EAU USÉE - BALTEAU

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INASEP - Mornimont - Vortex
pour traitement d’eau pluviale
INASEP - Namur - Station d’épuration
EAU USÉE
Les eaux pluviales
Lors des épisodes pluvieux, des masses d’eau
additionnelles sont récoltées dans les réseaux
d’égouttage. Elles sont alors mélangées aux
eaux usées urbaines (égouttage unitaire) ou
récoltées séparément (réseau séparatif). Dans
les deux cas, il est nécessaire de construire des
infrastructures de stockage et, éventuellement,
de traitement car ces eaux pluviales sont chargées, elles aussi, d’une pollution non négligeable (sables, matières en suspension, métaux
lourds, etc.).
Balteau réalise et équipe des ouvrages pour la
récupération, le stockage et la gestion des eaux
pluviales.
Divers équipements électromécaniques peuvent
être proposés pour le rinçage des bassins, la
dépollution et le pompage des eaux.
AIVE - Florenville - Bassin d’orage avec
système de nettoyage automatique
Pour assurer un rinçage optimal des bassins
après stockage et vidange, on peut mettre
en œuvre :
n
des augets basculants ;
n
des hydro-éjecteurs ;
n
des systèmes sous vide ;
n
etc.
Firmenich - Louvain-la-Neuve - Pompes auto-amorçantes
Balteau assure le pompage et l’épuration des eaux usées
L’équipement est choisi en fonction du volume
et de la configuration du bassin.
n
Les
n
Les
Divers traitements in situ peuvent être proposés en fonction des spécificités du projet :
n
traitement physico-chimique ;
n
décanteur lamellaire ;
n
séparateur vortex.
Généralement, un tel traitement n’est destiné
qu’à l’abattement des matières en suspension
(MES) présentes dans l’eau de pluie. La pollution
dissoute est envoyée vers la station d’épuration
ou le milieu récepteur.
AIVE - Ampsin - Pompes
Pompe de
derelevage
relevagedes
deseaux
eauxusées
usées
INASEP - Wépion - Retour d’eau d’orage
BALTEAU s.a. Z.A. de Cornemont
T +32 4 253 22 24
n
n
Rue de la Légende, 63
F +32 4 252 31 15
INASEP - Wépion - Pré-traitement
n
n
procédés de traitement de l’eau sont naturellement
complétés par le traitement des boues produites
nuisances olfactives éventuelles sont réduites
par l’utilisation de procédés de désodorisation
B-4141 Sprimont
www.balteau.be
LA MAÎTRISE DE
L’ E A U , L A F O R C E D ’ U N E É Q U I P E
E A U us é e
INASEP - Gembloux - Station d’épuration :
pompage par vis d’Archimède
IBW - Louvain-La-Neuve - Station d’épuration :
déshydratation des boues par centrifugeuse
AIDE - La Brouck - Station d’épuration
Le relevage
SBR
BRM
Traitement physico-chimique
Que ce soit en collecteur ou dans le cadre de stations d’épuration, il est nécessaire d’assurer le relevage des eaux usées.
Pour certaines applications, un traitement biologique appelé SBR (Sequencing Batch Reactor ou
bassin à cycles alternés) peut être proposé. Il s’agit
d’une variante du système à boues activées classique.
Le BRM (BioRéacteur à Membranes) combine une
épuration biologique (boues activées) avec une séparation par filtration membranaire.
Les traitements physico-chimiques sont nécessaires
pour éliminer certains effluents non dégradables
biologiquement.
Dans cette configuration, l’activation biologique et
la séparation liquide/solide se font dans le même
bassin. Celui-ci fonctionne en cycle alterné avec des
périodes où il est aéré et sert de réacteur biologique
et d’autres périodes durant lesquelles l’aération est
arrêtée autorisant ainsi la décantation.
Les principaux avantages de ce procédé sont :
Ils peuvent également être utilisés en amont ou en
aval d’un traitement biologique.
Celui-ci peut être effectué au moyen de pompes
submersibles, de surface ou de vis d’Archimède.
On peut relever des eaux brutes ou dégrillées.
Afin d’éviter la sédimentation, l’utilisation d’agitateur dans les bâches de relevage peut être nécessaire.
AIDE - Hermalle sous Argenteau
Station de pompage, dégrilleur
Holcim - Dour
Pompes de relevage
Biodisques
Les stations d’épuration municipales
Boues activées classiques
Avant le rejet dans le milieu naturel ou l’utilisation
en irrigation, il est indispensable de traiter l’eau
pour réduire sa charge polluante.
Le principe du traitement consiste à mettre en
contact une biomasse composée de bactéries
aérobies (c’est-à-dire se développant en présence
d’oxygène), des substances nutritives (substances
organiques présentes dans les eaux et constituant
la pollution) et de l’oxygène contenu dans l’air.
Le traitement dépendra de la composition de l’eau
usée, des normes de rejet imposées ainsi que de la
variabilité des charges polluantes et hydrauliques
arrivant à la station.
En fonction de la fragilité du milieu récepteur, un
traitement supplémentaire peut être mis en œuvre
(ex. : désinfection UV)
Nous disposons de diverses techniques
pour répondre à vos besoins :
n
boues activées classiques ;
n
SBR ;
n
biodisques ;
n
lagunage aéré ;
n
bioréacteur membranaire ;
n
traitement physico-chimique.
Les bactéries en présence d’oxygène se nourrissent
des substances organiques et se reproduisent dans
des bassins d’aération. Des phases non aérées
peuvent également être prévues pour un traitement poussé de l’azote et du phosphore.
Les bactéries s’agglomèrent en incorporant également une partie des matières en suspension et les
matières organiques solubles. Les agrégats ainsi
formés sont appelés "flocs".
A la sortie des bassins d’aération, l’eau épurée et la
biomasse formée restent mélangées.
La séparation de ces éléments se réalise dans un
clarificateur (ou décanteur) où les flocs, de densité
supérieure à celle de l’eau, vont se déposer dans le
fond de l’ouvrage. Ce sont les boues de traitement
biologique.
Une partie de la biomasse décantée est recirculée
en tête du traitement biologique. Les boues en excès sont extraites et traitées.
L’eau épurée est alors renvoyée vers le milieu naturel.
Le principe de ce procédé est la fixation de la biomasse sur des supports (disques, rouleaux, éléments trapézoïdaux) en matière synthétique (polystyrène, PVC, etc.) présentant une surface d’échange
maximale.
Ces supports biologiques sont montés sur un axe
horizontal et sont partiellement immergés dans
l’eau usée.
L’axe est mis en rotation et les bactéries composant
la biomasse passent successivement d’une phase de
nutrition à une phase d’aération.
La biomasse en excès se détache du support et est
entraînée par le flux des eaux usées.
La séparation de ces éléments se réalise dans un clarificateur (ou décanteur) où la biomasse, de densité
supérieure à celle de l’eau, va se déposer dans le
fond de l’ouvrage.
n
une
haute qualité d’effluent répondant aux
normes les plus sévères et garantie par la barrière physique que procurent les membranes ;
n
une
excellente adaptabilité à des variations
de charge ;
n
un
n
une
encombrement réduit au sol (concentration en boues activées plus élevée) ;
Les procédés membranaires trouvent des champs
d’application intéressants dans la mise à niveau
d’installations existantes et dans des traitements
d’effluents difficiles tels que les lixiviats de décharge, ou quand les normes de rejet sont difficiles
à atteindre au moyen de procédés classiques.
Il convient toutefois de vérifier la compatibilité des
matériaux utilisés pour la fabrication des membranes avec la température des eaux usées et les
composés chimiques susceptibles de s’y trouver.
Pour réduire ce pourcentage, on applique
des traitements d’épaississement et de
déshydratation :
n
épaississeur
;
n
lits
n
filtre
n
centrifugeuse
n
filtre-presse.
de séchage ;
à bandes ;
;
Pour améliorer la siccité, assurer une stabilisation et
constituer un amendement calcaire intéressant, on
peut avoir recours à un ajout de chaux.
Une étape de digestion anaérobie peut, en option,
assurer une stabilisation biologique des boues, tout
en produisant du biogaz.
protection contre le "lessivage"
de la biomasse.
Désodorisation
IGRETEC - Nord Platte Taille
Station d’épuration par biodisques
Mises à niveau
Les stations existantes doivent parfois être mises à
niveau pour satisfaire aux nouvelles normes de rejet
ou pour être à même de traiter une charge supérieure à la charge nominale de l’installation.
Un soin particulier doit être apporté à la réduction
des désagréments liés à l’exploitation des stations
et, en particulier, au traitement des odeurs.
Le confinement et le traitement à la source des
odeurs permettent d’atteindre l’objectif visé en
limitant les débits d’air à traiter.
Parmi les traitements les plus classiques, on retrouvera la voie biologique (biofiltration), l’adsorption
sur charbon actif et le lavage chimique.
L’une des contraintes de ce type de projet est l’obligation de conduire des travaux sans interrompre le
traitement existant.
Ce procédé convient particulièrement dans des
configurations où la variation de charge est importante car la biomasse fixée permet une réactivation
plus rapide de la biologie que dans une boue activée
classique. Il est, de plus, économe au niveau énergétique.
Ce procédé est particulièrement bien adapté aux
stations d’épuration de petite taille où un traitement poussé de l’azote n’est pas requis.
En particulier, ces traitements sont nécessaires pour
une décantation primaire de l’influent ou pour compléter, si les normes l’imposent, l’abattement biologique du phosphore, par exemple.
INASEP - Namur - Station d’épuration :
déshydratation des boues par filtre-presse
Balteau dispose dans ce domaine, d’une large expérience et propose tous les services indispensables
pour relever ce genre de défi avec succès (process,
électricité et automatismes, tuyauterie en interne).
Traitement des boues
IBW - Louvain-La-Neuve - Station d’épuration :
BioRéacteur à Membranes immergées
Les boues produites par les stations d’épuration
contiennent un pourcentage d’eau élevé.
AIVE - Marche - Désodorisation
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