Le plus grand commun diviseur de aet bs’´ecrit pgcd(a, b) ; si pgcd(a, b)=1
alors aet bsont premiers entre eux.
– Plus grand commun diviseur (pgcd) de deux nombres aet b. Application :
Simplifier une fraction, trouver le pgcd de num´erateur et du d´enominateur
– Plus petit commun multiple (ppcm) de deux nombres aet b. Application :
Ajouter deux fractions avec des d´enominateurs diff´erents
– Th´eor`eme qui aide `a trouver le pgcd : a=bq+r, si r= 0 alors pgcd(a, b) =
b; si rn’est pas 0 alors pgcd(a, b) = pgcd(b, r)
– Algorithme d’Euclide : Trouver le pgcd de aet b. On commence avec
a=bq0+r0; on poursuit b=r0q1+r1etc. jusqu’`a rn=rn−1qn+rn+1 o`u
rn+1 = 0 ; si rnn’est pas 0, rnsera le pgcd(a, b). (+ D´emonstration que
ridoit devenir ´egale `a 0 `a un certain moment.)
– Propri´et´es de pgcd et ppcm : pgcd(a, b)×ppcm(a, b) = a×b;pgcd(ka, kb) =
k×pgcd(a, b) ; ppcm(ka, kb) = k×ppcm(a, b)
Algorithme d’Euclide ´etendu et autres th´eor`emes
– Algorithme d’Euclide, propri´et´es : Finit toujours (quand r=pgcd(a, b)) ;
Pire cas : s´erie de Fibonacci : 1,1,2,3,5,8,13,21,34,55...
– Th´eor`eme de Bachet-B´ezout : quand aet bsont premiers entre eux, alors
il existe un uet v(nombres entiers pos. ou neg.) tel que ua +vb = 1
(d´emonstration)
– R´esoudre ax +by =cavec l’algorithme d’Euclide
Syst`emes de Restes et Congruences
– R´ep´etition de division : un nombre Nqui apr`es division par nlaisse ra
la forme g´en´erale : N=n.m +r, nombre pair p.ex. 2n, impair 2n/1
– Syst`emes de restes sous addition et multiplication
– Syst`emes de restes pour un nombre premier et pour nombre compos´e
– Notions de ‘groupe’, ‘anneau’, ‘corps’
– De probl`emes de reste `a modulo et congruence : “Na comme reste r1
apr`es division par p1” devient N≡r1(mod p1) (N=n.p1+r1)
– Puissances de nombres et leurs restes : Syst`emes pour un nombre premier
et nombre compos´e
– Puissance de anmodulo p
– Explication du binˆome : (a+b)n:
Interpr´etation combinatoire : aaa, aab, aba, baa, bba, abb, bab, bbb ;
Triangle de Pascal ; (a+b)n=Σin!
(n−i)!i!an.bn−i
– Fonction d’Euler : φ(p)=nombre de tous les nombres relativement premier
`a p, si pest premier, alors φ(p) = p−1
– Petit th´eor`eme de Fermat ap−1≡1 (mod p)
– Analyse petit th´eor`eme Fermat pour nombres premiers et nombres com-
pos´es
– Quelques applications du petit th´eor`eme de Fermat (raccourci pour trou-
ver de restes, utile pour savoir si un nombre est premier avec assez hautre
probabilit´e)
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