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Radiologie
Philips – Près d'un siècle d'applications de pointe en radiologie
La radiographie est la plus ancienne forme d'imagerie médicale. Cette méthode
d'imagerie s'est énormément améliorée grâce des innovations permanentes. La
radiographie étend sans cesse son champ d'application dans le domaine du diagnostic
et du traitement et revêt un intérêt grandissant dans le monde médical.
1895
Röntgen découvre une nouvelle technologie permettant de voir à travers
l'enveloppe corporelle de l'être humain.
1919
Philips entame la production de tubes à rayons X, après que des hôpitaux
néerlandais lui ont demandé de réparer des tubes à rayons X durant la Première
Guerre mondiale.
1925
Les premiers tubes à rayons X ne sont pas satisfaisants, car ils diffusent des
rayons X dans toutes les directions. Philips met donc au point un petit tube
tapissé d'une couche de plomb, qui canalise les rayons par une petite fenêtre en
verre. Cela protège le patient contre les effets indésirables du rayonnement et de
la haute tension.
1927
Le médecin portugais Egas Moniz, de l'université de Lisbonne, découvre la
technique de l'angiographie (étude des vaisseaux sanguins aux rayons X). À
l'aide des rayons X, il parvient à cartographier le système vasculaire cérébral en
injectant un produit de contraste via un cathéter.
1946
Philips améliore le premier tube à rayons X avec une anode tournante. L'anode
est la partie du tube d'où sortent les rayons. Grâce à la rotation de l'anode, la
chaleur du rayonnement peut être mieux répartie. De plus, ces tubes permettent
de générer plus de puissance (kW) en toute sécurité. La version améliorée va
rester la norme dans le monde médical pendant de nombreuses années.
1951
Philips met au point le premier amplificateur d'image, qui améliore de 400 fois la
clarté et la netteté des radiographies. Avant cette invention, les médecins ne
pouvaient regarder les radiographies que dans le noir et il fallait environ
15 minutes pour pouvoir bien examiner les clichés. Cela ralentissait l'examen
médical et constituait un désagrément, pour le patient comme pour le médecin.
1955
Jusqu'en 1955, les systèmes de radiographie étaient unidirectionnels. Philips
conçoit donc le premier arc C, un système de radiographie en demi-lune.
Désormais, les médecins peuvent orienter l'appareil de radiographie dans
plusieurs directions. Étant donné la flexibilité de l'arc C, on peut poser un
diagnostic et mettre en œuvre les traitements plus rapidement, offrant ainsi plus
de confort au patient.
1957
Philips associe un amplificateur à un moniteur et un écran de télévision. L'image
étant désormais affichée sur un moniteur, le radiologue dispose d'une plus
grande liberté de mouvement avec l'appareil à rayons X et plusieurs personnes
peuvent visualiser l'image en même temps.
1959
Le cardiologue F. Mason Sones, de la clinique de Cleveland aux États-Unis,
préside au premier examen d'une artère coronaire par cathétérisme à l'aide d'un
cathéter, de rayons X et d'un produit de contraste. Il réalise cette prouesse à
l'aide d'un système Philips. En collaboration avec le docteur F. Mason Sones,
Philips poursuit le développement des systèmes à rayons X pour proposer
d'excellentes solutions d'imagerie cardiaque.
1964
Le radiologue Charles Dotter invente la radiologie interventionnelle, fondée sur
l'utilisation des rayons X et de cathéters. La technique Dotter permet de traiter
les patients souffrant d'artères bouchées.
1972
G. Hounsfield et J. Ambrose instaurent la tomodensitométrie (CT), qui effectue
des coupes transversales du corps aux rayons X. Tous les organes et tissus
peuvent ainsi être examinés. Dans les années qui suivent, le scanner fournit des
images avec toujours plus de rapidité et de précision. Depuis le début, Philips
joue un rôle majeur de pionnier dans le développement des scanners, comme
avec le Tomoscan en 1977.
1977
À Zurich, le docteur Andreas Gruentzig réalise la première intervention avec la
technique Dotter chez un patient éveillé.
1982
Philips met au point un système de génération en temps réel d'images des
vaisseaux sanguins ou des organes par injection d'un produit de contraste dans
l'organisme du patient. Grâce à cette substance, on obtient une meilleure
représentation des structures vasculaires. Les vaisseaux sanguins sont ainsi
plus visibles.
1985
S'inspirant du travail d'une entreprise japonaise de graphisme et de
photographie, Philips lance un système de génération d'images numériques. Les
médecins peuvent échanger ces images plus précises plus rapidement et plus
facilement.
1988
Grâce aux systèmes et tables de radiographie rotatifs commandés à distance,
les examens aux rayons X gagnent en souplesse. Philips suit cette évolution en
lançant une nouvelle gamme de solutions.
1990
Philips inaugure une nouvelle tendance dans le domaine du diagnostic
cardiovasculaire en lançant un concept polyvalent combinant de manière flexible
arc C, bras en L et tubes à rayons X.
1998
Expérimentation des images en 3D, après qu'on a découvert qu'une série de
projections, combinées à un arc C effectuant une rotation de 180° autour du
patient, peut générer une image en 3D. On commence alors à explorer les
possibilités des images tridimensionnelles.
2005
Grâce à la 3D, on peut révéler les structures organiques, mais ces images ne
permettent pas de visualiser les tissus mous, pour lesquels il faut toujours utiliser
la tomodensitométrie ou la résonance magnétique nucléaire. Philips met donc au
point un système de radiographie utilisant la technologie 3D pour générer des
images comme en tomodensitométrie : XperCT.
2007
Philips lance un système de navigation cardiaque affichant la projection
tridimensionnelle du cœur du patient sur écran d'ordinateur. Cela permet de
guider avec plus de précision le cathéter à l'endroit ciblé et de suivre l'opération
en temps réel dans l'espace tridimensionnel. Ce système simplifie les
interventions très complexes, telles que le traitement des arythmies cardiaques
par cathétérisme, et augmente les chances de réussite.
2009
Lors d'un examen de radiographie, il faut souvent de nombreux moniteurs.
Philips commercialise donc un très grand écran LCD lumineux de 56 pouces, qui
peut afficher les informations provenant de huit sources et offre des
fonctionnalités de zoom avancées. Les cardiologues peuvent ainsi travailler plus
vite et plus efficacement.
2010
Philips lance DoseWare, une solution fournissant aux spécialistes médicaux des
informations en temps réel sur le rayonnement émis durant les procédures de
radiographie.
2011
Philips lance HeartNavigator, une solution de navigation et de planification en 3D
pouvant servir au remplacement peu effractif de valves cardiaques par
cathétérisme. Philips est le premier fabricant à recevoir une autorisation de mise
sur le marché de la FDA pour ce type de solution pour cette application.
2012
La radiographie est toujours nocive. Le monde médical et les fabricants
recherchent inlassablement des méthodes pour en réduire les effets. Philips
lance donc le système de radiographie AlluraClarity, gage d'une image nette, sur
lequel le médecin peut effectuer des réglages spéciaux pour limiter la dose de
rayons. En neuroradiologie, Allura peut être programmé pour émettre 73% de
rayons en moins, sans perte de qualité d'image. En chirurgie vasculaire, on
atteint même une réduction de 83%. C'est un véritable bond en avant pour les
patients et les médecins. De nouvelles interventions médicales peuvent être
réalisées chez des groupes de patients (tels que les enfants et les adultes
souffrant d'obésité) pour qui l'accès aux nouveaux types d'interventions par
cathétérisme et radiographie était très limité auparavant.
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