- Malgré l’état endémique de la maladie hydatique dans les pays du
Maghreb, l’hydatidose osseuse reste une affection rare (0.5 à 2 %).
- Le diagnostic est souvent tardif par manque de spécificité et
latence clinique qui caractérisent cette affection . Il repose sur un
ensemble d’arguments cliniques, biologiques et radiologiques où
seul l’examen anatomopathologique peut confirmer la maladie.
- Son évolution est insidieuse et son pronostic est sombre du fait
des récidives fréquentes (en cas d'exérèse incomplète).
- L'imagerie permet d’affirmer le diagnostic, de faire le
bilan lésionnel et de suivre l’évolution.