Document strictement réservé aux Professionnels de Santé
COMPOSITION pour 4 gélules
Lactobacillus rhamnosus GG* 12 Milliards
Lactobacillus paracasei 7,52 Milliards
Lactobacillus acidophilus 3 Milliards
Bifi dobacterium bifi dum 1,48 Milliard
*Souche brevet Valio Ltd, Finlande.
Une gélule contient 6 milliards de germes revivifi ables
protégés par une matrice polysaccharidique.
Ne pas diffuser - Reproduction interdite - 03/17
PRÉSENTATION
Pot de 30 gélules : ACL 3401596471866
Pot de 60 gélules : ACL 3401596471637
INGRÉDIENTS
Agent de charge : amidon de pomme de terre ; fructo-oli-
gosaccharides (FOS), lactobacilles et bifidus lyophilisés
(Lactobacillus rhamnosus GG, L. paracasei, L. acidophilus,
Bifidobacterium bifidum) – contient des traces de soja et
caséines de lait – , antiagglomérant : stéarate de magné-
sium végétal ; antioxydant : vitamine C.
Gélule : gélatine de poisson.
CONSEILS DUTILISATION
2 à 4 gélules par jour, à prendre en dehors des repas, de préférence le matin.
• À réception, conserver le produit de préférence à + 4°C.
INDICATIONS
Dans quels cas conseiller ERGYPHILUS Plus :
Pour stimuler l’immunité locale et générale (prévention hivernale),
En cas de terrain allergique,
Pour restaurer l’équilibre de la flore intestinale en cas d’antibiothérapie, diarrhées, troubles vaginaux à répé-
tition, diarrhées du voyageur
DÉFENSES NATURELLES
Les souches d’ERGYPHILUS Plus ont été sélectionnées pour leur origine humaine, leur stabilité et leur tolérance à l’acidité
et aux sels biliaires. Un complexe protecteur spécifique favorise leur survie.
Laction des probiotiques est souche-dépendant, ainsi les différentes souches de Lactobacillus rhamnosus ne sont
pas identiques (elles se distinguent par la recherche du phénotype ou du génotype). Seule la souche Lactobacillus
rhamnosus GG a fait l’objet de plus de 200 publications et démontré son efficacité sur l’immunité et les terrains
allergiques notamment.
Défenses naturelles
ERGYPHILUS Plus
BIBLIOGRAPHIE
[1] TIMMERMAN HM, KONING CJM, MULDER L, ROMBOUTS FM, BEYNEN AC - Monostrain, multistrain and multispecies probiotics - A comparison of
functionality and efficacy. Int. J. Food. Microb. 2004 ; 96 : 219-233.
[2] GRANGETTE C - Probiotiques et immunité. Probiotiques et régulation de la réponse immune allergique et inflammatoire. Cah. Nutr. Diet. 2007 ;
42(2) : 2S76-85.
[3] HEYMAN M - Probiotiques et immunité. Effets des probiotiques sur le système immunitaire : mécanisme d’action potentiel. Cah. Nutr. Diet.
2007;42(2):2S67-75.
Une synergie de souches
probiotiques pour une action
optimisée
Les lactobacilles et bifidobactéries sont des éléments impor-
tants de la flore de fermentation. De plus leurs bénéfices sont
souche-dépendant. Lassociation de différentes souches
probiotiques permet de renforcer leur effet barrière avec un
spectre plus large d’action contre les bactéries pathogènes
par production d’acides lactique, d’H2O2 et de composés
antimicrobiens. De plus les lactobacilles produisent des
polysaccharides extracellulaires qui servent de substrat à
la croissance des bifidobactéries[1].
séquilibres immunitaires :
rôle de la flore
Le système immunitaire de la muqueuse intestinale doit
tolérer la flore commensale mais aussi reconnaître les bac-
téries pathogènes sans engendrer de réponse inflammatoire
trop importante pouvant altérer l’intégrité de la muqueuse.
Lactivation de la réponse immunitaire innée s’effectue par la
reconnaissance des MAMPs (microbial associated molecular
pattern) tels que le LPS ou le peptidoglycane par les TLR
(Toll like receptor) ou les récepteurs NOD. Il s’ensuit une
sécrétion de cytokines, une activation de la phagocytose et
des lymphocytes NK. Certains lactobacilles sont capables
de stimuler l’immunité innée. Les lactobacilles, en par-
ticulier le LGG stimulent également la libération d’IgA
sécrétoires dans la lumière intestinale pour empêcher
l’entrée de bactéries ou virus infectieux dans la muqueuse.
D’autres part, via la fermentation des fibres non digérées,
les probiotiques produisent des acides gras à chaine courte
dont le butyrate. Celui-ci est la source principale d’énergie
des colonocytes et renforce la barrière intestinale[2].
La souche Lactobacillus rhamnosus GG* a montré
des effets bénéfiques dans de nombreuses publications
scientifiques. Récemment des chercheurs ont montré que
cette souche particulière possédait un pili permettant
son adhésion à la muqueuse intestinale pour exercer
ses propriétés :
• Équilibre de la microflore intestinale,
Prévention et traitement des diarrhées associées
aux antibiotiques, des diarrhées aigues du voyageur,
Effet immunostimulant sur les sujets sains ou
immunomodulateur lors d’allergie, d’inflammation,
• Trophicité de la muqueuse.
Prévenir un terrain allergique
Il est essentiel que la flore qui s’implante durant les premiers
mois de la vie soit équilibrée pour prévenir les terrains
allergiques en orientant la réponse immune vers un profil
Th1. Des travaux sur les enfants à risque d’allergie ont
ainsi montré qu’en supplémentant la mère en LGG durant
la grossesse puis lenfant à la naissance pendant 6 mois,
le risque de développer une allergie diminuait de 50 %. La
souche L. acidophilus a également été bénéfique chez des
personnes souffrant de rhinite allergique au Japon[3].
De plus, en cas d’hyperperméabilité intestinale, des protéines
alimentaires mal digérées allergènes peuvent passer à travers
l’épithélium intestinal et stimuler le système immunitaire. Or
les probiotiques produisent des métabolites qui permettent
d’améliorer l’intégrité de la muqueuse intestinale pour
empêcher le passage de grosses molécules.
Le bon équilibre de la flore intestinale - flore de fermentation et flore de putréfaction - est indispensable au bon déroulement
de la fonction digestive mais aussi au maintien d’une immunité adéquate.
À l’état normal, une flore de fermentation protectrice tapisse les parois de l’intestin. Elle normalise l’écosystème bactérien
et empêche la prolifération de bactéries pathogènes pouvant être apportées par l’alimentation. Elle soppose au dévelop-
pement de la flore de putréfaction qui en excès est irritante pour le côlon et génère des composés aminés toxiques pour
le foie (nitrosamines). Certains chercheurs parlent même d’un organe microbien à part entière pour désigner ce microbiote.
Avec les changements d’hygiène de vie de ces dernières décennies (alimentation pauvre en fibres, antibiothérapie, stress…)
cet équilibre peut être rompu et engendrer une altération de la muqueuse intestinale et des dysfonctionnements du
système immunitaire.
Allergies et immunité :
intérêt des probiotiques
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