Une croissance infinie dans un monde fini est absurde. De ce point de vue, la croissance n’est pas souhaitable et produit une société de consommation faussement motivée par la frustration et la publicité… Une croissance infinie dans un monde fini est impossible. La croissance n’est pas soutenable et produit une société d’exploitation et de domination, autour de la valeur-Travail et de l’argent… Une croissance infinie dans un monde fini n’est ni juste ni décente. Même si la nature offrait des « ressources » infinies et inépuisables, mêmes si nous disposions de richesses sans limites, quel avantage pourrions-nous trouver dans l’actuelle organisation sociale qui n’est pas basée sur ces vertus humaines que sont la coopération, l’amitié, la sobriété, l’autonomie, la convivialité, la sérénité ? Retraite d’un montant égal pour touTEs – Arrêt des nucléaires et décroissance énergétique – Régies publiques locales et autogérées – Déprofessionalisation de la politique – Droit aux expérimentations minoritaires – Réduction du temps de travail, droit inconditionnel au temps partiel choisi et partage des tâches – Revenu Inconditionnel couplé à un Revenu Maximum Acceptable. C'est « maintenant », sans attendre, qu'il faut « avancer » vers une société dont les indicateurs écologiques et économiques repasseront sous les seuils de l’injustice sociale, de l’absurdité économique, de l’irresponsabilité écologique. Un contact dans votre région (par indicatif téléphonique) [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] Contacter le MOC [email protected] Mieux comprendre www.les-oc.info Que fait le MOC ? Nous organisons des rencontres (au travers d’une association, l’Aderoc) : • les (F)Estives en été : Vassivières (2007), Rochejean (2008), ND-Landes (2009 et 2013), Marlhes (2010), Moissac (2011), Rossignol (en Belgique, 2012), Cerbère (2014). • des « séminaires » thématiques en hiver : alternatives aux capitalismes (2009), habiter (2010), territoires en transition (2011), sortir de l’industrialisme et du productivisme (2012). Nous considérons qu'il est possible de participer aux processus électoraux pour créer le débat et en expérimentant d’autres pratiques de la représentation (rotation des mandats, non-cumul, tirage au sort, collégialité…) : • Municipales 2008, européennes 2009, régionales 2010, cantonales 2011, législatives 2012. Nous participons aux luttes et aux collectifs de résistances qui visent à préserver les conditions d’une vie humaine décente : • Relocalisons, Stop Nucléaire, contre NDDL, contre les Grands Projets Inutiles Imposés, Convergence Citoyenne Pour une Transition Energétique, Non aux gaz et huiles de schiste, forum national de la désobéissance, Base élèves, Mouvement social contre la réforme des retraites… Nous participons activement à toutes ces eSpérimentations sociales et écologiques minoritaires qui visent la réappropriation de nos usages : • AMAPs et coopératives de distribution, monnaies locales, recycleries, donneries, journaux alternatifs, villes et territoires en transition, habitats groupés, éco-habitats, finances solidaires (terres agricoles, production d’énergie, écoles alternatives, coopératives de production, coopératives d’activités, jardins partagés et solidaires… Militants-chercheurs, nous travaillons notre projet politique dans les alternatives concrètes et en partageant nos idées, à travers nos textes fondateurs et en collaborant à des publications : • Textes fondateurs : Appel de Vassivière, La stratégie de l'escargot, Sans illusion, sans attendre, Masse critique et suffisance, Adresse aux militants du NPA… • Revues : Silence, Entropia, L’âge de faire, La Décroissance, les Z’indignéEs, Kairos, Proximités… Nous nous sommes aussi particulièrement investis dans le projet d’une revue francophone de l’objection de croissance : Limites (www.limites.eu). • Les MOCqueurs publient des livres, collectifs ou non, sur le nucléaire, l’antiproductivisme, la décroissance... La récession est une parenthèse entre la croissance et… la croissance. La décroissance sera la parenthèse entre la croissance et l’a-croissance.