Micro-trottoir sur le dépistage du cancer