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REMERCIEMENTS
Les remerciements sont comme des fleurs fraîchement coupées : chacun sait qu’elles sècheront vite, mais en
recevoir fait toujours plaisir. Les miens seront brefs, mais j’ose espérer qu’ils sauront rester le plus longtemps
possible dans le cœur de leurs destinataires.
Tout d’abord, je tiens à remercier les professeurs Bernard GERBIER et Christian DEBLOCK. Leurs
encouragements et leur clairvoyance m’ont été d’un grand secours, surtout dans les nombreux moments de
doute et de remise en question jonchant ce parcours, oh combien tumultueux, de la cotutelle.
Je tiens aussi à remercier les autres membres du jury, le professeur André CARTAPANIS, le professeur
Bernard ÉLIE, le professeur Dominique PLIHON, et le professeur Geoffrey UNDERHILL, de m’avoir fait
l’honneur d’accepter de lire et de participer à la soutenance de cette thèse.
Même si le travail du doctorant reste personnel, il ne pourrait cependant s’effectuer correctement sans celui,
minutieux et passionné, des équipes de recherche. Qu’il me soit permis de remercier en premier lieu et le plus
chaleureusement possible les petites fourmis du Laboratoire d’Économie de la Production et de l’Intégration
Internationale (LEPII), et plus particulièrement celles des départements EPE et EPIID (Danielle, Danièle,
Céline, Éric) qui, malgré les difficultés, tiennent la baraque. Je tiens aussi à remercier tous les membres de ces
deux départements, chercheurs ou enseignants-chercheurs, qui, par leur écoute et leurs remarques, m’ont
permis d’avancer. Je réserve les mêmes remerciements aux membres du Centre Études Internationales et
Mondialisation (CÉIM), et plus particulièrement à ceux du GRIC, qui m’ont accueilli à bras ouverts durant
l’année passée à Montréal. Les liens que nous avons tissés au fil des semaines et, désormais, au fil des années,
vont bien au-delà du domaine professionnel.
Je tiens de même à remercier Marie-Claude BUFFIERE, Néolina VYLCOU et Loredana TRUONG, qui
m’ont soulagé de bien des problèmes administratifs liés à la cotutelle, aux multiples lettres envoyées, reçues et
probablement perdues, et aux incompréhensions de part et d’autre. Qu’elles sachent, par ces quelques lignes,
que leur travail a été accompli avec une rare efficacité.
Ce doctorat en cotutelle n’aurait pu être mené à bien sans le soutien financier du Ministère de l’Éducation
Nationale et de la Région Rhône Alpes. Je leur garderai une reconnaissance éternelle pour ce qu’ils m’ont
permis de vivre.
J’ai bénéficié d’une écoute attentive et critique de Bernard ÉLIE et Philippe FORTIN lors de la soutenance de
la proposition de thèse en 2003, ainsi que de fructueuses discussions, longues ou moins longues, avec Mehdi
ABBAS, Pierre BERTHAUD, Dorval BRUNELLE, Patrick CRIQUI, Michel DAMIAN, Joseph HALEVI,