PerspectivesMD Février 2013 Retour aux facteurs fondamentaux et perspectives plus encourageantes pour 2013 Au-delà des manchettes, les investisseurs reviennent à l’analyse des entreprises, des secteurs d’activité et des statistiques économiques Après quatre années de perturbations, les marchés boursiers ont amorcé au quatrième trimestre de 2012 une remontée et certains signes laissent croire que les investisseurs sont en voie d’opérer un retour vers les facteurs fondamentaux, des éléments d’information cruciaux qui permettent de mesurer le comportement d’une entreprise, d’un secteur d’activité ou d’une économie dans son ensemble. Cet intérêt renouvelé pour les facteurs fondamentaux envoie un signal important que les investisseurs délaissent peu à peu le modèle d’alternance entre aversion et appétit pour le risque en vertu duquel les marchés oscillent sans cesse entre l’optimisme et le pessimisme en fonction surtout du sentiment des investisseurs. Vers la fin du quatrième trimestre, les investisseurs de partout dans le monde surfaient sur une vague d’optimisme, d’où une remontée qui a engendré des gains annuels supérieurs à 10 % sur la plupart des grands marchés. L’indice S&P 500 a effectué un bond de 16 % en dollars américains et de 13,5 % en dollars canadiens, puisque le huard s’est négocié tout près du niveau de la parité avec le billet vert ou au-dessus pendant la plus grande partie de l’année. L’indice mondial MSCI a terminé le trimestre en hausse de 16,4 % en monnaie locale, soit 14 % en dollars canadiens. L’indice MSCI Europe, Australasie et ExtrêmeOrient (zone EAFE) a quant à lui bondi de 17,8 % en monnaie locale et de 15,2 % en dollars canadiens. L’indice composé S&P/TSX s’est apprécié de 7,2 % pendant l’année. Nous sommes encouragés par cette amorce de retour aux facteurs fondamentaux. Les analystes s’appuient sur les facteurs fondamentaux pour En fin de trimestre, les tiraillements sur le désormais célèbre « mur budgétaire » aux États-Unis faisaient la manchette. Or, ce débat a été reporté à plus tard. Même si les discussions du Congrès américain sur les impôts et les dépenses publiques continueront d’avoir des conséquences importantes sur la croissance économique éventuelle, leur effet sur la volatilité des marchés à plus court terme a été atténué par ce report. Sommaire `` Trois facteurs clés pour le déblocage de la croissance mondiale `` L’inflation demeure sous contrôle `` Mise en contexte des résultats : L’expérience positive de MD Finances Pratique Mieux-être md.amc.ca décider si l’actif sous jacent d’une entreprise fait de celle-ci une occasion de placement intéressante. Les investisseurs qui s’appuient sur les facteurs fondamentaux ne se laissent pas distraire par les manchettes et les autres indicateurs à court terme, car ils sont convaincus que les marchés sous-évaluent parfois le potentiel véritable d’un titre à court terme, mais que sa valeur intrinsèque finira par prévaloir. Des bénéfices intéressants récompensent souvent l’investisseur qui fait l’acquisition d’un titre dont le cours est trop bas par rapport à sa valeur et qui a ensuite la patience d’attendre que le marché reconnaisse cette valeur. En 2012, le Wall Street Journal a d’ailleurs fait une analogie intéressante entre cette fixation malsaine des investisseurs pour l’actualité économique et le jeu de la roulette russe. l’industrie manufacturière et le secteur des infrastructures seront à la base de cette croissance et l’activité dans ces secteurs stimule la demande de ressources naturelles et de produits de base. La bonne santé des finances publiques canadiennes contribue également à l’optimisme relatif des perspectives économiques. actuellement à son plus bas niveau depuis le mois d’août dernier. Trois facteurs clés pour le déblocage de la croissance mondiale Nos perspectives favorables pour 2013 reposent sur trois facteurs clés : la reprise graduelle des dépenses du consommateur américain, la coordination des mesures prises par les décideurs à l’échelle mondiale à l’appui de la croissance, et les prévisions d’une inflation stationnaire. représentent environ le tiers des ventes au détail aux États-Unis. Les élections présidentielles ont aussi contribué à la faiblesse des dépenses des consommateurs dans les deux premières semaines de novembre. Parmi les événements ponctuels qui ont altéré la confiance des consommateurs, mentionnons la supertempête Sandy, qui a durement frappé les États du Nord-Est et de l’Atlantique à la fin d’octobre dernier. Ces États Ce mouvement d’abandon de ce que certains observateurs ont appelé la « nouvelle donne » (c’est-à-dire la forte dépendance des marchés à l’endroit des banques centrales et des autres décideurs politiques qui font constamment la manchette) et le regain de faveur des facteurs fondamentaux signale pour nous l’amorce d’un retour graduel à une situation plus « normale » sur les marchés financiers. Il importe cependant de souligner que malgré ce retour progressif, les marchés mondiaux ne sont pas pour autant tirés d’affaire. Nous continuons plutôt de penser que l’économie mondiale poursuivra son expansion à deux vitesses, puisque les économies émergentes resteront plus dynamiques. En fait, en 2013, il est probable que nous assisterons à une poursuite de cette évolution à deux vitesses dont nous avons été témoins en 2012, les économies émergentes ayant contribué davantage à l’expansion économique mondiale que les économies développées. Cette conjoncture est à l’avantage de l’économie canadienne qui est très bien positionnée pour prospérer dans ce contexte de croissance à deux vitesses. Les entreprises canadiennes du secteur des ressources naturelles continueront de bénéficier de la croissance plus forte prévue des économies émergentes, car 2 PE R S P ECT I V E S M D Le consommateur américain demeure optimiste, mais la peur du mur budgétaire a miné sa confiance L’indice de confiance des consommateurs a chuté à 65,1 en décembre, par rapport à 71,5 en novembre, une deuxième baisse mensuelle consécutive. L’indice est Les consommateurs se disent aussi préoccupés par les perspectives économiques, à cause surtout de l’incertitude générée par le débat autour du mur budgétaire. Nous pensons que la confiance des consommateurs reprendra son mouvement ascendant maintenant que ces craintes s’estompent. Il importe de souligner que les statistiques sur la confiance des consommateurs ne tiennent pas compte de l’accord de dernière minute ficelé par le Congrès des États-Unis. Les perspectives relatives aux dépenses de consommation aux États-Unis sont à la base des prévisions économiques de 2013, parce qu’elles demeurent le plus important facteur de croissance économique dans le monde. Les dépenses des consommateurs américains représentent en effet environ 70 % du PIB des États-Unis et, par voie de conséquence, environ 20 % du PIB mondial. À défaut d’une demande soutenue des consommateurs américains, il est peu probable que l’économie mondiale continue de prendre de l’expansion à un rythme raisonnable. Les dépenses des consommateurs américains dépendent avant tout des marchés de l’emploi et de l’habitation. Or, les nouvelles ont été bonnes sur ces deux fronts en 2012. L’économie américaine s’est en effet enrichie de 155 000 emplois en décembre et le taux de chômage est resté stable à 7,8 % après avoir atteint un niveau aussi élevé que 8,5 % au début de 2012. Toujours en décembre, le nombre moyen de nouvelles demandes de prestations de chômage a chuté à son plus bas niveau depuis mars 2008. Le Département du commerce des États-Unis a annoncé que les ventes de maisons neuves avaient connu leur hausse mensuelle la plus forte depuis deux ans et demi, une autre donnée qui semble confirmer que nous assistons actuellement à une reprise durable dans le secteur de l’habitation. Si les propriétaires américains retrouvent leur foi dans le marché immobilier, il pourrait bien y avoir un regain de confiance des consommateurs. Habituellement, la maison d’un ménage américain tend à être son bien le plus important. Si les consommateurs ont davantage confiance dans la valeur de leur maison et donc, dans la valeur de l’ensemble de leur patrimoine, ils dépenseront probablement avec plus de prodigalité. Les décideurs continuent de prendre des mesures coordonnées et décisives La prolongation incessante de la période de bas taux d’intérêt et de politiques monétaires extrêmement 3 PER S P ECT I VE S M D accommodantes devrait continuer de soutenir la croissance mondiale. L’an dernier, nous avons recensé de multiples exemples de la détermination des banques centrales à maintenir les taux d’intérêt bas afin de stimuler la croissance économique. Parmi les exemples les plus importants de ce phénomène, mentionnons la coordination très serrée des politiques adoptées par les banques centrales et les décideurs des différents pays. Pour s’en convaincre, mentionnons que les marchés boursiers mondiaux ont amorcé une remontée à la mi-juin à la parution d’une manchette de Reuters annonçant l’intention des banques centrales de prendre en Grèce, si la situation devait l’exiger, des mesures coordonnées après les élections. En septembre, Alan Blinder, ancien vice-président de la Réserve fédérale américaine et professeur réputé d’économie à Princeton, a été invité à s'adresser aux personnes présentes à la réunion annuelle des banquiers centraux du monde à Jackson Hole au Wyoming. Dans son allocution, il a résumé dans ces quelques mots tous les arguments à l’appui d’une étroite coordination des mesures : « un sentiment d’urgence partagé et les intérêts communs prépondérants rendent virtuellement obligatoire la coopération.1 » La décision de la Banque centrale européenne de lancer un nouveau programme illimité de rachat d’obligations constitue un autre exemple de la détermination des banques centrales de maintenir le bon fonctionnement de l’économie mondiale. En septembre, la BCE a en effet annoncé qu’elle achèterait pour un montant illimité d’obligations d’État de pays de la zone euro mis sous pression par les poussées du coût des emprunts. Les marchés ont réagi favorablement et ont aussi été réconfortés d’apprendre que la BCE exigerait en retour des emprunteurs 1 Central Bank Independence and Credibility During and After a Crisis, Alan S. Blinder, allocution prononcée au Symposium de Jackson Hole, le 1er septembre 2012 qu’ils acceptent la mise sur pied d’un mécanisme international de surveillance des politiques budgétaires et économiques. Les décideurs américains ont également envoyé un puissant signal de leur volonté de prendre les dispositions nécessaires pour que l’économie mondiale poursuive sa croissance. La troisième vague de mesures d’assouplissement quantitatif de la Réserve fédérale, baptisée « QE3 », a été très bien accueillie. Dans le cadre du programme QE3, la Réserve s’est engagée à procéder à des achats mensuels de 45 milliards USD de nouveaux bons du Trésor et de poursuivre ses achats mensuels à hauteur de 40 milliards de dollars de titres adossés à des créances hypothécaires. La Réserve a par ailleurs annoncé son intention de maintenir les bas taux d’intérêt sur les fonds fédéraux jusqu’à ce que le taux de chômage retombe sous le seuil des 6,5 %. À l’annonce de QE3, les prix des produits de base ont connu une poussée, car ce programme a fait bondir la demande d’intrants économiques clés comme l’énergie et les matériaux industriels. L’inflation demeure sous contrôle Dans le contexte actuel de croissance stable, mais faible, dans les pays avancés, l’inflation est quasi absente du paysage économique et devrait le rester dans un avenir prévisible. Les banques centrales devraient donc maintenir leurs bas taux d’intérêt dans le cadre de leurs efforts continus pour stimuler la croissance économique mondiale. Ces perspectives favorables en matière d’inflation s’appliquent plus particulièrement aux économies développées à croissance plus lente. Les bons du Trésor américain ont amorcé une remontée à l’annonce du maintien en décembre des prix des produits de consommation aux ÉtatsUnis. Les nouvelles confirmant l’absence de toute velléité inflationniste ont convaincu les acteurs du marché obligataire de maintenir leurs placements, car les bas taux d’inflation contribuent au maintien de la valeur de leurs obligations. Au Canada, l’inflation de base se situe à 1,2 % et l’inflation globale à 0,8 %, dans les deux cas un niveau nettement inférieur à la cible de 2 % fixée pour la période de 12 mois la plus récente terminée en novembre. À la dernière annonce relative aux taux de la Banque du Canada, le gouverneur de la Banque, Mark Carney, a adopté un ton moins ferme dans la description de ses attentes en matière d’inflation, et la Banque prévoit maintenant qu’il faudra au moins 12 mois avant que l’inflation globale et l’inflation de base atteignent ce seuil de 2 %. Le risque de forte inflation est beaucoup plus présent sur les marchés émergents même si les nouvelles sont raisonnablement bonnes dans ces pays aussi. En Chine, le risque d’inflation est maintenant probablement sous contrôle en raison du ralentissement de la croissance économique dans ce pays comparativement aux statistiques économiques des dix dernières années. Ce sont là de très bonnes nouvelles pour les marchés mondiaux parce que toute décision en Chine de majorer les taux d’intérêt pour mieux contrôler l’inflation et ralentir une croissance économique trop 4 PER S P ECT I VE S M D vigoureuse aurait pu ralentir un peu plus la croissance mondiale. Le Brésil semble quant à lui connaître moins de succès dans ses efforts pour juguler l’inflation. En décembre, pour un sixième mois consécutif, l’inflation a en effet été au Brésil plus élevée que les prévisions consensuelles. En 2012, elle a été de 5,84 %, ce qui est supérieur au taux cible de la banque centrale établi à 4,5 %. La banque centrale a réitéré son engagement de maintenir l’inflation sous contrôle. En Inde, où une lutte contre l’inflation est également en cours, le taux annuel d’inflation a diminué un peu et se situait à 7,18 % en décembre par rapport à 7,24 % en novembre. L’inflation se trouve également à son niveau le plus bas des 11 derniers mois. L’année à venir Dans ce contexte, la meilleure manière de procéder consiste sans doute à éviter de se laisser dicter sa conduite par les manchettes du jour et à se concentrer sur les facteurs fondamentaux. Nous continuons de vous encourager à travailler en étroite collaboration avec votre conseiller MD, pour vous concentrer sur le but pour lequel vous avez créé votre portefeuille et sur votre horizon temporel afin de rééquilibrer votre portefeuille de manière que votre combinaison de placements corresponde à la répartition stratégique de l’actif à long terme que vous avez établie. C’est le moment idéal pour revoir votre plan financier à long terme et vous assurer que la répartition stratégique de votre actif est à jour. Afin de vous assurer d’être dans la meilleure position possible pour atteindre vos objectifs financiers tout en tenant compte des nouvelles possibilités, nous vous invitons à consulter votre conseiller MD ou à appeler MD au 1 800 267-2332 afin d’être dirigé vers le conseiller le plus près de chez vous. n Mise en contexte des résultats : L’expérience positive de MD Lorsque vous examinez le rendement des marchés mondiaux et la situation économique, vous vous demandez sans doute comment les fonds MD se sont comportés comparativement. Au cours de la dernière décennie, les clients de MD qui ont suivi un plan personnalisé intégrant un portefeuille diversifié de placements dans des fonds communs et des fonds collectifs MD, conformément à notre méthode de placement, ont été récompensés par des gains. portefeuille modèle de croissance et stabilité modeste Croissance de 1 000 000 $ investis depuis la fin avril 2003 (en dollars canadiens) 1 800 000 $ 1 700 000 $ Rendement annualisé : 6,10 % En décembre 2012 Rendement cumulatif : 77,25 % 1 600 000 $ 1 500 000 $ 1 400 000 $ Il importe cependant de souligner que les résultats individuels diffèrent selon le comportement et les besoins de chaque investisseur. 1 300 000 $ 1 200 000 $ 1 100 000 $ Chez MD, nous gérons les portefeuilles des clients conformément aux principes éprouvés d’une saine pratique de placement. On retrouve parmi ces principes la diversification des catégories d’actifs afin de réaliser les gains offerts dans différents marchés et d’ainsi limiter les effets des pertes. Voici un échantillon des rendements obtenus par les investisseurs qui font confiance à MD avec le temps : Résultats avant déduction des frais (frais maximaux perçus : 1,16 % par année). Les taux de rendement indiqués sont des taux de rendement totaux annualisés 1 000 000 $ 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 Source : Services aux médecins MD, StyleADVISOR Depuis 2003 à ce jour, une période souvent baptisée la « décennie perdue­» pour les investisseurs en actions, le portefeuille modèle de croissance et stabilité modeste a généré un rendement annualisé de 6,1 %. historiques. Les rendements portant sur une période inférieure à un an ne sont pas annualisés. Nota : Le portefeuille modèle de croissance et stabilité modeste est à la disposition des clients de Conseils en placement privés MD, un service offert par Services aux médecins MD inc. Les données du portefeuille modèle de croissance et stabilité modeste sont fondées sur une cotisation initiale d’un million de dollars en date du 30 avril 2003. Taux de rendement en date du 31 décembre 2012 3 mois 1 an 3 ans 5 ans 10 ans Depuis la création Fonds collectif d’obligations canadiennes GPPMD – série A 0,61 % 3,92 % 5,01 % 5,93 % 5,28 % 5,26 % Fonds collectif d’obligations canadiennes à long terme GPPMD 0,64 % 5,78 % N/A N/A N/A 9,89 % Fonds collectif d’actions canadiennes GPPMD – série O 4,18 % 10,05 % 4,03 % 1,42 % 9,09 % 7,31 % Fonds collectif de dividendes GPPMD – série A 3,96 % 13,93 % 11,72 % 6,31 % N/A 5,36 % Fonds collectif d’actions américaines GPPMD – série O 1,78 % 10,19 % 5,97 % -0,05 % 0,72 % -1,21 % Fonds collectif d’actions internationales GPPMD – série A 8,21 % 17,74 % 3,42 % 0,27 % 5,50 % 5,49 % Portefeuille modèle de croissance et stabilité modeste 3,01 % 8,77 % 5,15 % 4,01 % N/A 6,10 % Source : StyleADVISOR, Services aux médecins MD. Résultats sans les frais, frais maximums de 1,16 % par année. Les taux de rendement indiqués sont les rendements historiques annualisés; les rendements de moins d’un an ne sont pas annualisés. 5 PER S P ECT I VE S M D Le changement de valeur correspondant au capital investi est calculé selon les rendements bruts composés historiques, tient pour acquis que les dividendes sont réinvestis et ne tient pas compte des nouvelles cotisations ou des retraits de capital, des frais, ou de l’impôt sur le revenu. Le rendement cumulatif représente l’augmentation en valeur en tant que pourcentage de l’investissement initial. En mai 2003, la répartition stratégique de l’actif du portefeuille était effectuée selon la pondération suivante : 5 % en espèces, 40 % dans le Fonds collectif d’obligations canadiennes, 20 % dans le Fonds collectif d’actions canadiennes, 20 % dans le Fonds collectif d’actions américaines et 15 % dans le Fonds collectif d’actions internationales depuis sa création. Au début de juillet 2009, la pondération a été modifiée : 3 % en espèces, 40 % dans le Fonds collectif d’obligations canadiennes, 28 % dans le Fonds collectif d’actions canadiennes, 14 % dans le Fonds collectif d’actions américaines et 15 % dans le Fonds collectif d’actions internationales. Au début de juin 2010, le Fonds collectif d’obligations canadiennes à long terme GPPMD a été ajouté au portefeuille selon la pondération relative suivante : 3 % en espèces, 25 % dans le Fonds collectif d’obligations canadiennes, 15 % dans le Fonds collectif d’obligations canadiennes à long terme, 28 % dans le Fonds collection d’actions canadiennes, 14 % dans le Fonds collectif d’actions américaines et 15 % dans le Fonds collectif d’actions internationales. Depuis juillet 2009, le rééquilibrage a lieu tous les mois et lorsqu’une décision tactique s’impose. Avant juillet 2009, le rééquilibrage avait lieu à la fin du mois. Le tableau représente le rendement hypothétique du portefeuille modèle seulement; l’expérience réelle des clients varie en fonction du calendrier de rééquilibrage des opérations, des flux de trésorerie et des dépenses. n Les placements dans les fonds communs peuvent être assortis de commissions, de commissions de suivi ainsi que de frais de gestion et autres frais. Il importe de lire le prospectus avant d’effectuer des placements. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur fluctue régulièrement et leur rendement passé peut ne pas se répéter. Pour obtenir un exemplaire du prospectus, prière de communiquer avec votre conseiller MD ou avec le Centre de courtage MD au 1 800 267-2332. Services aux médecins MD offre des produits et services financiers, la famille de fonds communs de placement MD, des conseils en placement, ainsi que des produits et services Pour obtenir une liste détaillée de ces entreprises, prière de consulter notre site à l’adresse md.amc.ca. 6deMgestion D P E Rmédicale S P ECT I VE parSl’entremise du groupe d’entreprises MD. 6 M D P E R S P ECT I VE S INV-13-00717 Les renseignements contenus dans ces documents ne doivent pas être considérés comme des conseils de placement. Veuillez consulter votre conseiller MD avant de prendre des décisions de placement ou de mettre en œuvre une stratégie de placement.