III. La remise en cause des postulats
keynésiens
La courbe de Phillips des
Etats-Unis
1. La stagflation
Après 1974, les Etats-Unis (de même que la
France) combinent inflation et chômage.
Les interventions conjoncturelles
d’inspiration keynésienne sont alors visées
par la critique néolibérale.
Celle-ci se focalise sur la question de
l’inflation.
2. Les effets pervers de
l’inflation
L’inflation est
mise en cause
dans la
prolongation du
marasme des
année 70
Réduit la
compétitivité-
prix
Entrave les
anticipations
des agents
Pénalise les
exportations Pénalise
l’investissement
Haro sur les politiques monétaire
expansionnistes
« L'inflation est
partout et
toujours un
phénomène
monétaire. »
(Milton
Friedman)
MV = PQ
Equation
de Fisher
Le monétarisme
inspire la
réforme des banques
centrales
Statut
indépendant de
l’exécutif
gouvernemental
Objectif
statutaire de
stabilité des prix
3. Les effets pervers du
déficit budgétaire
Une entreprise
Un agent
économique
veut effectuer
un placement
Pour un même
rendement, va-t-
il préférer :
L’Etat
L’emprunt
public offre un
haut niveau
de sécurité et
de liquidité
Il exerce donc
un effet
d’éviction sur
l’endettement
privé
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